Skip to content

Date archive for: avril 2016

ERA is delighted to welcome Nordica into membership

Estonia’s new national carrier, Nordica, has joined the European Regions Airline Association (ERA) – one of the 52 airlines in membership at the association. Nordica aims to open up Estonia to European economic and social development opportunities and is a great example of the vital role that regional operators play in enabling connectivity in Europe.

Launched in September 2015, within just two months Nordica was operating scheduled flight connections on eight routes from Tallinn to Amsterdam, Brussels, Stockholm, Oslo, Kiev, Trondheim and Vilnius initially flying under a commercial agreement with Adria Airways in co-operation with Nordic Aviation Group. Some fellow ERA member airlines, including BMI Regional and Carpatair, helped with Nordica’s wet leases. However, Nordica has since taken delivery of the first of its own aircraft, a Bombardier CRJ-700 in January 2016, and will have six CRJs in operation from July this year. Many new routes including Munich, Berlin, Paris, Nice, Split, Vienna, Odessa and Rijeka have also been introduced.

In addition to its core business of providing cost-effective, direct routes from Tallinn to key European destinations, Nordica will offer regional aircraft capacity to other airlines or to communities which need connectivity.

Previously known as Nordic Aviation Group, the Estonian carrier has rebranded as Nordica with a dragonfly logo which, explains Jaan Tamm, CEO Nordica, is representative of the carrier’s Nordic heritage and its commitment to fast and efficient flying.

Simon McNamara, Director General ERA, comments: “Nordica embodies the true spirit of ERA – an entrepreneurial company that is dedicated to providing connectivity to one of Europe’s more remote regions. I am delighted that the airline has chosen to join ERA to better exploit business opportunities and benefit from regulatory advice and support.”

“ERA does a fantastic job of defending and lobbying on behalf of regional operators in Europe – alone Nordica would not have any influence over European regulatory issues. Nordica will also benefit from the great networking opportunities that ERA’s conferences provide where we can meet with other airlines, aircraft manufacturers and product suppliers,” adds Tamm.

For further information and to arrange an interview with an ERA representative, please contact Celia Mather, Manager Corporate Communications, ERA:

Continue reading ERA is delighted to welcome Nordica into membership

Boeing récompense 12 fournisseurs pour leurs performances exceptionnelles en 2015

FacebookTwitterGoogle+LinkedInPartager

  • Labinal Power Systems (Groupe Safran) remporte un trophée « Fournisseur de l’Année 2015 »

SEATTLE, le 28 avril 2016 — Boeing a publié ce jour la liste des 12 lauréats de ses trophées « Fournisseur de l’Année 2015 », parmi lesquels Labinal Power Systems (Groupe Safran) dans la catégorie Production & Conception. Tous ces fournisseurs ont été récompensés pour la qualité de leurs produits ou services, mais également pour la valeur ajoutée qu’ils apportent à Boeing et à ses clients dans le monde entier.

Les solides performances et la collaboration dont ont fait preuve les fournisseurs primés ont permis à Boeing de dépasser les attentes de ses clients, tout en contribuant au chiffre d’affaires record de 96,1 milliards de dollars réalisé par le Groupe en 2015.

« Je suis le témoin privilégié du rôle crucial que jouent nos fournisseurs — et tout particulièrement les meilleurs d’entre eux — dans le succès de Boeing », a déclaré Dennis Muilenburg, Président-directeur général de Boeing. « C’est grâce à nos partenaires que nous pouvons livrer à nos clients des avions plus performants à moindre coût dans un environnement économique à la fois difficile et dynamique. Nous nourrissons des objectifs ambitieux pour l’avenir, et je suis convaincu que nous les atteindrons, notamment en travaillant étroitement avec notre formidable équipe élargie. »

En 2015, Boeing a dépensé 62 milliards de dollars chez plus de 13 000 fournisseurs dans 47 pays. Les composants et systèmes fournis par les partenaires extérieurs de Boeing représentent environ 65 % du coût de ses produits. Rien qu’en France, Boeing se fournit auprès de plus d’une centaine d’entreprises.

