Skip to content

Date archive for: janvier 2017

Trafic aérien et cockpits futuristes : retour sur la conférence de l’IPSA

Le mardi 17 janvier 2017, l’IPSAproposait aux étudiants et professionnels de se plonger dans l’univers fascinant des cockpits du futur à l’occasion d’une grande conférence réunissant divers experts de l’aéronautique.

L’apparition d’une nouvelle génération de cockpits ne s’est pas faite en un jour. Au-delà de l’idée (logique) d’intégrer les dernières évolutions technologiques dans les cabines de pilotage, cette tendance répond surtout à une grande préoccupation du monde du transport aérien : la densification toujours plus importante de son trafic. C’est pourquoi l’IPSA tenait à donner d’abord la parole à Patrick Souchu, directeur du programme européen Single European Sky ATM Research (SESAR) au sein de la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC). L’occasion de rappeler qu’aujourd’hui, ne serait-ce qu’en Europe, entre 300 et 400 avions volent au-dessus de nos têtes.

Un trafic exponentiel

Ce trafic représente la raison d’être du projet SESAR, lancé en 2005. « Le trafic aérien, c’est tout un processus, souligne Patrick Souchu. Il part d’une demande de trafic (plans de vols déposés par les compagnies aériennes) et comporte plusieurs niveaux, comme la prévention et la protection ou le design de l’espace aérien (Airspace Design), avec les routes et tracés permettant d’optimiser ce flux de trafic. Son accélération a commencé au milieu des années 1980, puis il n’a cessé d’augmenter, avec toutefois des fluctuations suivant les grandes crises économiques. Cette évolution n’est pas terminée, au contraire. Il faut s’y préparer. » Cette préparation passe évidemment par la prise en compte de nombreux domaines, à l’instar de la dimension environnementale croissante (pollution sonore, consommation des carburants, émissions de C02, notion de flight efficiency), de la pression constante sur les coûts dans le Ciel unique européen (concurrence États-Unis-Europe, mais aussi concurrence propre aux compagnies aériennes) et de la sécurité des vols. À ce titre, la centaine de personnes composant le SESAR a effectué un important travail de R&D (terminé en 2016, depuis prolongé à 2024) pour apporter des solutions et les déployer jusqu’à l’horizon 2025. Nouvelles technologies, nouvelles procédures opérationnelles, prototypes… Le programme cherche avant tout à favoriser la cohésion et la gestion du trafic via, par exemple, l’échange renforcé de données sol-bord permettant à l’ensemble des acteurs de mieux s’organiser conjointement.

Pour la seconde partie de cette journée spéciale, l’IPSA proposait une table-ronde sur la question de la nouvelle génération de cockpits, pensée pour améliorer la communication et aider encore davantage les pilotes dans leurs missions quotidiennes. Animée par le journaliste Léo Barnier du magazine Aerospatium, celle-ci réunissait Patrick Souchu, Philippe Lievin, directeur de la mercatique chez Rockwell Collins, Vincent Gilles, commandant de bord Boeing 777 à Air France, instructeur et responsable des affaires techniques au bureau exécutif du Syndicat national des pilotes de ligne ainsi que Guillaume Lapeyronnie, cockpit manager au sein de la direction du marketing chez Thales Avionics. Un panel composé de concepteurs, de représentants de l’autorité et d’utilisateurs de ces cockpits.

Man vs Machine ? Un faux combat

À croire Vincent Gilles, pour qui les « interactions hommes-machines seront la clé des futurs métiers d’ingénieurs », le développement des nouvelles technologies laisse souvent place à un malentendu auprès du grand public, celui pouvant être amené à croire que le rôle du pilote ait pu changer au fil des innovations. « Aujourd’hui, les pilotes utilisent des electronic flight bags (EFB) pour des faire des calculs très fins sur les décollages et atterrissages (longueur de la piste, charge réelle, météo…). Nous utilisons également des cartes de vol au format numérique plutôt qu’en papier. Cela fait une différence : quand on va à Tokyo et que l’on amène une charge marchande d’une tonne, on consomme 400 kilos de carburant. Alors il vaut mieux se soulager d’une carte de vol en papier pouvant peser jusqu’à 20 kilos. Enfin, il y a aussi de nombreux systèmes apportant une vision étendue du monde extérieur au pilote, comme la cartographie mondiale de reliefs dont les données, comparées avec le GPS de l’avion, permettent d’être plus en alerte. Pour autant, c’est toujours le pilote qui fait voler l’avion et prend toutes les décisions. C’est fondamental. »

L’homme est irremplaçable

Pour Philippe Lievin, la clé d’un bon cockpit réside donc dans l’approche de son utilisation finale. « L’idée de remplacer le pilote par la machine, c’est un mythe. L’automatisme est là pour l’aider dans la prise de décision, grâce à un niveau d’informations plus fiables et pertinentes.Il y a donc plusieurs questions à se poser : comment aider au mieux le pilote ? Avec quels automatismes ? Pour quels domaines ? » Ces domaines sont au nombre de trois : la communication (via des « sms » envoyés du sol à l’appareil en vol), la notion de vol (le pilote doit amener l’avion du point A au point B, sans se tromper) et la définition de l’environnement (météo en temps réel – il faut en avoir conscience à tout moment –, trafic autour du pilote, en vol ou au sol – camions, autres appareils, etc. –). Mais cibler les améliorations ne suffit parfois pas à changer les choses rapidement selon le professionnel. La faute à un secteur du transport victime de son mode de fonctionnement. « Longtemps, l’aviation était un monde isolé, de Bisounours, où les évolutions se voulaient lentes, à cause des process et standards industriels importants, que ce soit pour les aspects mécaniques et logiciels. Or, en dehors de ce monde, les technologies avancent vite et les utilisateurs finaux, les pilotes, ont du mal à comprendre cette différence : ils aimeraient gagner en vitesse et obtenir des outils aussi faciles d’utilisation que l’iPad qu’ils utilisent chez eux ou voir adapter à l’aviation ce qu’il se passe dans le secteur de l’automobile. C’est une réelle rupture ! »

