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Date archive for: février 2017

Défense Conseil International et Diginext, choisis par l’Agence Européenne de Défense pour la formation drone

Paris, le 16/02/2017 – Défense Conseil International (DCI), l’opérateur de référence du ministère de la Défense pour le transfert du savoir-faire militaire français à l’international, remporte un appel d’offre de l’Agence européenne de défense (AED), en qualité de chef de file d’un partenariat avec la société Diginext. Le marché porte sur le développement, le déploiement et la mise à disposition d’un démonstrateur de simulation pour la formation à l’emploi de drones Moyenne Altitude Longue Endurance (MALE) dans les centres d’entraînement aérien de 9 États-membres de l’Union européenne.

L’excellence de DCI et Diginext en termes de formations drone

Réelle reconnaissance de l’expertise de DCI dans le domaine de la formation dans le secteur des drones, ce projet confirme la qualité du partenariat entre DCI et Diginext. La technologie déployée dans leur offre conjointe déjà éprouvée par DCI avec le concours du Centre d’Excellence Drones de l’armée de l’air française et la compétitivité de cette offre ont convaincu l’AED. A la fin du programme, 9 pays européens, parmi ceux qui disposent des technologies drones les plus avancées ou envisageant de s’en doter, seront équipés : France, Allemagne, Italie, Espagne, Grèce, Belgique, Pays Bas, Pologne, Royaume Uni.

L’objectif est de proposer aux 9 pays partenaires de ce programme un dispositif de simulation distribuée, permettant de réaliser des exercices et des entrainements conjoints, grâce à des scénarios configurables, au plus proches de la réalité des théâtres d’opérations.

Une relation de confiance entre DCI et l’Agence européenne de défense

« Nous sommes très fiers de ce nouveau projet, l’aboutissement d’un travail de long terme avec l’AED et notamment sa Communauté d’utilisateurs de drones MALE. Nous les avions rencontrés alors que le Centre d’Excellence Drone hébergeait leur réunion de travail en octobre 2016, ce qui a permis de leur faire connaître le simulateur Diginext de DCI ainsi que nos activités. » souligne Jean-Michel Palagos, Président-Directeur général de DCI.

L’AED confirme ainsi sa coopération avec DCI. Outre les études conduites pour l’AED dans les domaines des hélicoptères, de la plongée militaire et de la marine, DCI dispense plusieurs cours, notamment « Train the trainers course for naval operations rooms » qui porte sur les connaissances techniques et le droit de la mer.

A propos de DCI

DCI est l’opérateur de référence du ministère de la Défense pour le transfert du savoir-faire militaire français à l’international, au profit des forces armées de pays amis de la France. DCI agit, depuis plus de 40 ans, sur tout le spectre de la défense et de la sécurité. DCI peut se prévaloir du label « Formation armées françaises » et propose des prestations sur-mesure de Conseil, Formation et d’Assistance technique. DCI a son siège à Paris et dispose de plusieurs sites d’implantations sur tout le territoire national. Il est également implanté à l’étranger, notamment au Moyen-Orient avec le Qatar, le Koweït, les Emirats Arabes Unis et l’Arabie saoudite et en Asie, en Malaisie, à Singapour et en Inde. DCI poursuit son déploiement international avec des prestations innovantes à haute valeur ajoutée en développant de nouvelles coopérations. Fort de ses 986 salariés, DCI a réalisé en 2015, un chiffre d’affaires de 227,5 millions d’€. www.groupedci.fr

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Embraer nomme un nouveau PDG pour l’unité d’affaires Jets

Melbourne, FL – 16 février 2017 – Embraer a annoncé aujourd’hui la nomination de Michael Amalfitano au poste de président et chef de la direction de son unité d’affaires Jets d’affaires. Amalfitano succédera à Marco Tulio Pellegrini, qui assumera une autre position de leader qui sera bientôt annoncée. Le changement entrera en vigueur le 1er mars 2017.