« Alors que nous demandons toujours plus d’efforts à nos fournisseurs, les lauréats des trophées de « Fournisseur de l’Année» reflètent un dévouement et un engagement sans faille en faveur de Boeing et de ses clients du monde entier », a ajouté Pat Shanahan, senior vice-president de Boeing en charge de la chaîne d’approvisionnement et des opérations. « Ces entreprises comptent parmi les meilleurs fournisseurs aéronautiques mondiaux. Avec leur soutien, nous maintiendrons notre place de leader sur le marché au cours des 100 prochaines années avec des produits à la fois compétitifs, innovants, et à la pointe de la technologie. »

Pour visionner des vidéos sur les 12 fournisseurs récompensés lors des trophées « Supplier of the Year 2015 », visitez le site http://www.boeing.com/media/boeing-supplier-of-the-year-2015.page

Liste des entreprises récompensées par catégorie :

  • Trophée « Corporate Citizenship » : Orion Industries
  • Trophée “Collaboration” : Nabtesco Corporation
  • Trophée “Global Supplier Diversity” : Advanced Electronics Company
  • Trophée “Safety” : VECA Electric & Technologies
  • Trophée “Support & Services” : CTS Engines
  • Trophée “Production & Design” : Labinal Power Systems
  • Trophée “Outstanding Performance” : Cyient Limited
  • Trophée “Technology” : General Nano
  • Trophée “Leaders’ Choice Pathfinder” : Rossell Techsys (Division de Rossell India Limited)
  • Trophée “Leaders’ Choice Advantage” : Citi®
  • Trophée “Leaders’ Choice Innovation” : TEAGUE
  • Trophée “Leaders’ Choice Alliance” : JAMCO CORPORATION

Continue reading Boeing récompense 12 fournisseurs pour leurs performances exceptionnelles en 2015

Thomas Rueckert is new head of aircraft overhaul services

new headNominations

Posted By: aeromorning23 avril 2016

FacebookTwitterGoogle+LinkedInPartager
 Thomas Rueckert has become new head of aircraft overhaul services at Lufthansa Technik. The 45-year-old industrial engineer has replaced Soeren Stark, who has been appointed to the Executive Board of Lufthansa Cargo as COO. In his new function Thomas Rueckert will lead the international overhaul network of Lufthansa Technik with eight sites in Europe, Asia and the Americas. "We're delighted to have secured Thomas Rueckert, an internationally experienced manager, for this complex role. He already has a proven track record in a very wide range of aircraft maintenance and overhaul activities and will be continuing the successful work of Soeren Stark," said Thomas Stueger, Chief Executive Products, Services & IT at Lufthansa Technik. Thomas Rueckert was latterly Vice President of the overhaul services production network, based in Hamburg. Since joining Aircraft Maintenance at Lufthansa Technik AG in Frankfurt in 1997, Rueckert has had various roles, including as Vice President Aircraft Maintenance at Lufthansa Technik Philippines and CEO at Shannon Aerospace. From 1990 to 1998, he studied industrial engineering in Darmstadt and managed his family's own company on a temporary basis. Lufthansa Technik's overhaul services product division is responsible for the overhaul and modification of Airbus and Boeing aircraft for commercial customers. It comprises sites in Germany, Ireland, Malta, Bulgaria, Hungary, Puerto Rico and the Philippines. Its remit covers layovers at C-check level and above. Around 5.500 employees work on more than 40 overhaul lines in the winter peak time, performing over 600 events per year. Lufthansa Technik: The Lufthansa Technik Group, with more than 30 subsidiaries and about 25,000 employees worldwide, is one of the leading providers of services for the aviation industry. Lufthansa Technik is licensed internationally as a repair, production and development enterprise. The Group's portfolio encompasses the entire spectrum of services in the areas of maintenance, repair, overhaul, modification and conversion, engines and components. 

Continue reading Thomas Rueckert is new head of aircraft overhaul services

Le transport aérien sera-t-il tout automatisé en 2050 ?