Pour répondre à ces nouveaux besoins, les concepteurs demandent du temps, car l’insertion même d’un simple écran tactile suppose de réfléchir à toutes les complications possibles. « Si on met en place un écran tactile, comme c’est déjà le cas aujourd’hui, on doit également proposer des moyens standards d’interactions afin de permettre au pilote de continuer à interagir sur les éléments même en cas de turbulence. Idem quand on doit mettre un routeur/point d’accès Wifi dans un avion, même petit, c’est délicat : nous devons développer nous-même la borne et rajouter des développements spécifiques, pour répondre aux standards. La sécurité prime avant tout. Et, dans tous les cas, les informations envoyées aux pilotes continueront d’être envoyées sur les autres interfaces classiques. »

L’avenir est déjà là

Chez Thales Avionics aussi, les ingénieurs réfléchissent aux conséquences de cette rupture, notamment au travers d’Avionics 2020, lauréat du Red Dot Design Award 2013, qui pourrait être un cockpit à l’horizon 2020. « On arrive à une sorte de limite au niveau de la complexité pouvant être gérée par l’humain dans un cockpit, note Guillaume Lapeyronnie.Il faut donc repenser les cockpits, apporter de nouveaux moyens, en prenant en compte les demandes des pilotes, constructeurs, opérateurs… Bref, toutes des demandes spécifiques ! » Voilà pourquoi Thales développe aujourd’hui cette solution sur trois piliers : remettre l’humain au centre de la conception (« avec aussi une interface orientée en fonction de la tâche que le pilote souhaite accomplir »), construire des aides pour l’équipage à bord et au sol, puis répondreaux attentes des avionneurs (« avec une solution adaptable et personnalisable, permettant aux avionneurs de faire leur propre solution grâce à nos outils »). Thales imagine aussi pouvoir apporter des fonctions totalement nouvelles, comme un dispositif posé sur la tête du pilote lui permettant de visualiser en 3D la trajectoire de l’avion par exemple.

https://youtu.be/KNE39j4zfy4

https://youtu.be/ateRShJKU_8

Sur le même thème

Continue reading Trafic aérien et cockpits futuristes : retour sur la conférence de l’IPSA

ATR consolide sa position de leader parmi les constructeurs d’avions régionaux en 2016

  • Les ATR -600 arrivent en tête des ventes d’appareils régionaux malgré les difficultés du marché
  • ATR atteint des niveaux historiques de chiffre d’affaires et de livraisons
  • L’avionneur continue à développer des liaisons régionales à travers le monde

Toulouse, le 23 janvier 2017 – En 2016, ATR a encore renforcé sa position de numéro un auprès des compagnies aériennes régionales. Les ATR -600 sont arrivés en tête de toutes les ventes d’avions régionaux de l’année, avec 36 commandes d’appareils (34 ATR 72-600 et 2 ATR 42-600). Ainsi, avec une part de marché de plus de 35 % depuis 2010, ATR confirme sa position de leader sur le segment des avions de 50 à 90 places.

Alors qu’il vient de fêter son 35e anniversaire, le premier constructeur mondial de turbopropulseurs affiche toujours des niveaux de chiffre d’affaires et de livraisons historiques, malgré un marché très concurrentiel. En 2016, ATR a atteint son deuxième chiffre d’affaires le plus élevé (1,8 milliard de dollars), et son troisième plus haut niveau de livraison (80 appareils livrés), des chiffres qui confirment l’intérêt du marché pour les turbopropulseurs modernes. De plus, le constructeur consolide un important carnet de commandes qui lui assurera environ trois ans de production.

En 2016, ATR a signé un contrat important pour introduire des ATR -600 en Argentine, -un marché très prometteur-, avec Avian Lineas Aéreas, réaffirmant ainsi son rôle essentiel pour développer et structurer les liaisons régionales. En outre, les opérateurs Aeromar (Mexique) et Binter (Espagne), tous deux opérateurs d’ATR depuis près de 30 ans, lui ont une nouvelle fois manifesté leur confiance. L’avionneur a également obtenu des commandes auprès de PNG Air (Papouasie-Nouvelle-Guinée) et de la compagnie brésilienne Azul Linhas Aéreas.

Christian Scherer, Président Exécutif d’ATR, a déclaré : « En 2016, ATR a conservé sa place de numéro un auprès des compagnies aériennes régionales, et ce malgré une année globalement difficile pour le marché régional. Plus l’environnement est difficile, plus les avantages économiques de l’ATR et leur liquidité sur le marché s’avèrent être les bases de notre succès ».

