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Date archive for: octobre 2016

Compensation des émissions de CO2 de l’aviation internationale

Le GIFAS se réjouit de l’adoption d’un mécanisme mondial de compensation des émissions de CO2 de l’aviation internationale

Les industriels du GIFAS (Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales) saluent l’adoption jeudi 6 octobre 2016 par les 191 Etats membres de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI) d’un mécanisme mondial de compensation des émissions de CO2 de l’aviation internationale à partir de 2020.

Marwan Lahoud, Président du GIFAS, souligne qu’ « il s’agit du 1er accord climatique mondial au niveau sectoriel, ce qui constitue une réussite historique ».

L’industrie aéronautique travaille, de longue date, par le biais de l’innovation et du progrès continu à améliorer son efficacité énergétique.

A l’origine de 2% des émissions mondiales de CO2 d’origine humaine, le transport aérien mondial s’est engagé depuis de nombreuses années en se donnant des objectifs ambitieux et proactif.

Le mécanisme adopté hier lors de la 39ème Assemblée de l’OACI constitue un des moyens d’atteindre une croissance neutre à partir de 2020. C’est une mesure temporaire.

Les améliorations techniques et opérationnelles ainsi que l’utilisation de carburants alternatifs durables viendront la renforcer.

Il est important de souligner que 65 Etats[1], dont la Chine, les Etats-Unis, l’Union Européenne, les Emirats Arabes Unis, le Qatar, le Japon, la Corée du Sud, la Turquie, Singapour représentant plus de 85% de l’activité aérienne internationale se sont engagés de façon volontaire à participer à la première phase du dispositif (2021 – 2026).

Le dispositif couvrira à terme près de 80% des émissions de CO2 de l’aviation internationale.

Marwan Lahoud rappelle enfin que « 14% du chiffre d’affaires de l’industrie aéronautique et spatiale française est réinvesti chaque année dans la Recherche et le Développement afin d’adapter les aéronefs de demain aux enjeux climatiques et de compétitivité. »

[1]Par ordre d’engagement : Mexique, Canada, Etats-Unis, Indonésie, Chine, les 44 pays européens de l’ECAC (European Civil Aviation Conference), les Iles Marshall, Singapour, Japon, Guatemala, Malaisie, Kenya, Emirats Arabes Unis, Nouvelle Zélande, Corée Sud, l’Australie, Thaïlande, Israël, Costa Rica, Papouasie- Nouvelle Guinée, Qatar et Burkina Faso.

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New Air Navigation System Engineering and Operations Advanced Master – ANSEO

ENAC created in 2016 a new Advanced Master Air Navigation System Engineering and Operations which replaces 3 advanced masters: MS aviation and Air Traffic Management, MS Air Ground Collaborative System Engineering and MS Communication Navigation Surveillance.

The MS ANSEO integrates the topics of the former masters by offering a systematic and global approach of the Air Navigation systems: on ground (communication systems, navigation systems, surveillance systems, automated air traffic control systems), on-board (Satellite and avionics systems), and its operational methods (Air Traffic Management).

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COMECA INDUSTRIES confirme son engagement pour l’emploi et la formation

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Posted By: aeromorning07/10/2016

Avec 4 emplois créés depuis le début 2016, 10 stagiaires accueillis en formation durant 4 mois et de nouvelles perspectives de recrutement, COMECA INDUSTRIES, basée à Castres, est en bonne voie pour tenir son engagement pris fin 2015 de créer 20 emplois industriels en 3 ans.
COMECA INDUSTRIES a engagé depuis 2015 un projet industriel ambitieux visant à développer son activité historique de fabrication de systèmes de préhension, notamment de grappins électro-hydrauliques de haute technologie, et à se diversifier dans la sous-traitance en usinage et en mécano-soudure.
Ce projet s’est traduit par la reprise de l’ancien site Weir Minerals de Castres après sa fermeture, fin 2015, sur lequel l’entreprise a transféré l’ensemble de ses activités en mars 2016.
Au terme d’une convention de revitalisation signée avec l’Etat, COMECA INDUSTRIES s’est engagée à créer 20 emplois d’ici à février 2019. Depuis le 1er janvier 2016, 4 personnes ont été recrutées au sein de l’entreprise, dont 3 en contrat à durée indéterminée et une en contrat à durée déterminée. La formation en cours dans le cadre du plan « 1 million de formations » devrait donner lieu à de nouveaux recrutements.