FacebookTwitterGoogle+LinkedInPartager

COLLOQUE INTERNATIONAL

1-2 juin 2016, au Centre International de Conférences de Météo-France, Toulouse-France

Objectifs

Grâce aux nouvelles technologies améliorant son efficacité et sa sécurité, le transport aérien (TA) est devenu l’un des moteurs essentiels des activités économiques et sociales de la planète. D’abord mécaniques, thermodynamiques puis électroniques, ces technologies sont maintenant très imprégnées de numérique, information et communication. Certains des produits résultants, qualifiés d’automates, se substituent à des fonctions de l’homme entraînant une évolution de son rôle, particulièrement de celui du pilote à bord. Cette évolution rend la machine apparemment plus autonome, alors qu’en fait elle ne dote l’opérateur humain qui coopère que de prothèses intelligentes amplifiant ses capacités physiques et cognitives, sans modification de son statut formel de maître à bord. Son extension, visant à améliorer encore l’efficacité du Transport Aérien, conduit à se poser la question de l’appréhension des limites de cette coopération entre l’automatisme et l’opérateur. En particulier, qu’advient-il d’une panne de prothèse ? Quand et dans quelles conditions l’homme, “surveillant”, peut-il reprendre le contrôle direct de la machine sans risque ?

Par ailleurs l’évolution du rôle de l’homme s’est déjà produite avec la réduction de l’équipage à deux pilotes sur les avions de transport. Elle se poursuit avec certaines opérations à un seul pilote à bord ainsi qu’avec des véhicules seulement supervisés à partir du sol. De plus en plus d’acteurs du secteur du Transport Aérien seront interconnectés pour la transmission des données indispensables à l’accomplissement de la mission sûre et optimale. De la sorte, les aéronefs ainsi plus automatisés, évolueront dans un univers opérationnel de plus en plus complexe nécessitant de nombreuses communications dont la fiabilité, cruciale, doit être assurée. Quels sont les objectifs à viser et pourra-t-on les atteindre ?

La connaissance des limites possibles de ces évolutions à l’horizon 2050 mérite une réflexion approfondie qui sera l’objet de ce colloque.

Contexte

Ce colloque est un prolongement de travaux menés dans trois colloques organisés par l’AAE sur les thèmes “Aircraft and ATM Automation” en 2005, “Pilotes de transport aérien face à l’imprévu” en 2011 et “Comment volerons-nous en 2050 ?” en 2012. Pour les deux derniers, les Actes et Dossiers de recommandations peuvent être consultés ou commandés sur notre site : www.academie-air-espace.com

Déroulé du Colloque

Le Colloque aura lieu au Centre International de Conférences de Météo-France, 42 avenue Gaspard Coriolis, 31000 Toulouse. Ce Colloque fait appel à des conférenciers de très haut niveau qui dresseront le panorama complet de cette évolution. Il s’organisera en six sessions :

• La philosophie des automatismes et leur introduction progressive et leur introduction progressive au bénéfice de l’aviation ;

• Considérations sur l’extension de l’automatisation dans l’aviation ;

• Les limites humaines face aux automatismes ;

• Les apports de la recherche ;

• Les propositions de réalisation ;

• Les points de vue à considérer.

A la fin des sessions, les participants pourront dialoguer avec les orateurs.

Ce Colloque s’achèvera par une table ronde.

Plus d’informations sur : www.academie-air-espace.com/ATA/

Continue reading Le transport aérien sera-t-il tout automatisé en 2050 ?

Aircelle is ready to climb

FacebookTwitterGoogle+LinkedInPartager

Colomiers, le 16 avril 2016

Développé par 2 partenaires Snecma et GE, associés depuis 40 ans au sein de CFM International, les deux premiers moteurs LEAP-1A de série destinés à équiper les monocouloirs A320neo d’Airbus a été livré le vendredi 15 avril 2016 à Airbus pour son A320neo. En réalité, il s’est agit pour le groupe Safran de la livraison de l’ensemble propulsif complet du premier A320neo doté de ce type de moteurs. Non seulement ces ensembles propulsifs comportent les moteurs mais aussi leurs nacelles.

Cette solution de motorisation qui est actuellement testée par Airbus sur deux A320 et un A321 d’essais à Toulouse, donnent les résultats annoncés notamment en terme d’environnement : comme l’a affirmé Olivier Andriès, les objectifs de gain de performance globale de 15 % sont atteints, notamment concernant la consommation de carburant et d’atténuation de l’empreinte sonore. Un gain de performances qui est atteint non seulement par l’A320neo et son moteur LEAP-1A, mais aussi par le Boeing 737MAX pour lequel c’est la version LEAP-1B qui est offerte avec cette fois une nacelle « designée » par Boeing.

