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Date archive for: août 2016

Conférence « L’A380 : 9 ans après sa mise en service… »

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MARDI 27 SEPTEMBRE 2016

Grand amphithéâtre – Médiathèque José Cabanis – Toulouse

« L’A380 : 9 ans après sa mise en service et près de 200 avions en exploitation, que devient l’avion amiral des compagnies aériennes ? »

Début de la conférence à 18h

Par Alain FLOURENS, directeur du programme A380, Airbus

Résumé : Le 25 octobre 2007, l’A380 entrait en service chez Singapore Airlines brisant enfin le monopole du B747. Avec la surface de ces deux ponts et son grand volume, les compagnies aériennes ont pu ainsi exprimer leur créativité en terme d’aménagement de la cabine avec bar, douches etc… 9 ans plus tard qu’est devenu ce segment du marché ? Comment l’A380 y répond-il ? Comment les compagnies aériennes font évoluer son emploi ?

Entrée libre et gratuite (dans la limite des places disponibles)

Pour plus d’informations : www.academie -air-espace.com – Tél. : 05.34.25.03.80 – contact@academie-air-espace.com

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Histoires de Patrouille de France – Tome 2

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La Patrouille de France

Second tome de son histoire

Série HISTOIRES DE PATROUILLE DE FRANCE

Ouvrage collectif

C’est à un collectif que l’on doit à nouveau ce tome sur l’Histoire de la Patrouille de France présentée comme une BD par son éditeur « idées + » dans sa collection « Plein vol ». Mais c’est bien plus car au-delà du scénario et de la documentation fournie par Stéphane Azou et Eric Stoffel de l’armée de l’Air, les dessins ont été créés avec toujours autant de talents par Frédéric Allali, Jeff Baud, Marco Greselin, Eric Le Berre, Yves Plateau et Mike Ratera et ont été « colorisés » par Diego L. Parada et Max Bayo alors que Yves Plateau et Thierry Martinet ont assuré les superbes couverture et pages de garde.

Et comme cet ouvrage joue collectif, il ne faut pas oublier les nombreuses photographies prises par Anthony Jeuland, Michel Jouary, Hubert Lecinski, Julien Mortreuil de l’armée de l’Air et d’autres fournies par le Sirpa Air. Et c’est bien là que j’estime que cet ouvrage dépasse le seul concept de la BD puisque de nombreuses photographies qui non seulement mettent en avant le rôle de ces pilotes haut de gamme, mais aussi tout le personnel –hommes et femmes- qui œuvrent en arrière plan pour assurer la disponibilité de chacun des appareils dédiés spécifiquement à un pilote donné. Ils ont leur avion comme un cavalier a sa monture pour se présenter à une épreuve durant une saison complète.

L’allusion aux Jeux Olympiques de Rio n’est pas innocent là où les quatre couples tricolores avec les cavaliers Astier Nicolas, Karim Laghouag, Thibaut Vallette et Mathieu Lemoine viennent d’obtenir une médaille à Rio. Car l’ouvrage s’ouvre sur une exhibition de la Patrouille de France le 7 septembre 2009, année de la France au Brésil, au dessus de la capitale brésilienne. Découvrez cette merveilleuse aventure en dévorant l’ouvrage.

Nicole Beauclair pour AeroMorning

Publication : Juillet 2016

Genre : Bande dessinée

Langue : française

Format : 24 x 32 cm – 64 pages couleurs

ISBN 978-2-916795-88-1 – 18 €

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Iberia adopte les applications ARMS® V2 de Sheorey Digital Systems pour la gestion des opérations et des équipages

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Sheorey Digital Systems (SDS) est ravie d’annoncer la signature d’un contrat avec la compagnie aérienne nationale espagnole, Iberia, pour son progiciel de gestion intégré (PGI) pour l’aviation, ARMS® V2

Iberia, un membre de l’International Airlines Group (IAG), a choisi le logiciel de gestion des opérations et des équipages ARMS® V2 (Aviation Resource Management System) dans le but de remplacer ses applications logicielles existantes par une suite logicielle qui lui permettra de réduire le nombre d’applications d’une dizaine actuellement utilisées à seulement deux applications de base.