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Soutenez les Pomme Pomme Girls of IPSA !

En juin dernier, nous vous présentions les Pomme Pomme Girls of IPSA, une association étudiante 100 % féminine et plus que motivée à porter haut et fort les couleurs de l’école. Actuellement en pleine préparation de son année 2016-2017, avec de nouvelles chorégraphies mêlant sauts, danse, acrobaties et gymnastique, l’équipe vient de lancer une campagne de crowdfunding. Si vous voulez aider ces futures ingénieures à financer leur participation à de futurs tournois (dont les Ovalies 2017) ainsi que l’obtention de salles de répétition et de nouvelles tenues, n’hésitez pas à participer ou à relayer leur campagne sur la plateforme Sponsorise.me !

Retrouvez les Pomme Pomme Girls of IPSA sur Facebook et Instagram

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CP: ESPECES MENACEES, découvertes faites depuis l’espace révélées jeudi 6 octobre à Toulouse

En quatre décennies à peine, la biodiversité de notre planète a chuté de plus de moitié selon le rapport Planète Vivante du WWF. Pollution, réchauffement climatique, activités humaines sont autant de facteurs qui influent de façon dramatique sur notre faune. Pour mieux protéger ce patrimoine naturel, les biologistes français sont nombreux à œuvrer au quotidien aux quatre coins du monde. Qu’ils étudient des manchots royaux dans les territoires australes, des éléphants de mers sur les banquises antarctiques, des rennes en Sibérie, des tortues marines à La Réunion, en Guyane ou encore des pigeons ramiers européens, tous ont un allié dans leurs études : les satellites ! Afin de poursuivre leurs observations quand leurs protégés ne sont plus à portée de vue, ils utilisent le système franco-américain ARGOS de localisation et de collecte de données environnementales par satellite. Grâce au système ARGOS, plus de 100 000 animaux ont été suivis depuis l’espace ces 30 dernières années. CLS, opérateur du système satellitaire ARGOS acquiert et calcule les suivis de ces espèces depuis son siège à Toulouse puis transmet ces résultats à l’ensemble de la communauté scientifique internationale. Une centaine de scientifiques français seront à Toulouse le 6 octobre prochain pour présenter les mystères que le système satellitaire leur a permis de révéler. En avant première dans ce communiqué quelques un d’entre eux nous dévoilent leurs découvertes.

Tortues en sursis

Les tortues vertes et les tortues caouanes qui vivent dans le bassin de l’océan indien sont classées parmi les espèces en danger d’extinction. Les menaces qui pèsent sur elles sont nombreuses : pêche accidentelle, braconnage (capturée pour leur chair) mais aussi pollutions marines.

Pour tenter de sauver ces espèces, Jérôme BOURJEA, biologiste des pêches et de la conservation à l’IFREMER* au sein de l’UMR MARBEC les étudie depuis plus de 15 ans. Avec ses collègues, il a entre autre déployé plus de 120 balises Argos sur des tortues vertes en ponte sur les principaux sites de reproduction de l’Ouest de l’océan indien (Europa, Juan de Nova, Glorieuses, Mayotte, Mohéli (Comores) et Tromelin) ou encore sur des tortues caouannes juvéniles capturées accidentellement par les palangriers au large de La Réunion.