À propos d’ATR :

Fondé en 1981, ATR est le leader mondial sur le marché des avions turbopropulseurs régionaux de moins de 90 places. Depuis sa création, ATR a vendu plus de 1 500 appareils. Les modèles ATR équipent les flottes de quelque 200 compagnies aériennes réparties dans près de 100 pays. ATR est un partenariat à parts égales entre deux acteurs aéronautiques européens majeurs, Airbus et Leonardo. Installé à Toulouse, ATR est bien établi au niveau international avec un important réseau de ventes et de support client, y compris des centres de services clients, des centres de formation et des entrepôts. Rendez-vous sur le site http://www.atr-aircraft.com

Sur le même thème

Continue reading ATR consolide sa position de leader parmi les constructeurs d’avions régionaux en 2016

Ouverture du portail APB : inscrivez-vous au Concours Advance avant le 20 mars 2017 et mettez toutes les chances de votre côté pour intégrer une école d’ingénieurs réputée !

Les inscriptions sur le portail Admission Post Bac (APB) seront ouvertes du 20 janvier jusqu’au 20 mars. Cela signifie que les lycéens préparant un Bac S, STI2D et STL vont pouvoir s’inscrire au Concours Advance, le seul concours qui offre la possibilité de rejoindre ensuite l’un des 13 campus (répartis sur 7 villes de France) de quatre écoles d’ingénieurs réputées : l’EPITA (informatique), l’ESME Sudria (école d’ingénieurs pluridisciplinaire), l’IPSA (aéronautique et spatial) et Sup’Biotech (biotechnologies).

Un vœu Advance, quatre écoles, 1250 places disponibles

Le portail APB permet aux élèves de Terminale de faire leurs vœux sur leur admission Post-Bac. On y retrouve le Concours Advance. En réussissant ce concours, les futurs bacheliers inscrits peuvent intégrer quatre écoles habilitées par la Commission des Titres d’Ingénieur (CTI) à délivrer des titres d’ingénieur.

Au sein du portail APB, ils devront alors faire le vœu Advance, un vœu qui leur permet ensuite d’effectuer 13 choix correspondant respectivement aux 13 campus de l’ensemble des écoles, parmi lesquels figurent les campus parisien et toulousain de l’IPSA !

Vous souhaitez préparer le Concours Advance ? Rien de plus simple !

Pour aider ses candidats, le Concours Advance a pensé à tout. Ainsi, les aspirants au métier d’ingénieur ont accès à un large éventail d’outils pour mettre en œuvre leur réussite !

En plus d’une FAQ complète expliquant le Concours Advance de A à Z, les futurs bacheliers peuvent se procurer les annales en ligne en plus de celles déjà distribuées dans de nombreux lycées, recevoir des conseils par mail, découvrir les témoignages d’anciens candidats, participer à une ou plusieurs journées de préparation (inscriptions en ligne, avec un large choix de dates possibles), directement s’entraîner en ligne, mais aussi télécharger l’application Advance Training pour Android et iOS. Cette application dispose désormais d’une option « challenge » qui permet de passer des tests d’évaluation globale et chronométrée ainsi que de comparer ses performances !

Enfin, toutes les personnes souhaitant en savoir plus sur le Concours Advance ont aussi la possibilité de poser leurs questions à l’occasion des sessions de chat organisées régulièrement. Opportunités professionnelles à la sortie des écoles, les modalités du concours, les épreuves à passer, ce qu’il faut mettre en avant lors des entretiens de motivation… tous les sujets peuvent être abordés alors n’hésitez pas !

Le prochain chat du Concours Advance aura lieu le mercredi 1er février 2017 de 17 h à 19 h.

Retrouvez le Concours Advance sur son site Internet, Facebook, Twitter et YouTube

Sur le même thème

Continue reading Ouverture du portail APB : inscrivez-vous au Concours Advance avant le 20 mars 2017 et mettez toutes les chances de votre côté pour intégrer une école d’ingénieurs réputée !

Japan Air Commuter démarre une nouvelle ère avec l’ATR

Les compagnies aériennes japonaises se préparent pour les grands événements internationaux prévus dans les prochaines années

Toulouse, le 20 janvier 2017 – Japan Air Commuter Co. Ltd. (JAC), filiale de Japan Airlines, rejoint aujourd’hui les rangs des opérateurs ATR avec l’entrée dans sa flotte de l’ATR 42-600, appareil très moderne et éco-efficace. Huit autres appareils seront livrés au cours des trois années à venir. JAC est actuellement en pleine modernisation de sa flotte. Les neuf ATR entreront progressivement en service, aussi bien sur des grandes lignes que sur des liaisons avec des îles et des communautés plus petites à travers le pays.

Avec plus de 100 appareils régionaux et un âge moyen de la flotte supérieur à dix ans, le marché japonais est arrivé à maturité mais reste dynamique. Au cours des prochaines années, les compagnies aériennes nippones devraient renouveler et élargir leur flotte régionale pour faire face au développement du tourisme. D’ici 2020, le Japon devrait attirer plus de 40 millions de visiteurs. Il accueillera des événements majeurs, notamment les Jeux olympiques de Tokyo en 2020 et la Coupe du monde de rugby en 2019.