ARMS® V2 – le sous-système de gestion des opérations de vol (FOSS – Flight Operations Sub-System) et le sous-système de gestion des équipages (CMSS – Crew Management Sub-System), ainsi que trois optimiseurs d’aide à la décision de pointe, seront installés pour répondre aux exigences d’Iberia pour le déploiement d’une plateforme intégrée, avec l’avantage supplémentaire d’héberger ces systèmes au sein d’une base de données unifiée.

À propos de cette décision, Vivek (Vicky) Sheorey, directeur général et PDG de SDS, a déclaré : « Il est extrêmement gratifiant pour ARMS® d’avoir été choisi par une compagnie aérienne européenne aussi importante qu’Iberia. Notre système ayant été sélectionné à la suite d’une évaluation exhaustive, nous nous réjouissons d’autant plus de la confiance qu’Iberia a exprimé dans ses capacités. Alors qu’Iberia adopte avec succès son «Plan de Futuro» (Plan pour le futur), nous sommes fermement convaincus qu’un système intégré comme ARMS®, avec son principe fondamental d’accroître l’efficacité de l’organisation en gérant mieux les perturbations, apportera un élan vital à ce plan. »

Affichant une croissance et une évolution rapides, ARMS® V2 compte déjà plus de 50 clients dans le monde entier pour ses capacités innovantes en tant que seul PGI pour le secteur de l’aviation véritablement intégré disponible aujourd’hui sur le marché, qui intègre de manière fluide tous les domaines fonctionnels et opérationnels d’une compagnie aérienne/d’un opérateur aérien au sein d’une base de données unifiée.

À propos de Sheorey Digital Systems:

Sheorey Digital Systems (SDS) est une société indienne établie dans les technologies de l’information, certifiée ISO 9001:2008 et 27001:2005, spécialisée dans les secteurs de l’aviation et de la gestion de l’information. SDS s’efforce de fournir des solutions logicielles radicalement plus efficaces et plus rentables pour l’industrie du transport aérien.

SDS a été la pionnière dans le développement d’une solution logicielle hautement intégrée, flexible et évolutive destinée exclusivement à l’industrie du transport aérien, ARMS® (Aviation Resource Management System). Offerte à la fois en tant que suite parfaitement intégrée et applications autonomes modulaires, ARMS® aide les compagnies aériennes et exploitants aériens du monde entier à faire face à des objectifs incertains et hautement volatiles.

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L’IPSA aime « Terres d’ailleurs » et « Au cœur de l’espace », les deux livres récompensés par le prix Ciel & Espace 2016

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Ce lundi 8 août, lors du Festival d’astronomie de Fleurance, le magazine Ciel & Espace dévoilait les lauréats 2016 de son prix du livre d’astronomie et de son prix du livre jeunesse. Attribués en partenariat avec le groupe Ferme des étoiles, la Société française d’astronomie et d’astrophysique (SF2A), l’IPSA et le CNES, ces deux prix ont respectivement récompensé « Terres d’ailleurs », d’André Brahic et Bradford Smith (Éditions Odile Jacob) et « Au cœur de l’espace », de Christophe Chaffardon, illustré par Kiko (Éditions Gallimard Jeunesse). Ancien IPSAlien (promo 2006) et enseignant-chercheur à l’IPSA, Vincent Robert faisait partie du jury, présidé cette année par l’astrophysicien Roland Lehoucq, dans le cadre du récent partenariat signé entre l’école et Ciel & Espace.

En tant que membre du jury, combien de livres avez-vous dû départager ?

Vincent Robert : Si je me souviens bien, nous avons eu 36 ouvrages à lire. Ce qui n’était pas une mince affaire puisque nous n’avions que trois mois pour en venir à bout. Autrement dit, mes journées comme mes soirées ont été bien remplies !