«Nous sommes ravis que Michael ait décidé de se joindre à Embraer pour diriger nos affaires de Jets d’Édition. Nous sommes confiants qu’en tant qu’exécutif chevronné et expérimenté, il est qualifié pour profiter de notre position de leader dans cette industrie hautement compétitive », a déclaré Paulo Cesar Silva, PDG d’Embraer.

Amalfitano rejoint la société avec 35 années d’expérience dans le financement d’avions d’affaires, après avoir occupé plusieurs postes de direction à l’échelle mondiale avec des sociétés de crédit-bail d’équipement telles que Stonebriar Commercial Finance, Banc of America Leasing, Fleet Capital et GE Capital. Son expérience remarquable et sa réputation dans l’industrie renforcent considérablement la force, le réseau et la présence sur le marché de l’entreprise. «Je suis honoré d’assumer le poste de cadre que Marco a détenu et le privilège de diriger une étonnante équipe d’employés dévoués et de tirer parti de notre portefeuille d’avions très apprécié au profit de nos clients et actionnaires dans le monde», a déclaré le nouveau PDG d’Embraer.

À propos d’Embraer

Embraer est une société mondiale dont le siège social est au Brésil, et qui regroupe des entreprises de l’aviation commerciale et de l’aviation de direction, de la défense et de la sécurité. La société conçoit, développe, fabrique et commercialise des aéronefs et des systèmes, en fournissant un soutien à la clientèle et des services. Depuis sa création en 1969, Embraer a livré plus de 8 000 appareils. Environ toutes les 10 secondes, un avion fabriqué par Embraer décolle quelque part dans le monde, transportant plus de 145 millions de passagers par an. Embraer est le premier fabricant de jets commerciaux jusqu’à 130 sièges. La société entretient des unités industrielles, des bureaux, des centres de service et de distribution de pièces, entre autres activités, à travers les Amériques, l’Afrique, l’Asie et l’Europe.

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AIR CANADA : NOUVELLE LIAISON ENTRE MONTREAL ET TEL AVIV

Paris, le 15 février 2017

Air Canada vient d’annoncer une expansion majeure de ses services entre le Canada et Israël avec le lancement, en juin prochain, d’une liaison saisonnière sans escale entre Montréal et Tel-Aviv et la transformation de son service direct Toronto-Tel-Aviv en vol quotidien exploité à l’année. Air Canada sera ainsi le transporteur proposant le plus grand nombre de places et de fréquences entre le Canada et Israël, avec une hausse de 28% de la capacité par rapport à l’été 2016.

Le service saisonnier Montréal-Tel-Aviv sera assuré deux fois par semaine à partir du 22 juin et jusqu’au 16 octobre 2017. La liaison existante entre Toronto et Tel-Aviv, proposée actuellement à l’année à raison de six vols par semaine, deviendra un service quotidien dès cet été.

Comme le précise Calin Rovinescu, Président et Chef de la direction d’Air Canada : « Air Canada est le chef de file sur le marché canado-israélien, qu’elle dessert depuis maintenant 22 ans. En juin, Air Canada lancera une nouvelle liaison sans escale saisonnière reliant Montréal et Tel-Aviv, consolidant ainsi sa plaque tournante de Montréal. Ce nouveau service s’inscrit dans la stratégie continue d’expansion internationale de la compagnie. Ce mois-ci, Air Canada inaugure un nouveau service Montréal-Shanghai et a d’ores et déjà annoncé de nouvelles liaisons à l’été avec Marseille, Alger, Reykjavík et Dallas. »

Les vols entre Montréal et Tel Aviv seront opérés sur A330-300 de 292 places avec trois classes de service, dont la Classe affaires internationale d’Air Canada dotée de 27 loges distinction avec fauteuil-lit entièrement inclinable et accès direct au couloir.

Dans la cabine Économique Privilège, qui comporte 21 places, les passagers disposent d’un espace personnel plus généreux ainsi que de fauteuils plus larges avec plus d’espace pour les jambes et pour incliner le dossier. Ils profitent aussi d’un service de repas haut de gamme, d’un service de consommations gratuit, ainsi que de l’enregistrement et de la livraison prioritaires des bagages à l’aéroport.