Selon Hiroki Kato, Président de Japan Air Commuter Co. Ltd : « L’ATR offre une facilité d’accès inégalée aux aéroports. Alliée à des niveaux de sécurité et de confort très élevés, elle fait de l’ATR -600 la solution idéale pour notre mission : relier les petites communautés et assurer un service aérien de qualité à l’échelle du pays. »

Christian Scherer, Président Exécutif d’ATR, a souligné « la capacité de l’ATR -600 à générer des opportunités commerciales et à renforcer les liens entre communautés. » Et d’ajouter : « Les passagers japonais sont sans doute parmi les plus exigeants et les plus soucieux de l’environnement. Les ATR contribueront au renouvellement des flottes régionales au Japon avec les standards d’éco-efficience et de qualité les plus élevés. »

La compagnie aérienne et ATR ont démarré leur partenariat au dernier Salon du Bourget, en 2015, avec la signature d’un contrat pour introduire les ATR 42-600 au Japon. Ce contrat avait représenté une étape majeure pour ATR, lui permettant de porter ses commandes fermes à 1500 appareils depuis le début du programme.

À propos de Japan Air Commuter (JAC) :

Fondée en 1983, Japan Air Commuter est une société du groupe JAL. Japan Airlines est actionnaire majoritaire avec 60 % des parts, les autres parts étant détenues conjointement par les douze municipalités de l’archipel Amami, dans la préfecture de Kagoshima, à Kyushu. Basé à l’aéroport de Kagoshima, Japan Air Commuter exploite 19 appareils avec 97 vols quotidiens sur 23 lignes, et représente, pour 1,6 million de passagers par an, le principal moyen de transport public aérien entre les magnifiques îles Amami et l’ouest du Japon.

Sur le même thème

Continue reading Japan Air Commuter démarre une nouvelle ère avec l’ATR

dSPACE renforce sa présence en Chine

Le nouveau bureau apporte son support aux clients de Beijing et dans les régions du nord du pays

  • Une large gamme de services
  • Un personnel hautement qualifié
  • L’internationalisation continue à progresser

Bièvres, le 17 janvier 2017 : Avec ce début d’année 2017, dSPACE a considérablement renforcé sa présence dans la République populaire de Chine. dSPACE a récemment inauguré un bureau supplémentaire à Beijing, avec pour objectif de fournir des contacts locaux très qualifiés aux nombreux nouveaux clients dSPACE de la capitale et du nord de la Chine. Le nouveau bureau offre également un espace laboratoire étendu et des structures de formation techniques très sophistiquées pour atteindre les standards les plus poussés en support client.

Une large gamme de services

L’aménagement intérieur a été débuté peu après l’obtention de la licence d’exploitation des nouveaux bureaux en octobre 2016 et a été achevé en décembre 2016. Sur une superficie totale de presque 300 mètres carrés, le site de Beijing offre un espace étendu pour les bureaux et un équipement technique à la pointe du progrès. Ainsi, l’équipe dSPACE locale pourra apporter son support aux clients actuels et futurs dans tous les secteurs d’activité possibles, du conseil produit initial avant la vente aux services d’ingénierie étendus et au support technique général.

Un personnel hautement qualifié

Les employés du site de Beijing ont été formés à l’utilisation de l’ensemble de la chaîne d’outils dSPACE depuis mai 2016. En plus de leur qualification élevée, ils peuvent faire appel au support et à l’échange fréquent d’informations avec leurs collègues de la société locale dSPACE bien établie à Shanghai. Ceci aide dSPACE à s’adapter aux besoins de ses clients dont le nombre est en croissance constante. A Beijing et au Nord de la Chine, les clients sont des sociétés et des instituts de recherche renommés comme BAIC, Brilliance, CATARC, CNR, Great Wall, Weichai et bien d’autres encore.

L’internationalisation continue à progresser

L’inauguration de ce second site en Chine marque le progrès constant de l’expansion internationale de dSPACE. Dans l’objectif d’être toujours à la portée de ses clients et de leur fournir un excellent support ainsi que les temps de réponse les plus courts, dSPACE a étendu son réseau global à 12 filiales dans 6 pays différents dans le monde. Une multitude de distributeurs assure la disponibilité des produits de notre société dans des régions sans représentation dSPACE directe.

À propos de dSPACE :

dSPACE développe et distribue des outils matériels et logiciels intégrés pour le développement et le test de calculateurs et de contrôleurs mécatroniques. Les domaines d’application des systèmes dSPACE sont essentiellement l’industrie automobile mais ils sont également utilisés dans les équipements de contrôle, l’aéronautique et d’autres secteurs industriels. La liste des clients dSPACE comprend pratiquement tous les principaux constructeurs et fournisseurs du domaine automobile. Avec 1 300 employés dans le monde entier, dSPACE, localisée à Paderborn, en Allemagne, dispose de trois centres de projets en Allemagne et est proche de ses clients grâce aux sociétés dSPACE implantées aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en France, au Japon et en Chine.

Sur le même thème

Continue reading dSPACE renforce sa présence en Chine

TRIGO, soutenu par Ardian, acquiert le francais EURO-SYMBIOSE

PARIS, January 18, 2017 /PRNewswire/ —

Cette acquisition renforce lexpertise de TRIGO dans laudit qualité, la formation et le conseil.

Avec le support de son actionnaire majoritaire Ardian, société d’investissement privé indépendante, le Groupe TRIGO a acquis 100 % d’EURO-SYMBIOSE, spécialiste français des services de formation, audit et conseil en matière de qualité et de performance industrielle.