Sur ces 36 ouvrages, seulement deux allaient pouvoir repartir avec un prix. Dans le cas du prix du livre d’astronomie, c’est « Terres d’ailleurs » qui a été désigné lauréat. Pourquoi lui et pas un autre ?

Je pense qu’il y a plusieurs raisons. Déjà, il s’agit d’un ouvrage très complet qui permet d’aborder toutes les thématiques de l’astronomie, de l’astrophysique, de la cosmologie, des dernières découvertes… Il offre aussi une extension aux lecteurs sur la question de la vie extraterrestre : doit-on s’attendre à trouver quelque chose ? Que doit-on justement chercher pour trouver une vie extraterrestre ? Etc. Il couvre donc vraiment un champ très large, en étant très bien documenté et complet.

L’une des particularités de « Terres d’ailleurs » est qu’il a été cosigné par l’astrophysicien français André Brahic, disparu en mai dernier et donc lauréat à titre posthume.

C’est vrai. Mais quand le jury s’est réuni pour délibérer, soit quelques mois avant la remise des prix, André Brahic en avait été informé et avait été très heureux de ce prix. La question se posait de savoir s’il allait pouvoir venir à Fleurance pour récupérer son prix et, pragmatique et réaliste sur son état de santé, il nous avait dit qu’il espérait pouvoir y être autorisé « s’il était encore vivant ». C’est finalement l’astrophysicienne Isabelle Grenier, son épouse, qui est venue le récupérer. D’ailleurs, l’organisation du Festival d’astronomie de Fleurance avait décidé de dédier cette 26e édition à André Brahic.

À qui conseillez-vous la lecture de cet ouvrage ?

Et bien pas forcément à un public d’avertis ! Bien que complet et couvrant pas mal de champs, ce livre est très accessible pour les néophytes qui, en le lisant, pourront comprendre tous les principes qui y sont explicités. C’est vraiment un ouvrage très général qui s’adresse à tout le monde.

L’autre prix, celui de la catégorie jeunesse, a été décerné à « Au cœur de l’espace ». Pourquoi ce choix ?

Pour répondre, je vais reprendre la formule de Roland Lehoucq, président du jury et astrophysicien du CEA assez connu, qui expliquait que la première raison était liée au fait que c’était le seul livre de cette catégorie à ne comporter « aucune erreur ». En effet, les autres livres possédaient leurs propres forces, mais ils comportaient chacun des approximations, petites ou grosses. Au-delà de ce détail – qui a son importance –, les illustrations étaient bien faites, tout comme les textes à destination des enfants rédigés par Christophe Chaffardon, responsable des activités éducation de la Cité de l’espace de Toulouse.

Quand on est adulte et que l’on travaille dans la recherche aéronautique et aérospatiale, comment fait-on pour juger de la qualité d’un livre pour enfant ? Quels sont les critères ?

Il y a forcément le ressenti personnel qui rentre en compte. Après, comme j’ai un petit garçon de 5 ans, j’ai pu lui faire lire tous les livres ! J’avais donc un petit plus par rapport aux autres membres du jury. Avoir son avis sur les livres était plutôt intéressant.

Justement, à qui se destine « Au cœur de l’espace » ?

Étant donné qu’il s’agit d’un livre interactif, avec des languettes à tirer et des animations, je le conseille surtout aux 5-8 ans.

Pourquoi est-ce important d’initier les plus jeunes à ce monde présent au-dessus de nos têtes ?

La science astronomique fascine dès le plus jeune âge et peut être facilement compréhensive. C’est également un moyen pour les plus jeunes de s’ouvrir vers un domaine scientifique. Même si cela peut paraître compliqué de prime abord, c’est important et permet d’éviter un certain obscurantisme.

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Aéroport Toulouse Blagnac : une étape majeure

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Financement du programme d’investissement Aéroport Toulouse Blagnac : une étape majeure pour le développement 2016-2020



Le financement du programme d’investissements 2016-2020 pour l’Aéroport Toulouse-Blagnac, proposé par Casil Europe, a été finalisé la semaine dernière avec des acteurs financiers locaux. Après le vote du Conseil de surveillance d’Aéroport Toulouse-Blagnac, réaction du Président de Casil Europe, Mike Poon.