Ses découvertes : le territoire maritime d’une tortue peut atteindre une superficie gigantesque ! Les études des suivis satellitaires ont montré par exemple que les tortues vertes femelles ont parcouru, pour certaines plus de 3000km, traversé pas moins de 9 Zones Economiques Exclusives avant d’atteindre leurs zones d’alimentation réparties sur le littoral de 6 pays. Ces études ont également montré pour la première fois que des tortues caouannes pré-adulte faisaient des migrations trans-hémisphériques suggérant un cycle biologique à l’échelle de l’océan Indien. Enfin sur des tortues vertes juvéniles en phase d’alimentation dans les lagons des îles de l’océan Indien, une approche par balise Argos/GPS et caméra embarquée a permis de révéler comment ces individus exploitaient le lagon, et mis en évidence des changements d’habitat à l’échelle régionale.

Conclusion : une gestion multinationale est indispensable pour la survie de cette espèce. Le scientifique tient également à souligner que 5.3% des tortues suivies ont été braconnées durant ces études. Jérôme Bourjea travaille en collaboration avec les acteurs locaux et transnationaux pour mettre en place des mesures de gestion régionale. Il met notamment en avant des « HotSpots » prioritaires pour la conservation des tortues.

Les pigeons ramiers (Columba palumbus) sont parmi les oiseaux les plus répandus et abondants en Europe. En France, ce gibier est fortement chassé. En effet, durant l’automne, de nombreux oiseaux traversent notre pays. Certains d’entre eux hivernent dans le sud-ouest de l’Europe, de la France à la péninsule ibérique. Les haltes migratoires, les habitats associés et les zones d’hivernage restent peu connus.fédérations de chasse soucieuse de respecter l’équilibre de cette espèce ont lancé des programmes d’études de ces populations. Le but est de mieux connaitre les zones de reproduction, et d’hivernage dans l’objectif d’un prélèvement respectueux des populations. Valérie Cohou, experte en dynamique des populations a été chargée par le GIFS France pour mener ces études. 60 balises ARGOS ont ainsi été posées sur des oiseaux capturés pour la plupart dans le grand Sud-Ouest de la France depuis plus de dix ans.

Ses découvertes : « Ces études ont remis en cause des théories plus anciennes. Les suivis Argos nous ont vraiment apporté un nouvel éclairage sur le pigeon ramier, une nouvelle connaissance sur l’espèce. Le système Argos est un formidable outil pour récolter des informations sur la migration, l’hivernage et la reproduction des oiseaux. Ces études nous ont permis d’observer que le départ en migration prénuptiale s’étalait de fin février à fin mars, avec un pic lors de la deuxième décade de mars. Nous avons pu identifier trois axes de migration principaux, avec une prédilection pour le couloir central, clairement orienté sud-ouest/nord-est. Ces suivis ARGOS nous ont également permis d’obtenir une information sur la durée des périples et des haltes migratoires. Les haltes migratoires sont très variables pouvant aller d’une journée à trois semaines. Contrairement à leurs quartiers d’hiver, les pigeons ramiers semblent très fidèles à leurs sites de reproduction. L’ensemble de ces résultats, une fois étoffé par d’autres données, aura des implications importantes dans une optique de gestion conservatoire de cette espèce emblématique pour de nombreux chasseurs français et ibères. En effet, les résultats obtenus suggèrent que les pigeons ramiers utilisent des routes bien définies pour effectuer leurs migrations, stationnant pendant plusieurs jours en différents points. »