Fondé en 1991, EURO-SYMBIOSE s’appuie sur une équipe de consultants expérimentés ainsi que sur des partenariats de long terme avec les fédérations professionnelles majeures, telles qu’IATF/FIEV et VDA dans le secteur automobile et IAQG/GIFAS dans l’industrie aéronautique. Fort de cette expertise, EURO-SYMBIOSE accompagne ses clients sur les problématiques liées au respect des standards qualité en vigueur en Europe.

EURO-SYMBIOSE, qui dispose par ailleurs de solides références dans le conseil en amélioration opérationnelle, apportera son expertise et permettra d’élargir le portefeuille déjà très étoffé de services d’assurance qualité proposé par TRIGO.

Après l’acquisition en juillet 2016 de BÖLLINGER, spécialiste allemand des services qualité, l’acquisition d’EURO-SYMBIOSE vient à son tour renforcer l’offre de TRIGO dans le secteur automobile allemand. Grâce au partenariat d’EURO-SYMBIOSE avec l’association automobile allemande VDA, EURO-SYMBIOSE détient par exemple l’exclusivité de distribution des formations et qualifications « Auditeurs VDA 6.3 » en langue française.

« TRIGO et EURO-SYMBIOSE sont parfaitement complémentaires. De l’utilisation des méthodes pédagogiques d’EURO-SYMBIOSE pour former les équipes d’un fournisseur, à la résolution opérationnelle d’une crise qualité directement en usine au moyen d’ingénieurs et inspecteurs TRIGO : nous pouvons tout faire ! Nous sommes impatients de combiner les services de TRIGO et EURO-SYMBIOSE pour soutenir au mieux nos clients », indique Benoit Leblanc, Vice-Président Exécutif TRIGO Europe.

Françoise Jasnault et Eric Canu, dirigeants d’EURO-SYMBIOSE, ajoutent : « Ce partenariat avec TRIGO est une grande nouvelle pour EURO-SYMBIOSE. Il nous permettra d’offrir à nos clients une palette plus large de solutions d’amélioration qualité, ainsi qu’une dimension véritablement mondiale. Il offrira également aux collaborateurs d’EURO-SYMBIOSE la possibilité de bénéficier de nouvelles opportunités de carrière au sein de TRIGO à l’échelle internationale ».

A propos de TRIGO

Fondée en 1997, TRIGO est une société internationale fournissant des solutions de gestion de la qualité opérationnelle en milieu industriel et notamment dans les industries automobile et aéronautique. Au moyen d’une équipe de plusieurs milliers de professionnels, présents dans plus de 20 de pays à travers 4 continents, TRIGO offre un portefeuille complet de services d’assurance qualité, de l’inspection, à l’audit, en passant par la formation et le conseil, tout au long de la supply chain.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur http://www.trigo-group.com !

A propos dEURO-SYMBIOSE

Depuis près de 30 ans, EURO-SYMBIOSE accompagne ses clients dans leur recherche d’efficacité et d’amélioration de leurs performances. La société est concentrée autour de 2 métiers : celui du conseil (accompagnement de projet, audit, coaching) et celui de l’ingénierie pédagogique et de la formation (formation inter, intra, sur le terrain) ; EURO-SYMBIOSE intervient en France mais aussi internationalement au travers d’accords commerciaux avec Plexus International (USA, Inde, Chine, Corée, Japon, Afrique du Sud, Brésil, Espagne, Italie, Australie, Suisse et Russie),OPCO (Portugal), SEG-Bidea (Espagne), Calitop (Roumanie) et le réseau des licenciés VDA QMC .

Pour plus d’information, consultez http://www.euro-symbiose.fr

À propos dArdian

Créée en 1996 et dirigée par Dominique Senequier, Ardian est une société d’investissement privé indépendante qui gère et/ou conseille 60 milliards de dollars d’actifs en Europe, en Amérique du Nord et en Asie. La société, détenue en majorité par ses salariés, a toujours placé l’esprit entrepreneurial au c?ur de son approche et offre à ses investisseurs internationaux des performances d’investissement tout en participant à la croissance des entreprises à travers le monde. La philosophie d’investissement d’Ardian repose sur trois piliers : excellence, loyauté et esprit d’entreprise.

Ardian s’appuie sur un réseau international solide, avec plus de 450 employés travaillant dans douze bureaux à Paris, Londres, Francfort, Milan, Madrid, Zurich, New York, San Francisco, Pékin, Singapour, Jersey et Luxembourg. La société offre à ses 560 investisseurs un choix diversifié de fonds couvrant toute la classe d’actifs, avec Ardian Fonds de Fonds (primaire, early secondaire et secondaire), Ardian Private Debt, Ardian Buyout (incluant Ardian Mid Cap Buyout Europe & North America, Ardian Expansion, Ardian Croissance et Ardian Co-Investissement), Ardian Infrastructure, Ardian Real Estate et Ardian Mandates.

http://www.ardian.com

Sur le même thème

Continue reading TRIGO, soutenu par Ardian, acquiert le francais EURO-SYMBIOSE

L’industrie aérospatiale taïwanaise

A l’Est du continent chinois se trouve une petite île grande comme deux fois la Corse. Les premiers colons portugais l’avaient appelée Isla Formosa (l’île merveilleuse) tant elle frappait par la beauté de ses paysages. Elle porte aujourd’hui le nom d’une grande nation : Taiwan. Siège du géant de l’informatique Asus et riche de son industrie de l’électronique, le pays a su bâtir au fil des années une solide culture de la productivité et du développement le plaçant à la 20e place dans le classement des puissances mondiales.