Jean-Michel Vernhes, Président du directoire d’Aéroport Toulouse-Blagnac, a signé un accord pour le financement du programme d’investissement 2016-2020 avec les institutions financières régionales, Natixis, AG Insurance, la Caisse d’Epargne de Midi-Pyrénées et la Banque Populaire Occitane.

Mike Poon, Président de Casil Europe (qui détient 49,99% de la société Aéroport Toulouse-Blagnac), a déclaré à cette occasion : « Nous sommes très heureux de cette étape majeure pour le développement de l’aéroport, qui est franchie de manière très concrète avec des financeurs de la région de Toulouse à nos côtés. »

Le prêt de 102 millions d’euros remboursable sur 15 ans, permettra de financer les projets de réaménagement et de modernisation de l’aéroport prévus par le programme d’investissements proposé par Casil Europe.

« Cette décision d’avenir, validée par l’ensemble des actionnaires, est en tous points conforme à la stratégie globale qu’a Casil Europe pour l’Aéroport de Toulouse. » a ajouté Mike Poon.

À propos de CASIL Europe

Casil Europe est détenue à 51% par Shandong High Speed Group Limited et à 49% par Friedmann Pacific Asset Management Limited (FPAM). Fondé par Mike Poon en 2000, FPAM est un fond d’investissement basé à Hong-Kong, spécialisé dans les projets aéroportuaires et les projets aéronautiques à travers le monde. Son ambition est de participer à la chaîne de valeur du secteur aéronautique mondial en investissant par-delà les frontières et en connectant les économies internationales et régionales.

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Les Canadair français en bout de course

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Il était à peine 20 heures à Ajaccio le 1er août lorsqu’un Canadair de la Sécurité civile française a été stoppé dans sa procédure de décollage, victime de la rupture de la jambe droite de son train d’atterrissage. La décision a été quasi immédiate, les 12 appareils de ce type que la Sécurité civile possède sont interdits de vol. Une mesure prise à titre conservatoire » affirme le ministère de l’Intérieur dans un communiqué daté du 2 août et qui précise que seuls les CL-415 sont concernés.

En cas de feu de forêt, ce qui est une situation critique en ce mois d’août où les appareils de lutte contre les incendies sont les plus sollicités, ce sont les 8 avions Tracker et les 2 Dash-8 de la Sécurité civile qui assureront les missions soutenues en cela par des moyens sol renforcés. La Sécurité civile n’exclut pas non plus d’avoir « recours aux moyens aériens d’autres pays européens en cas de besoin dans le cadre du mécanisme européen de protection civile ou d’accords bilatéraux ».

Ce serait là un « rendu pour un prêté » car il est plus habituel que les appareils de la Sécurité civile française viennent en aide aux pays frappés par des vastes incendies que l’inverse. Tel est le cas le plus fréquents avec l’Espagne, le Portugal, l’Italie …, mais aussi avec des pays nordiques tels que la Finlande, la Norvège ou encore la Suède.

Les Canadair CL-415 de l’Aviation civile sont-ils à bout de course ? Non si on en croît des déclarations précédentes car la flotte des avions amphibies avait fait l’objet d’un renouvellement si bien que le plus vieux d’entre eux n’a que 20 ans. Aujourd’hui, se pose plutôt la question du renouvellement des avions Tracker, explique un confrère du quotidien « Les Echos » dans un papier paru, hasard du calendrier, il y a quelques jours le 28 juillet dernier. Car ces avions ont 58 ans d’âge moyen et ont déjà fait l’objet d’une reconstruction ou d’une rénovation complète. Il est donc prévu de les retirer progressivement du service entre 2018 et 2022, la limite de vie de leurs cellules sera alors atteinte. C’est pourquoi le ministère de l’Intérieur a lancé un avis d’appel public à la concurrence paru au Journal officiel du 12 juillet dernier.

Quels appareils vont les remplacer ?