La cabine économique compte 244 sièges offrant un confortable espace personnel et un système de divertissements individuel à la fine pointe de la technologie, avec une programmation sur demande.

L’horaire des vols est établi de manière à permettre des correspondances pratiques avec d’autres vols du vaste réseau intérieur et transfrontalier d’Air Canada. Les billets pour le nouveau vol Montréal-Tel-Aviv seront disponibles à la vente à compter du 15 février 2017, sous réserve des approbations gouvernementales définitives.

A propos d’Air Canada

Air Canada est le plus important transporteur aérien du Canada à proposer des services intérieurs et internationaux, pour plus de 200 aéroports répartis sur six continents. Le transporteur national du Canada compte parmi les 20 plus importantes compagnies aériennes à l’échelle mondiale et a accueilli plus de 45 millions de clients en 2016. Air Canada fournit des services passagers réguliers directs sur 64 aéroports au Canada, 57 aux États-Unis et 91 en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique, en Asie, en Australie, dans les Antilles, au Mexique, en Amérique centrale et en Amérique du Sud. Air Canada est un membre fondateur du réseau Star AllianceMD, le plus vaste regroupement de transporteurs aériens du monde, qui dessert 1.330 aéroports dans 192 pays. Air Canada est le seul transporteur nord-américain d’envergure internationale auquel sont conférées quatre étoiles, selon la firme de recherche indépendante britannique Skytrax.

Pour en savoir plus : www.aircanada.com.

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L’IPSA gagne 28 places dans le classement 2017 des 100 meilleures écoles d’ingénieurs de France

Après avoir déjà progressé de 21 places l’an dernier, l’IPSA fait un nouveau bond en avant dans le classement 2017 des 100 meilleures écoles d’ingénieurs de France établi par le magazine L’Usine Nouvelle. Cette année, l’école progresse ainsi de 28 places, s’appropriant ainsi la 31e position au classement général et la 15e position dans la catégorie post-bac.

Forte de sa proximité avec les grands acteurs de l’aéronautique et du spatial, l’IPSA se distingue particulièrement pour l’insertion professionnelle de ses diplômés, avec un taux de 88,50 % (88,16 % des IPSAliens trouvant leur emploi moins de deux mois après l’obtention de leur titre d’ingénieur, 94,59 % obtenant un CDI dans les six mois) et un salaire annuel brut de sortie de 40 200 euros.

Autre point fort de l’école, son goût pour l’International. L’IPSA voit ainsi 100 % de ses étudiants du Cycle Ingénieur séjourner au moins un semestre en dehors de France. 14 % de ses futurs ingénieurs profitent également des nombreux partenaires académiques à l’étranger de l’école pour obtenir un double-diplôme représentant une réelle plus-value dans un secteur ouvert sur le monde.

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signature du contrat industriel pour la première mission d’astronautes à bord du véhicule spatial Orion

Brême, 08/02/2017 – C’est un module de service européen qui assurera la propulsion du véhicule spatial Orion de la NASA dont la première mission, en 2018, consistera à aller audelà de la Lune puis à revenir sur Terre. L’ESA et Airbus Defence and Space viennent de convenir avec la NASA de construire un deuxième module en vue d’une deuxième mission, habitée cette fois, en 2021.

Ce sera la première fois depuis 1972 que des hommes quitteront l’orbite terrestre basse ; et ce sont des équipements européens qui assureront la propulsion, l’alimentation électrique, l’approvisionnement en eau et le contrôle thermique pour un équipage pouvant comporter jusqu’à 4 astronautes.

L’accord conclu, qui vient prolonger la collaboration ESA/NASA dans le domaine des vols habités, entamée avec la Station spatiale internationale, constitue une preuve de la reconnaissance des compétences d’Airbus et de l’ESA.