Malgré un territoire relativement restreint, Taiwan dispose d’une industrie aérospatiale qui mérite de s’y intéresser, tant pour ses perspectives ambitieuses que pour ses nombreuses collaborations avec des industries françaises. A travers cette chronique en deux parties, nous allons partir à la découverte de ce que les taiwanais ont construit depuis les années 80 pour forger cette industrie. Nous irons à la rencontre de français qui y ont bâti une entreprise très prometteuse et tenterons d’expliquer en quoi le futur du spatial Taiwanais s’annonce ambitieux.

Détermination et capacité industrielle

Depuis les années 50, l’histoire de l’industrie aérospatiale taiwanaise est grandement influencée par le conflit géopolitique qui oppose le pays avec la Chine. A partir de la fin de la seconde guerre mondiale, l’île fait l’objet de tensions sur la scène internationale : alors qu’il s’agit d’une colonie pour la Chine, les taiwanais, soutenus par les américains, se considèrent comme indépendants. Malgré cela, seuls 20 états sur terre reconnaissent Taiwan comme un état souverain. L’ONU ne le reconnait pas officiellement en tant que tel.

En dépit de ces divergences, Taiwan fonctionne dans les faits comme un état totalement indépendant et se doit de disposer d’une armée autonome capable de dissuader la Chine d’entreprendre une invasion armée. C’est la raison qui explique l’importance de l’arsenal taiwanais, tant au niveau aérien, terrestre que maritime. En mai 1982, afin de ne pas se retrouver limité par un embargo chinois, le gouvernement de Taiwan autorise l’Aerospace Industrial Development Corporation (AIDC) à développer un avion de chasse local dans le but d’équiper les forces aériennes. L’AIDC entame alors la conception du F-CK-1 Ching-Kuo en collaborant avec des sociétés américaines comme General Dynamics pour la cellule ou Garett pour les moteurs. Les concepteurs s’inspirent des études conduites sur le fameux F-16 Fighting Falcon pour concevoir des commandes de vol électriques et doter l’avion d’une aérodynamique adaptée au vol supersonique. Le premier vol a lieu en mai 1989 ouvrant la voie à une vaste campagne d’essai inédite pour une industrie aussi jeune que celle de l’AIDC : la totalité des ressources intellectuelles et techniques en matière d’aéronautique du pays sont alors mobilisées. Trois prototypes suivis des 10 appareils de pré-série servent à conduire l’ensemble des essais avant la livraison du premier avion aux forces armées taiwanaise en 1997. A l’heure actuelle, le F-CK-1 Ching-Kuo n’a pas encore connue de baptême du feu mais a donné entière satisfaction aux unités l’exploitant.

Le chasseur multi rôle a été le premier démonstrateur des capacités de l’industrie aérospatiale taiwanaise : il aura fallu à cette dernière près de 15 ans pour rendre l’avion complètement opérationnel et équiper les unités de chasse de l’armée de quelques 128 unités. Des améliorations successives ont depuis été apportées à l’avion. Pour une industrie aussi jeune, le projet a été couronné de succès : malgré la perte d’un prototype lors d’essais supersoniques, le programme est la preuve des capacités industrielles de la nation taiwanaise et de sa détermination à assurer sa souveraineté.

Depuis la fin du programme du F-CK-1 Ching-Kuo, l’industrie aéronautique taiwanaise a cessé de tourner à plein régime, l’embauche dans le secteur se faisant de plus en plus rare. La reprise devrait être assurée dès l’année prochaine avec un nouveau projet d’avion d’entrainement avancé faisant cette fois appel à une collaboration avec un industriel aéronautique italien.

De la naissance à l’affirmation de l’industrie spatiale taiwanaise

L’aventure du spatial taiwanais démarre à la fin des années 90, lorsque L’Agence Spatiale Nationale (ASN) lance la conception du premier satellite Formosat. Equipé d’appareils optiques, il est prévu d’en faire un satellite d’observation des océans et de la ionosphère. Son développement fait l’objet d’une vaste collaboration avec Astrium à qui la grande majorité des composants sont achetés. Le lancement a lieu en 1999 à Cap Canaveral à bord d’un lanceur de fabrication américaine. Après 5 ans et demi de mission, l’engin est retiré du service en 2004. C’est l’aboutissement d’une première période de rodage et d’apprentissage pour l’industrie aérospatiale taiwanaise.

Entre 2004 et aujourd’hui, les satellites Formosat 2 (observation terrestre) et Formosat 3 sont mis en œuvre. Cette-fois, la conception et la fabrication des composants fait largement appel à des entreprises taiwanaises, malgré la présence d’équipements européens et américains. La machine industrielle spatiale du pays est lancée et l’expérience acquise permettra à l’ASN de lancer une nouvelle série de satellites dès 2017. Le premier d’entre eux sera Formosat 5, dont la mission sera similaire à celle de Formosat 2 mais dont les enjeux seront d’une importance capitale pour l’industrie spatiale taiwanaise : démontrer que Taiwan dispose des compétences et des moyens nécessaires pour assurer la totalité des étapes de conception et de fabrication du satellite. Seul le lancement sera sous-traité par une l’entreprise américaine Space X. Les deux autres satellites du programme, Formosat 6 et Formosat 7 devraient suivre cette lancée et être capables d’affirmer les capacités industrielles spatiales de Taiwan.