Tous les ans à la même époque ressortent dans les journaux des articles sur les « pompiers du ciel » terriblement mis à contribution par les conditions climatiques. Si l’aspect humain est largement mis en avant, cette année a ressurgi la problématique de la disponibilité d’appareils de nouvelle génération ou pour le moins récents. Car le choix ne porte plus trop sur des appareils mono-tâche. Afin de maximaliser l’utilisation des avions bombardiers d’eau, les gouvernements se tournent de plus en plus vers des avions multirôles qui permettent d’assurer une mission de combat contre les incendies en période estivale, mais aussi de transport de marchandises ou de personnels en période hivernale. C’est d’ailleurs dans ce contexte que la Sécurité civile s’est dotée d’avions Dash-8 de la firme canadienne Bombardier. La France poursuivra t-elle dans cette voie ? Nul ne pourrait le dire à l’heure actuelle. Toujours est-il que le choix est limité et il n’est pas sûr que des développements qui seraient menés actuellement aboutissent dans les délais de manière à satisfaire les besoins de plus en plus pressants de la France.

Concernant les avions amphibies, ils n’ont plus une cote aussi ferme que par le passé. Cependant il est acquis qu’ils seront toujours de fidèles serviteurs de la cause. Et l’on voit toujours des projets ressurgir. Ainsi les Russes proposent-ils toujours leur Beriev-200, un gros porteur amphibie qui a déjà fait des campagnes de démonstration en France. Il a une masse maximale au décollage de 43 tonnes.

Les Chinois misent de leur côté sur l’AG600, le plus gros amphibie au monde dont l’assemblage final s’est achevé en fin juillet dernier à Zhuhai. Ce quadri turbopropulseurs a un rayon d’action de 4 500 km et une masse maxi au décollage de 53,5 tonnes. Il est annoncé comme pouvant écoper 12 tonnes d’eau en 20 secondes.

D’autres réalisations et projets sont menés tels que la conversion d’anciens 747 en avions bombardiers d’eau. En ce début août il ne nous a pas été possible d’avoir confirmation du projet mené par Air France Industrie concernant la conversion de deux 747-400 de la compagnie lancée en 2014. Mais il est évident que c’est un axe à ne pas négliger. Au vu des terribles incendies que subissent les états de la côte ouest des Etats-Unis, mais aussi de ceux que connaît de plus en plus régulièrement l’Australie, Boeing travaille à cette offre. Au moins c’est là un moyen de faire vivre cette famille d’appareils légendaires dont l’arrêt de la chaîne d’assemblage est à l’étude chez l’avionneur américain.

Dans une gamme un peu plus modeste, chez Airbus Defense & Space on travaille aussi à une adaptation des avions de transport militaire C-295 pour l’adapter aux besoins d’écopage et de largage d’eau ou de retardant. Une solution qui serait plutôt dans la gamme des capacités des Canadair CL-415 dont la licence vient d’être cédée par le groupe Bombardier à son compatriote Viking. Et même si aujourd’hui, c’est à Bombardier que s’adresse la Sécurité civile afin de déterminer si tous les CL-415 doivent être contrôlés (c’est Sabena Technics qui assure l’entretien de ces appareils à Nîmes) et la décision devrait être prise dans les heures à venir, ou si seul l’appareil opérant en Corse est concerné par cette rupture de train, il semble que beaucoup d’interrogations se lèvent pour le choix futur.

Car d’une part la France agit de concert avec ses homologues européens afin de disposer de flottes compatibles et faire en sorte d’optimiser l’utilisation de leurs avions bombardiers d’eau. Ensuite parce que le choix du Dash-8 qu’avait fait que la France reste liée au constructeur canadien Bombardier empêtré s’il en est dans le développement de sa famille d’avions civils CSeries et pas plus concerné actuellement que cela par des modifications d’avions commerciaux en avions de lutte contre le feu.

Nicole Beauclair pour AeroMorning

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Icelandair permet de réserver des vols via Facebook Messenger

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Icelandair a annoncé aujourd’hui que les passagers auraient désormais la possibilité de réserver leur prochain vol transatlantique via Facebook Messenger.