L’ESA signera le contrat correspondant avec Airbus Defence and Space en vue de la construction du deuxième module de service européen dans le bâtiment d’intégration d’Airbus DS à Brême (Allemagne), où le premier module est déjà en cours d’assemblage.

David Parker, le Directeur Vols habités et Exploration robotique de l’ESA, sera présent lors de la conférence de presse, ainsi que Matthias Maurer, le dernier astronaute recruté par l’ESA.

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Vincent Robert (IPSA promo 2006), enseignant-chercheur et chasseur d’astéroïdes

Enseignant-chercheur à l’IPSA, Vincent Robert (IPSA promo 2006) fait également partie d’un groupe de travail utilisant le satellite Gaia pour la détection d’objets inconnus dans l’espace. Alors que son équipe a pu découvrir un nouvel astéroïde en octobre dernier, le premier depuis le lancement du satellite en 2013 (lire la publication consacrée à cette découverte sur le site Internet de l’Agence Spatiale Européenne), Vincent Robert détaille les coulisses de cette activité collaborative passionnante.

Qu’est-ce que Gaia ?

Vincent Robert : Gaia est une mission européenne associée à un satellite envoyé pour cartographier l’ensemble des étoiles de notre galaxie, avec aussi plusieurs activités liées aux satellites naturels des planètes. Dans le cadre de cette mission, il y a un groupe de travail, Gaia FUN SSO, dans lequel je suis impliqué depuis six mois et dont les travaux portent sur l’applicatif direct des données en temps en réel fournies par le satellite. Pour faire simple, quand Gaia « scanne » et observe – y compris en ce moment même – des portions de la voie lactée, il peut émettre des alertes. En fait, pendant qu’il cartographie, il sait globalement déjà ce qu’il est en train de regarder et l’approfondit. Et si jamais il détecte un objet inconnu dans son champ de vision, il envoie automatiquement une alerte au sol qui nous est relayée. Une fois alertés, notre but est de confirmer le plus rapidement possible ce signalement.

Comment, à partir de cette alerte, pouvez-vous désigner l’objet comme un astéroïde ?

Déjà, il y a un prétraitement opéré par le pipeline Gaia : quand un nouvel objet potentiel est détecté dans son champ de vision, un court suivi permet de calculer une première orbite. Ainsi, quand nous recevons l’alerte au sol, nous avons à disposition une « zone probable » – soit une extrapolation de l’orbite – dans laquelle nous devrions pouvoir trouver l’objet dans les prochains jours. Du coup, si nous sommes à proximité d’un télescope, nous pointons ce dernier dans ce champ-là et faisons des « pauses » successives sur le ciel. Pourquoi ces pauses ? Parce que ces objets sont généralement très faibles. Cela nous oblige donc à pratiquer ces pauses d’une durée générale de trois minutes. Il y a une probabilité moyenne de retrouver l’objet, mais si nous avons visé dans la bonne zone, nous verrons un objet bouger au fil des pauses, ou plutôt un petit point lumineux se déplacer alors que les autres points autour – les étoiles – restent immobiles. A ce moment-là, on sait que l’on a affaire à un astéroïde. Reste alors à savoir s’il s’agit d’un astéroïde déjà connu ou non. Pour cela, on utilise les catalogues d’astéroïdes déjà existants afin de faire tous les calculs et vérifications nécessaires. Si c’est bien un objet inconnu, on garde nos pauses successives, on affine l’orbite et on reconfirme le tout la nuit suivante.

C’est comme cela que vous avez pu en découvrir un en octobre dernier. D’ailleurs, lui avez-vous donné un nom ?

Pour l’instant, son nom est un nom générique, décidé par le pipeline Gaia, soit Gaia-606, mais nous sommes justement en discussion avec les instances européennes pour savoir si les observateurs auront la possibilité de nommer eux-mêmes ces nouveaux objets.



En tant qu’enseignant-chercheur, qu’est-ce que vous apporte votre participation à ces missions ?