Une réserve créée pour les rennes Yakoutie

Avec plus de 3 millions de kilomètres carrés, la République Sakha (Yakoutie) est la plus grande région de Russie. Depuis des milliers d’années, d’énormes populations de rennes sauvages y séjournent. Avec 200 000 bêtes, la Yakoutie est la quatrième région au monde à accueillir le plus de rennes sur son territoire après le Canada, l’Alaska et la presqu’île de Taïmyr. Historiquement, leur chasse raisonnée représentait l’activité principale des peuples aborigènes du Grand Nord. Actuellement, les rennes sont devenus vulnérables à cause des changements climatiques globaux, du développement de l’industrie minière et de la chasse illégale. Pour mieux comprendre l’interaction entre l’homme et cet animal, Alexandre Salman, responsable du bureau russe de CLS nous raconte. « Cette espèce sauvage a considérablement modifié ses périodes, ses directions et ses trajectoires de migrations. Pour mieux comprendre l’interaction entre l’homme et ces animaux les scientifiques de l’Institut des Problèmes Biologiques de Cryolithozone, Division Sibérienne de l’Académie des Sciences de Russie ont équipé près de 50 rennes avec des colliers ARGOS. Bilan de ces observations satellitaires : Entre 2010 et 2016, les rennes du nord-ouest de la Yakoutie utilisaient, comme pâturages d’hiver, les territoires situés à plus de 100 km au sud de ceux de 1980-1990.

L’hypothèse de ce changement porte sur :

– des pluies glaciales de début d’hiver qui recouvre d’une carapace de glace les anciens pâturages empêchant les animaux de se nourrir.

– la débâcle précoce des fleuves du Nord que les rennes sauvages traversaient en utilisant la glace comme pont pendant leur transhumance de printemps qui provoque désormais la mort d’un certain nombre d’entre eux, notamment des plus jeunes.

– L’industrialisation de ces nouveaux territoires d’hivernage au nord-ouest de la Yakoutie qui sont situés dans les zones exploitées par des entreprises (mines de diamants et sites d’extraction de pétrole et de gaz). Les routes et les pipe-lines construits pour desservir ces zones d’extraction représentent un nouvel obstacle important pour les migrations et la réunion des troupeaux de rennes. »

Grâce à toutes ces informations obtenues notamment par les balises ARGOS, des décisions ont été prises pour protéger cette espèce mythique. Le ministère de Protection de la nature de la République Sakha a décidé de créer le site naturel dans la nouvelle zone de concentration des rennes sauvages en hiver au nord-ouest de Yakoutie.

ARGOS : Des satellites, des hommes pour l’environnement

Depuis près de 40 ans le système ARGOS n’a cessé d’évoluer. Les ingénieurs faisant preuve d’innovation ont mené ARGOS jusqu’à sa quatrième génération. Aujourd’hui le système est bidirectionnel, haut débit et la miniaturisation des émetteurs révolutionne chaque jour les études des scientifiques qui peuvent suivre des espèces de plus en plus petites. La plus petite balise pèse à peine 3g. ARGOS est un système international porté par les européens avec les satellites METOP, les américains (satellites NOAA) mais également les indiens (satellite SARAL et OCEANSAT-3). Toujours en quête d’amélioration, les ingénieurs en charge du système étudient de nouvelles voies pour rendre toujours plus performant et utile ce système dédié à l’observation et à la protection de notre environnement. Ainsi l’embarquement de charges utiles miniaturisées sur des nanosatellites en constellation est à l’étude.

La société CLS est l’opérateur du système ARGOS, depuis 1986. Elle en assure l’exploitation et la commercialisation.

ARGOS comment ça marche ?

visualisation de l’ensemble des balises argos.jpegLes balises ARGOS sont les premières composantes du système satellitaire qui comprend : – la constellation de 6 satellites, – le réseau terrestre de 80 antennes de réception – et les centres de traitement de données. Les balises émettent régulièrement un message qui permet de localiser et collecter les données. Ces messages sont transmis aux satellites qui les renvoient aux antennes terrestres qui retransmettent, à leur tour, le flux de données aux centres de calcul basés à CLS à Toulouse et à CLS America à Washington. Les données sont ensuite décodées, les localisations calculées et l’ensemble des informations est transmis aux scientifiques du monde entier. Des millions de messages arrivent quotidiennement à CLS. Aujourd’hui ce sont plus de 20 000 balises ARGOS qui transmettent leurs données à CLS.