Le Stopover Bot de Facebook Messenger est l’exemple le plus récent d’une tendance de plus en plus marquée, le Conversational Commerce (commerce par la conversation). Disponible 24h/24, 7j/7, ce nouveau bot informatique permet de réserver plus facilement que jamais sur Icelandair en apportant le point de vente jusqu’au client, c’est-à-dire en lui permettant de réserver des vols directement depuis Facebook Messenger.

Le Stopover Bot est également un outil de service clientèle efficace qui peut, outre les fonctions de réservation et de recherche, répondre à des questions fréquemment posées, de manière rapide et documentée, avec des textes, photos et même des vidéos.

Guðmundur Óskarsson, directeur du marketing et du développement commercial chez Icelandair, commente : «Nous voulons constamment améliorer l’écosystème touristique pour les consommateurs, en commençant dès le tout début de leur expérience de réservation. En plaçant Icelandair en position de précurseur et en permettant la réservation de vols via Facebook Messenger, nous démontrons notre engagement envers nos clients. Nous savons quelles sont les plateformes utilisées par nos clients, et nous voulons adopter de nouvelles manières de communiquer et leur proposer des interactions précieuses dans cet espace. Grâce à cette réflexion, nous espérons nous positionner comme plus qu’une simple compagnie aérienne, comme une société de logiciel, et le lancement du Stopover Bot constitue une autre étape vers notre objectif: que les clients puissent réserver un vol n’importe où, à n’importe quel moment».

Suite à des recherches démontrant la popularité des applications de messagerie, avec un insight consommateur surpassant celui des réseaux sociaux, Icelandair a travaillé avec Travelaer pour élaborer cette première phase : la capacité de réserver hors du moteur de réservation de son site Internet. La seconde phase du projet, qui prévoit des fonctions supplémentaires pour améliorer l’expérience de l’utilisateur, est actuellement en cours.

Pour commencer, envoyez un message à Icelandair sur : facebook.com/Icelandair ou m.me/Icelandair.

Icelandair.co.uk/messenger-bot

https://twitter.com/Icelandair

https://www.facebook.com/Icelandair

http://instagram.com/Icelandair/

http://youtube.com/Icelandair

Icelandair

Icelandair est la seule à offrir aux passagers la possibilité de faire une escale en Islande (Icelandair Stopover), pouvant durer jusqu’à 7 nuits sans frais supplémentaires. Depuis les années 60, Icelandair encourage ses passagers à profiter d’une escale en Islande, et propose à présent ce service depuis 26 destinations européennes, vers 16 villes d’Amérique du Nord. Icelandair propose des vols entre l’Islande et les destinations suivantes :

Canada: Edmonton, Halifax, Montréal, Toronto et Vancouver

Europe: Reykjavik, Aberdeen, Amsterdam, Barcelone, Birmingham, Bruxelles, Francfort, Genève, Glasgow, Hambourg, Londres, Madrid, Manchester, Milan, Munich, Paris et Zürich

Scandinavie: Bergen, Billund, Copenhague, Göteborg, Helsinki, Oslo, Stavanger, Stockholm et Trondheim

USA : Anchorage, Boston, Chicago, Denver, Minneapolis-St. Paul, New York, Newark, Orlando, Portland, Seattle et Washington D.C

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Magazine Enac Alumni 17ème édition

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17ème édition du magazine ENAC Alumni

Nous sommes très heureux ce mois-ci de vous proposer la 17ème édition de notre magazine d’actualités Alumni Enac consacré au domaine de l’espace.

Retrouvez aussi vos contributions dans le « courrier des alumni », et alors surtout, n’hésitez pas à nous donner votre avis sur l’adresse suivante: contact@alumni.enac.fr

Nous vous invitons à cliquer sur le Lien vers le Magazine ci dessous:

http://www.alumni.enac.fr/global/gene/link.php?doc_id=401&fg=1

Bonne lecture!

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