À la base, l’observation est partie intégrante de mon métier. J’en fais déjà beaucoup, avec une spécialisation sur les satellites naturels des planètes. Du coup, à titre personnel, cette mission est intéressante car elle me permet d’élargir mon champ d’activité à d’autres objets spatiaux. Après, cela permet aussi à mes étudiants de voir que la recherche peut aussi aboutir sur du concret. On entend souvent que les chercheurs ne sont payés qu’à chercher… et bien, parfois, on trouve ! D’ailleurs, au mois de janvier, avec ma doctorante Éléonore Saquet (IPSA promo 2014), nous avons même trouvé un nouvel astéroïde non répertorié jusqu’alors ! Cette fois-ci, il se nomme g0T0015. Et nous espérons encore en trouver d’autres par la suite.

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Lancement de l’Université du Transport Aérien 2017

La DGAC et l’ENAC lancent l’Université du Transport Aérien, destinée aux décideurs du monde aéronautique. La première édition est organisée en 6 modules de 3 jours entre avril et novembre 2017. Les inscriptions sont ouvertes.

Cadres et responsables de programmes, hauts potentiels de tous les acteurs du secteur (industrie aéronautique, compagnies aériennes, aéroports, agences, autorités) : une université du transport aérien et de l’aviation civile vient de se créer, pour rapprocher les mondes, et

comprendre les enjeux de chacun, coordonner l’action business et l’action publique, renforcer la vision globale, constituer des viviers de compétences, et vous aider dans vos parcours individuels.

  • Les enjeux actuels de l’aviation civile et l’intelligence économique
  • Le rôle de tous les acteurs et les métiers
  • Les territoires et les ruptures techniques, digitales, sociales, l’environnement
  • Sécurité, sûreté, capacité en mode opérationnel
  • Un système performant confronté au risque
  • Regards croisés : Europe et International

6 Modules de 3 jours

Avril – Mai – Juillet – Septembre 2017

Octobre – Novembre 2017

Paris, DGAC – Toulouse, ENAC, AIRBUS et Thalès

Bordeaux, Aerocampus et Dassault

Paris, CDG – Massy, Safran Academy

Bruxelles, Parlement Européen et RP

Information / inscription :

uta@enac.fr

L’Ecole aéronautique n°1 en Europe

L’ENAC, Ecole Nationale de l’Aviation Civile, est la plus importante des Grandes Ecoles ou universités aéronautiques en Europe.

Le spectre des métiers auxquels l’ENAC forme est très large : des ingénieurs ou des professionnel de haut niveau capables de concevoir et faire évoluer les systèmes aéronautiques (avions dont les cockpits et les moteurs, etc.) et plus largement ceux du transport aérien (aéroport, compagnies aériennes, contrôle aérien, etc.) ainsi des pilotes de ligne, des contrôleurs aériens ou encore des techniciens aéronautiques.

L’ENAC forme ainsi à la quasi-totalité des métiers des domaines de l’aéronautique et du transport aérien. Elle accompagne ainsi les besoins de formation de l’ensemble des acteurs publics (autorités de l’aviation civile, services de contrôle aérien, etc.) et privés (avioneur, motoristes, équipementier, aéroport, compagnies aériennes, etc.) de ces domaines en France, en Europe et dans le monde.

Les diplômes correspondant aux métiers auxquels forme l’ENAC varient du baccalauréat + 1 année jusqu’au baccalauréat + 8 années et sont, pour certains d’entre eux, considérées comme des références mondiales.

Elle possède l’une des meilleures écoles d’ingénieurs en France, avec une filière Ingénieur bénéficiant des dernières avancées pédagogiques et technologiques. Elle propose également que des Masters et Mastères Spécialisés en ingénierie offrant des compétences théoriques et pratiques uniques.

Enfin ses laboratoires de recherche sont à la pointe de l’innovation et travaillent activement en coopération avec des universités internationales de haut niveau pour un transport aérien toujours plus sûr, efficace et durable.