CLS, filiale du CNES, d’ARDIAN et d’IFREMER, emploie 600 salariés, œuvre dans 5 secteurs d’activités stratégiques : la gestion durable des ressources marines, la surveillance environnementale, la sécurité maritime, le support aux opérations pétrolières onshore et offshore ainsi que le suivi du transport terrestre. L’entreprise fournit notamment des services satellitaires basés sur la localisation et la collecte de données environnementales (40.000 balises traitées chaque mois, bouées dérivantes, animaux, flottes de pêche et de commerce, etc.). Le Groupe CLS a réalisé plus de 108 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2015 et prévoit de le porter à plus de 120 millions en 2016. En forte croissance ces dernières années, le groupe s’est fixé des objectifs ambitieux grâce à l’ouverture de nouveaux marchés. www.cls.fr

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Inauguration par François Hollande, Président de la République, du nouveau centre de R&D de Safran à Eragny-sur-Oise

François Hollande, Président de la République, a inauguré ce jour le nouvel établissement de

Safran Electronics & Defense à Eragny-sur-Oise (département du Val d’Oise), premier pôle

d’études et de recherche en Europe dans les domaines de la navigation inertielle et des drones

tactiques.

La cérémonie s’est déroulée en présence de Ross McInnes, Président du Conseil d’Administration

de Safran, de Philippe Petitcolin, Directeur Général de Safran et de Martin Sion, Président de

Safran Electronics & Defense.

Dans le cadre d’un projet lancé en 2013, Safran, à travers Safran Electronics & Defense

(anciennement Sagem), a regroupé à Eragny-sur-Oise l’ensemble de ses capacités de recherche

et de développement du département du Val d’Oise dans des domaines technologiques clés pour

la souveraineté de la France : systèmes de navigation inertielle militaires et civils, systèmes

guidés de précision, systèmes d’information tactique et systèmes de drones de surveillance à

grande autonomie.

Agrandi et modernisé, le nouvel l’établissement d’Eragny accueille donc désormais les équipes et

moyens venus de l’ancien site de Safran Electronics & Defense d’Argenteuil dans une

organisation repensée en vue de renforcer les synergies entre métiers et compétences. Il compte

ainsi 1 200 salariés, dont 75 % d’ingénieurs et cadres et dont 42 doctorants ou titulaires d’un

doctorat.

Conduites en concertation avec les autorités locales, l’extension et la modernisation des

installations du site d’Eragny-sur-Oise ont représenté un investissement de plus de 35 millions

d’euros pour Safran et ont mobilisé plus de 110 entreprises, dont plus de 50% en Ile-de-France.

Le projet contribue largement à l’attractivité du territoire, ayant d’ores et déjà suscité l’implantation

de deux nouvelles sociétés de prestations d’études, et au dynamisme de l’emploi, avec 60

embauches en 2015 et des effectifs qui pourraient atteindre 1 400 avec le programme SDT

(Système de Drones Tactiques) et les évolutions sur les autodirecteurs et le guidage.

Exclusivement tournées vers la R&D, les activités du site, qui sont éligibles au crédit impôtrecherche

et permettent à l’établissement de déposer plusieurs dizaines de brevets chaque

année, se destinent à tous les grands programmes d’aéronautique et de défense en France et à

l’international, Safran Electronics & Defense intervenant comme équipementier ou maître d’oeuvre.

« Safran se développe et continue de renforcer sa présence en France et partout dans le monde.

A Eragny, où travaillent 1200 personnes, nous consolidons notre activité de R&D pour être encore

plus compétitifs dans des technologies de souveraineté nationale et préparer l’avenir. Safran

démontre ici encore que la différenciation technologique est au coeur de sa stratégie. C’est elle qui

lui permet de s’imposer comme un acteur majeur dans tous ses métiers », a déclaré Philippe

Petitcolin.