Dans la deuxième partie de cette chronique, nous explorerons les programmes qui font ou ont fait l’objet d’une collaboration de l’industrie aérospatiale taiwanaise avec des industries françaises. Nous irons aussi à la rencontre de français installés sur l’île qui développent une entreprise spatiale pionnière dans le déploiement de microsatellites et découvrirons les perspectives de développement du spatial taiwanais.

Joel Laroche-Joubert pour AeroMorning

Sur le même thème

Continue reading L’industrie aérospatiale taïwanaise

Advance Parallèle : trois voies pour se réorienter sans perdre de temps dans une école d’ingénieurs réputée

Se réorienter quand on est étudiant peut parfois prendre l’air d’un véritable parcours du combattant. Pas avec Advance Parallèle ! Cette procédure permet de présenter une candidature unique afin d’intégrer sans perdre de temps l’une des trois grandes écoles d’ingénieurs du Groupe IONIS, soit l’EPITA (informatique), l’ESME Sudria (école d’ingénieurs pluridisciplinaire) et l’IPSA (aéronautique et spatial). Toutes trois habilitées par la Commission des Titres d’Ingénieur (CTI), ces écoles sont présentes sur 13 campus*, réparties sur 7 villes* de France : Paris, Bordeaux*, Lille, Lyon, Rennes*, Strasbourg* et Toulouse.

Une procédure, trois voies possibles

Advance Parallèle permet à différents profils d’étudiants de BAC + (ainsi qu’aux élèves de Terminale scientifique à l’étranger, hors lycées français) de donner une nouvelle dimension à leurs études en rejoignant en admission parallèle, en rentrée décalée ou en apprentissage ces trois écoles dynamiques et portées sur des secteurs en forte évolution.

Les admissions parallèles s’adressent aux élèves de Terminale dans un lycée étranger (non certifié AEFE) et aux étudiants déjà titulaire d’un diplôme post-bac scientifique ou technologique (minimum Bac +1). Grâce au Concours Advance, ils peuvent alors changer de voie en intégrant l’école choisie à différents niveaux de la formation (de la 1re à la 4e année).

Plus d’informations sur les admissions parallèles sur le site du Concours Advance

La rentrée décalée concerne les bacheliers titulaires d’un Bac S qui, actuellement engagés en PAES, en 1re année de CPGE ou L1 scientifique ou technologique, voire dans une autre filière, souhaitent changer d’orientation et intégrer une école d’ingénieurs sans perdre une année.

Plus d’informations sur la rentrée décalée de l’EPITA sur la page Prépa # / sur la rentrée décalée de l’ESME Sudria sur la page Prépa’PRIME / sur la rentrée décalée de l’IPSA sur la page IPSA’Prim

L’apprentissage est une véritable expérience professionnelle qui permet à l’apprenant de bénéficier à la fois d’une formation gratuite et du statut de salarié dès le début de cette dernière. Partageant leur semaine entre les jours de cours à l’école et les jours de travail en entreprise, les apprentis profitent de l’accompagnement d’un tuteur à l’école et d’un maître d’apprentissage en entreprise.

Pour plus d’informations et connaître les cursus éligibles, rendez-vous sur la page dédiée de l’EPITA

Pour plus d’informations et connaître les cursus éligibles, rendez-vous sur la page dédiée de l’ESME Sudria

L’EPITA, l’ESME Sudria et l’IPSA vous accueillent régulièrement sur leur campus lors de Journées Portes Ouvertes afin de vous permettre de rencontrer leurs enseignants et étudiants, mais aussi de découvrir leur pédagogie et leur vie associative.

Dates des prochaines JPO :

EPITA : le samedi 21 janvier 2017 de 10 h à 17 h sur le campus Paris Kremlin-Bicêtre

ESME Sudria : le samedi 14 janvier 2017 de 10 h à 17 h sur le campus Paris Ouest, le mercredi 18 janvier 2017 de 10 h à 17 h au campus de Lille et le samedi 28 janvier 2017 de 10 h à 17 h au campus de Lyon

IPSA : le samedi 21 janvier 2017 de 10 h à 17 h sur le campus Paris-Ivry et sur le campus de Toulouse

* Les villes de Bordeaux, Rennes et Strasbourg ne sont concernées que par les admissions parallèles

Sur le même thème

Continue reading Advance Parallèle : trois voies pour se réorienter sans perdre de temps dans une école d’ingénieurs réputée

Airbus atteint ses objectifs 2016 et démontre sa capacité à monter en cadence

  • Livraison d’un nombre record d’avions civils : 688
  • 731 commandes nettes
  • Ratio commandes nettes/livraisons supérieur à 1
  • Un carnet de commandes solide de 6 874 appareils

Toulouse, 11 janvier 2017 – Le nombre d’avions civils livrés par Airbus en 2016 a augmenté pour la 14ème année consécutive, atteignant un nouveau record de 688 appareils livrés à 82 clients. Ce nombre de livraisons est supérieur de plus de huit pour cent au record précédent de 635 appareils atteint en 2015, et comprend 545 monocouloirs de la famille A320 (dont 68 A320neo), 66 A330, 49 A350 XWB et 28 A380. Les A321, de plus grande capacité, constituent plus de 40 pour cent des livraisons de monocouloirs.