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Publication : des algorithmes pour l’optimisation du trafic aérien

Trois chercheurs de l’équipe de recherche OPTIM – Optimisation et Systèmes Dynamiques, publient un livre « Metaheuristic in air traffic management », un condensé de 20 ans de recherche dans le domaine. Découvrez au travers de l’interview des auteurs ce qu’est la métaheuristique et comment les algorythmes peuvent contribuer à un trafic aérien optimise et plus sûr.

Interview de Nicolas Durand, David Gianazza et Jean-Baptiste Gotteland, les trois chercheurs de l’ENAC auteurs du livre « Metaheuristics for Air Traffic Management ».

Tout d’abord qu’est-ce que la métaheuristique?

Une métaheuristique est un algorithme d’optimisation visant à résoudre des problèmes difficiles pour lesquels des méthodes d’optimisation classiques sont inefficaces ou impossibles à utiliser. C’est généralement un algorithme stochastique itératif progressant vers un optimum que l’on espère global, sans garantie de l’obtenir. Une métaheuristique permet de traiter des problèmes variés dont la fonction objectif résulte par exemple d’une simulation.

Comment cela peut-il être concrètement appliqué à de l’Air Traffic Management?

La gestion du trafic aérien pose de nombreux problèmes d’optimisation, et ce dans toutes les phases de vol. La structuration de l’espace, l’organisation des flux sur le long terme, l’allocation de niveaux de vols, de créneaux de décollage à plus brève échéance, le roulage au sol sur des grands aéroports, la détection et résolution de conflits en route sont autant de problèmes de grande taille, faisant intervenir de nombreux paramètres d’incertitudes et difficiles à modéliser par de simples équations. Ce sont des problèmes qui trouvent parfois des solutions efficaces grâce à des métaheuristiques.

Quels sont les apports du livre ?

Ce livre condense 20 ans de recherches dans le domaine du l’optimisation de la gestion du trafic aérien. Il rassemble l’état de l’art dans le domaine et propose de nombreux exemples d’applications utilisant des données réelles de trafic. Nous proposons des modèles permettant la prise en compte des nombreuses incertitudes liées au domaine du trafic aérien. En cela, ce livre a une approche pragmatique et originale des problèmes.

Plus d’informations sur l’équipe de recherche OPTIM ici ///

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Plus d’informations sur l’ouvrage et l’acquérir sur le site de l’éditeur ///

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Delair Tech triple son chiffre d’affaires cette année et étend son réseau de distributeurs

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Ciel bleu pour la société toulousaine Delair Tech. Grâce à sa stratégie réussie de croissance externe avec l’acquisition de Eukréa Electromatique et Gatewing, consolidant sa position de leader, la société affiche un CA de 7,1 millions de dollars et vient encore de lever 15 millions de dollars.

Stratégie gagnante également, son implantation à Los Angeles, vitrine de la technologie mondiale. La sortie en juin dernier de la règlementation FAA libérant l’usage du drône aux US est un levier de croissance pour Delair Tech lui ouvrant des parts de marché.

La combinaison de hardware et de software font des drones de Delair Tech un produit à très forte valeur ajoutée et un véritable outil industriel.

La recherche et Développement pour laquelle Delair Tech a consacré 40% de son CA en 2016 est un grand axe stratégique pour 2017 avec l’expansion mondiale du drone de services. Delair Tech compte produire des drones de génération 2 plus performants.

Leader auprès des acteurs industriels agricoles, la société a atteint la taille critique nécessaire de 106 salariés pour se maintenir dans la compétition. Cette croissance harmonieuse continue en 2017, Delair Tech prévoit encore l’embauche de 20 personnes cette année dans les différents domaines du Marketing et de la vente – qui est une priorité -, de la R&D et du support principalement au siège de Toulouse et à Los Angeles. Delair Tech a aussi mis en place un réseau harmonisé de distributeurs dans plus d’une centaine de pays.

Nadia Didelot AeroMorning

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