Maîtrisant des technologies différenciantes en navigation, optronique, électronique et logiciels

critiques, Safran répond aux besoins les plus exigeants de la défense au profit de plates-formes

opérant dans tous les milieux (terre, air, mer, espace). A ce titre, Safran est partenaire de

plusieurs grands programmes de défense en France, en Europe et à l’international.

Safran est un groupe international de haute technologie, équipementier de premier rang dans les domaines de l’Aéronautique et de l’Espace (propulsion, équipements), de la Défense et de la Sécurité. Implanté sur tous les continents, le Groupe emploie 70 000 personnes pour un chiffre d’affaires de 17,4 milliards d’euros en 2015. Safran est une société cotée sur Euronext Paris et fait partie des indices CAC 40 et Euro Stoxx 50.

Safran Electronics & Defense est un leader mondial de solutions et de services en optronique, avionique,

électronique et logiciels critiques, pour les marchés civils et de défense. La société équipe notamment plus de 500 navires, 7 000 véhicules blindés et 10 000 avions à travers le monde.

Pour plus d’informations :www.safran-group.com et www.safran-electronics-defense.com

inauguration-safran-eragny

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François Hollande, le président de la République, en visite au Campus Paris Kremlin-Bicêtre

François Hollande, le président de la République, était présent au Campus Paris Kremlin-Bicêtre, ce lundi 3 octobre 2016. Entouré de Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, de Myriam El Khomri, ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social, de Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, d’Axelle Lemaire, secrétaire d’État chargée du Numérique et de l’Innovation et de Clotilde Valter, secrétaire d’État chargée de la Formation professionnelle et de l’Apprentissage, le président a officialisé l’inauguration de la Grande École du Numérique (GEN). Il a notamment été accueilli par Marc Sellam, Fabrice Bardèche et Marc Drillech, respectivement président-directeur général, vice-président exécutif et directeur général du Groupe IONIS.

Réunissant des formations dans le domaine du numérique qui s’adressent en priorité aux jeunes sans qualification ou diplôme et aux personnes à la recherche d’un emploi ou en reconversion professionnelle, la Grande École du Numérique compte déjà un réseau de 171 formations labellisées, dont la Web@cadémie du Groupe IONIS, présente sur le Campus Paris Kremlin-Bicêtre aux côtés de l’EPITA, d’Epitech, de Ionis-STM et de la Coding Academy. Venu à la rencontre des écoles concernées et des étudiants, François Hollande a répété lors d’un discours son souhait de voir se développer encore davantage ce programme gratuit favorisant l’insertion sociale et professionnelle du plus grand nombre pour répondre aux besoins d’emplois dans le secteur du numérique.

« La Web@cadémie a été pionnière et c’est grâce à elle que nous avons eu l’idée de la Grande École du Numérique.

Cette idée, ce n’était pas de créer une Grande École comme les autres : il fallait avoir une démultiplication de lieux et d’organismes, pour attirer des jeunes sortis du système scolaire, qui ont un parcours heurté, chaotique, et cherchaient leur voie.

Le numérique devait être pour eux une grande opportunité. Cette Grande École du Numérique est donc une école de la seconde chance. Ces jeunes viennent, s’accrochent, pour une année de formation puis une seconde d’alternance. Ce diplôme leur permet soit de poursuivre leurs études, soit de commencer une autre vie professionnelle.

Nous avons fait en sorte que ces jeunes soient le mieux accompagnés possibles, pour devenir développeurs, web managers, et encore d’autres métiers destinés à évoluer, à se sophistiquer.

Aujourd’hui, nous avons de nombreuses start-ups qui se créent, des entreprises innovantes qui trouvent des financements et de grandes entreprises très performantes. Parmi les jeunes qui se forment ici, certains créeront à leur tour des start-ups pleines d’avenir et participerons à l’essor de la French Tech.