Airbus a enregistré 731 commandes nettes émanant de 51 clients, dont 8 sont nouveaux. Ces commandes comprennent 607 monocouloirs et 124 gros-porteurs. Fin 2016, le carnet de commandes global d’Airbus totalisait 6.874 appareils d’une valeur de 1,018 milliards de dollars aux prix catalogue.

“Nous avons tenu nos objectifs malgré un environnement difficile, et avons démontré que nous sommes prêts pour une montée en cadence future. Je félicite toutes nos équipes pour cette performance remarquable”, a déclaré Fabrice Brégier, Président d’Airbus Commercial Aircraft et COO d’Airbus. “Nos solides performances opérationnelles, alliées à un marché robuste, désireux de se doter d’appareils de différentes capacités, constituent aujourd’hui un excellent tremplin pour le lancement de nos prochaines étapes : booster nos livraisons, tirer parti des avantages de la digitalisation et déployer notre portefeuille de services dans le monde entier. »

Parmi les jalons les plus notables de 2016, on peut citer la livraison par Airbus de son

10.000ème appareil, un A350 XWB, ainsi que le succès du premier vol de l’A350-1000, l’appareil de plus grande capacité du programme. Par ailleurs, la livraison des deux options de motorisation de l’A320neo, le monocouloir best-seller dans le monde, a commencé. Dans un même temps, l’A321neo équipé de moteurs Pratt & Whitney a été certifié, et le premier appareil assemblé aux Etats-Unis, un A321, a été livré par notre usine de Mobile, Alabama.

L’année a été marquée également par la mise en service du premier A330 Regional, ainsi que le démarrage de la construction du centre de finition et de livraison des A330 en Chine. L’assemblage des A330neo a commencé sur la chaîne d’assemblage final. Airbus a lancé sa nouvelle marque cabine Airspace by Airbus pour ses programmes A330neo et A350 XWB, offrant ainsi aux passagers une nouvelle expérience de confort. En outre, Airbus a créé le site web Ifly A380 qui permet aux passagers d’appliquer leurs propres critères de sélection et de réserver leurs vols à bord d’un A380.

A propos d’Airbus

Airbus est un leader mondial de l’aéronautique, de l’espace et des services associés. En 2015, Airbus a dégagé un chiffre d’affaires de 64,5 milliards d’euros avec un effectif de quelque 136 600 personnes. Airbus offre la gamme la plus complète d’avions civils, d’une capacité de 100 à plus de 600 sièges. Airbus est également un leader européen sur le marché des avions de ravitaillement, de combat, de transport et de mission, et occupe la place de numéro un européen et numéro deux mondial dans l’industrie spatiale. En outre, Airbus propose la gamme d’hélicoptères civils et militaires les plus efficients au monde.

Sur le même thème

Continue reading Airbus atteint ses objectifs 2016 et démontre sa capacité à monter en cadence

Révision des prix 2017 pour la famille d’appareils avancés et économes en carburant d’Airbus

Toulouse, 11 janvier 2017 – Airbus a augmenté de 1 pour cent en moyenne les prix catalogue de l’ensemble de ses appareils à compter du 1er janvier 2017. Cette augmentation a été calculée selon la formule standard d’indexation d’Airbus pour la période allant de janvier 2016 à janvier 2017, et tient compte de l’évolution du prix des matériaux et des produits de base.

« Nos nouveaux prix 2017 traduisent la valeur de la famille complète d’appareils avancés et économes en carburant d’Airbus”, a déclaré John Leahy, Chief Operating Officer Customers, Airbus Commercial Aircraft. “Cette augmentation de prix reflète également la satisfaction de nos clients face à la combinaison gagnante alliant performance, rentabilité opérationnelle et confort passagers”, a-t-il ajouté.

A propos d’Airbus

Airbus est un leader mondial de l’aéronautique, de l’espace et des services associés. En 2015, Airbus a dégagé un chiffre d’affaires de 64,5 milliards d’euros avec un effectif de quelque 136 600 personnes. Airbus offre la gamme la plus complète d’avions civils, d’une capacité de 100 à plus de 600 sièges. Airbus est également un leader européen sur le marché des avions de ravitaillement, de combat, de transport et de mission, et occupe la place de numéro un européen et numéro deux mondial dans l’industrie spatiale. En outre, Airbus propose la gamme d’hélicoptères civils et militaires les plus efficients au monde.

AVIONS AIRBUS

PRIX CATALOGUE MOYENS 2017 (en millions de dollars)

A318

75.9
A319

90.5

A320

99.0
A321

116.0
A319neo

99.5
A320neo

108.4

A321neo

127.0
A330-200

233.8
A330-800 (neo)

254.8
A330-200 Freighter

237.0
A330-300

259.0
A330-900 (neo)

290.6
A350-800

275.1
A350-900

311.2
A350-1000

359.3
A380

436.9

*Ces prix dépendent de la masse de l’avion, la motorisation choisie et le niveau de personnalisation de l’appareil.

Sur le même thème

Continue reading Révision des prix 2017 pour la famille d’appareils avancés et économes en carburant d’Airbus