Malgré les 10 000 ingénieurs formés en France chaque année, il faut continuer à former encore de nombreux jeunes au numérique, pour atteindre le niveau de croissance que nous voulons, pour occuper ces nouveaux métiers. »

François Hollande, président de la République

Cette visite s’est d’ailleurs conclue par la signature d’une convention entre différents partenairespublics et privés. Cet accord s’inscrit dans la volonté de la Grande École du Numérique de former, d’ici à 2017, 10 000 personnes au sein de 200 formations.

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Toulouse Tech lance son portail de promotion de l’offre de formation à l’international

Toulouse Tech met en ligne aujourd’hui son portail web destiné à informer, attirer et orienter les étudiants internationaux qui veulent compléter leur cursus par une formation en Ingénierie.

Le nouveau portail développera la visibilité des formations d’ingénieur et des Masters en Ingénierie des établissements membres du consortium. Il drainera donc davantage d’étudiants internationaux vers les cursus proposés.

Cette rentrée, les étudiants internationaux représentent 19% du total des étudiants des établissements (2.500 étudiants étrangers sur 13.000, chiffres hors doctorat). Toulouse Tech it easy devrait permettre au groupement d’atteindre 25% d’étudiants internationaux dans l’effectif global d’ici 4 à 5 ans.

La mise en service du portail simplifiera le recrutement pour les différentes écoles. Elles verront le parcours de chaque candidat et pourront donc l’orienter sans difficulté vers la formation la plus adaptée.

« Toulouse Tech it easy »: so easy to apply online !

Grâce au portail, les candidats pourront consulter toutes les offres de formation, en anglais ou en français, et un système de lien les dirigera vers les sites des différentes écoles.

Pour 70 € seulement et avec 1 seul dossier de candidature, l’étudiant étranger pourra postuler à plusieurs formations. Sa wishlist pourra être modifiée en temps réel.

  • Visitez le portail Toulouse Tech it easy

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ETIHAD AIRWAYS RENFORCE SA PRÉSENCE EN AFRIQUE GRÂCE À UN NOUVEL ACCORD DE PARTAGE DE CODES AVEC KULULA.COM

Etihad Airways, la compagnie aérienne nationale des Emirats Arabes Unis, continue de renforcer sa présence en Afrique grâce à un nouvel accord de partage de codes avec kulula, transporteur à bas coût primé d’Afrique du Sud.

L’accord de partage de codes offre aux clients d’Etihad Airways des options de vols vers un certain nombre de villes clés en Afrique du Sud qui incluent Le Cap, Durban, George et East London via Johannesburg.

Etihad Airways placera son code EY sur des vols réguliers de kulula entre Johannesburg et ces villes côtières populaires. Cet accord permet aux clients d’accéder au check-in et au transfert des bagages jusqu’à leur destination finale.

Les nouveaux services en partage de codes sont en vente à compter du 3 octobre 2016, pour des voyages à partir du 30 octobre, début de la saison hivernale.

L’accord avec kulula renforce l’engagement d’Etihad Airways en Afrique et porte le nombre total de destinations que la compagnie dessert à travers le continent à 23 grâce à ses partenariats de partage de codes déjà existants avec Kenya Airways, Royal Air Maroc, et son partenaire stratégique Air Seychelles.

Peter Baumgartner, Etihad Airways Chief Executive Officer, a déclaré: « kulula est une compagnie aérienne innovante et primée et ce nouvel accord de partage de codes démontre les ambitions de croissance d’Etihad Airways pour renforcer nos opérations à travers l’Afrique. Grâce à cet accord, kulula donnera aux passagers entrants un accès direct de Johannesburg à quatre destinations clés le long de la célèbre côte d’Afrique du Sud, et je suis certain que la portée étendue offerte grâce à ce partenariat satisfera aussi bien les voyageurs d’affaires que de loisirs. »

Erik Venter, Chief Executive Officer de la maison-mère de kulula, Comair, a déclaré: «Nous sommes ravis de l’ajout d’Etihad Airways à notre liste croissante de partenariats stratégiques aériens et nous sommes ravis d’explorer des possibilités supplémentaires pour développer cette relation. Nous sommes impatients d’accueillir les clients d’Etihad Airways à bord de nos vols. »

Etihad Airways exploite actuellement des services vers 10 destinations en Afrique, à savoir Johannesburg, Nairobi, Entebbe, Dar es Salaam, Khartoum, Casablanca, Rabat, Lagos, Le Caire et Mahé aux Seychelles.

À propos d’Etihad Aviation Group

Etihad Aviation Group (EAG) est un groupe aérien et de voyage mondial diversifié comprenant quatre divisions : Etihad Airways, la compagnie nationale des Emirats Arabes Unis, Etihad Airways Engineering, Hala Group et les compagnies aériennes partenaires (Airline Equity Partners). Le groupe possède des investissements minoritaires dans sept compagnies : airberlin, Air Serbia, Air Seychelles, Alitalia, Jet Airways, Virgin Australia et la compagnie basée en Suisse, Darwin Airline, opérant sous le nom d’Etihad Regional.

Au départ de son hub à Abu Dhabi, Etihad dessert ou prévoit de desservir 117 destinations – existantes et annoncées – passagers et cargo à travers le Moyen-Orient, l’Afrique, l’Europe, l’Asie, l’Australie et les Amériques. La compagnie possède une flotte de 123 appareils composée d’Airbus et de Boeing, avec 204 appareils en commande ferme, incluant 71 Boeing 787, 25 Boeing 777-X, 62 Airbus A350 et 10 Airbus A380.

Pour plus d’information sur la compagnie : www.etihad.com.

À propos de kulula.com

Note: kulula est orthographié avec un «k» en minuscules.

kulula.com est une compagnie aérienne privée low cost, exploitée par Comair Limited. Cette marque, qui célèbre son 15ème anniversaire en 2016 a, depuis sa création, révolutionné le voyage en avion en Afrique du Sud en ayant des tarifs beaucoup plus abordables pour les clients. kulula.com est conforme IOSA (IATA Operational Safety Audit) et maintient le plus haut niveau de sécurité de tous les temps. En janvier 2016, pour la deuxième année consécutive, kulula.com a été classée comme étant le meilleur transporteur sud-africain low cost, dans la SA Customer Satisfaction Index (SAcsi) de l’industrie. En décembre 2015, la compagnie aérienne a également été reconnue internationalement pour une deuxième année consécutive par AirlineRatings.com, comme la meilleure compagnie aérienne low cost en Afrique et au Moyen-Orient.

kulula a reçu le titre très convoité de «Meilleur compagnie low-cost africaine» en 2015 et en 2016 par le Business Traveller Africa Awards et a également été élue comme meilleure compagnie aérienne low cost de l’Afrique du Sud pour les voyageurs d’affaires dans le Sunday Times Top Brands de 2015, et le Best Low-Cost Airline en Afrique en 2016 de Skytrax World Airline Awards. kulula.com a effectué un plan de mise à niveau de sa flotte Boeing avec son 737-800 (189 sièges) et exploite plus de 412 vols par semaine à travers 14 routes domestiques. kulula a conclu des accords de partage de codes avec Kenya Airways et Air France pour offrir plus de choix à ses clients. En 2015, kulula a signé des accords entre compagnies aériennes avec Virgin Atlantic (VS) et Hahn Air, ce qui rend plus facile pour les autres marchés de réserver des vols en Afrique du Sud.

kulula.com offre plus que des vols. La compagnie aérienne propose de réserver des vacances, des hôtels et des locations de voiture. C’est l’endroit unique pour tous ceux qui cherchent des options de voyage abordables dans et autour de l’Afrique du Sud, permettant d’aller de voyager, partout et à tout moment. Pour plus d’informations sur kulula et ses différentes offres, y compris comment devenir membre, et profiter de vacances abordables : www.kulula.com. Devenez fan de kulula sur Facebook ou suivez-nous sur @kulula sur twitter (http://twitter.com/kulula).

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