En plus d’Airbus et de Boeing, le LEAP a aussi été sélectionné par le Chinois Comac pour son tout nouvel appareil, le C919 pour lequel c’est le LEAP-1C qui a été retenu avec cette fois un accord qui porte sur un ensemble propulsif intégré (comme pour Airbus), à savoir que la nacelle fait partie intégrante de l’offre. Dans ce cas le moteur est du ressort de CFM International tandis que la nacelle relève des compétences associées de MRSA (filiale de GE) et d’Aircelle (filiale de Safran) au travers de la coentreprise Nexcelle dont les règles qui la régissent sont calquées sur celles de CFM International.

Ce nouveau moteur innovant, tout en conservant la fiabilité légendaire du CFM56 allie des techniques de conception aérodynamique, des matériaux plus légers et plus endurants, de vraies ruptures technologiques par rapport à la génération précédente qui permettent d’atteindre les objectifs de réduction des émissions d’oxyde d’azote (NOx), des émissions de CO2 et de niveau sonore, caractéristiques qui découlent du choix des matériaux de nacelle.

Ces nombreux avantages pour les opérateurs sont renforcés par la fiabilité la plus élevée aujourd’hui en terme de motorisation aéronautique, associée aux coûts de maintenance les plus faibles.

Le LEAP-1A a reçu en novembre 2015 sa double certification européenne et américaine et entrera donc en service en 2016 sur un A320neo aux couleurs d’un client dont le nom reste encore inconnu à ce jour. Il entrera ensuite en service sur un 737MAX en 2017 puis se devrait être en 2018 pour le C919 bien que l’on parle actuellement d’un retard dans sa mise en service qui reculerait cette échéance à 2019.

Pour répondre au besoin d’économie de carburant de ses clients CFM a retravaillé les architectures sur le Leap avec un diamètre plus gros. L’un des éléments qui donne de l’efficacité propulsive c’est le rapport flux air chaud et flux air froid. Cela permet de faire de la réduction de consommation de carburant dans une architecture conventionnelle.

Outre l’augmentation du diamètre de soufflante plus important, les autres technologies de pointe apparues de série sur le LEAP afin de permettre des températures plus élevées, on peut également souligner :

• l’emploi du nouveau matériau intermétallique TiAl (aluminure de titane) pour alléger la turbine basse pression, et permettant des gains de masse significatifs.

• Safran développe un matériau totalement avant-gardiste, le CMC (composite à matrice céramique) qui est deux fois plus résistant aux très hautes températures (de 2000 à 2400°F) que les superalliages à base de nickel et trois fois plus léger que ces derniers. Ce matériau sera utilisé pour développer des pièces de forme complexe.

• l’emploi par GE d’une chambre à combustion pauvre TAPS II(Twin-Annular Pre-Swirl) à prémélange et prérotation tourbillonnaire, permettant de réduire très sensiblement les émissions d’oxydes et de particules fines (50% de marge sur les NOx par rapport à la norme environnementale OACI CAEP/6)

Pour le LEAP, une technologie de rupture sur laquelle le groupe travaille depuis 20 ans, une technologie de tissage en 3 dimensions d’une préforme fibreuse en carbone associée au moulage par transfert de résine (RTM pour Resin Transfer Moulding) a été développée non seulement pour les aubes de soufflante mais aussi pour son carter.

Cette technique utilisée pour les 18 aubes de la soufflante et le carter de rétention qui l’entoure a été choisie en raison de l’avantage en masse de l’ordre de 500 kg qu’elle procure, comparée à une solution métallique. Ce bénéfice a été utilisé pour augmenter le taux de dilution du moteur en limitant l’augmentation du poids du module de soufflante. Elle offre par ailleurs une robustesse accrue aux chocs et aux températures sans « quasiment aucune maintenance ».

Parallèlement pour la nacelle du LEAP-1A Aircelle a travaillé la masse avec une utilisation encore accrue des matériaux composites, la nacelle est devenue plus légère. Elle contribue pour une grande part à atténuer le bruit émis par le moteur, grâce à l’utilisation des traitements acoustiques appliqués sur ses parois intérieures.

A la deuxième place mondiale des plus grands fournisseurs de nacelles, Aircelle a transformé la manière de travailler et a mis en place une organisation industrielle et une ergonomie du poste de travail visant l’efficacité : des moyens de production optimisés, lignes automatisées et moyens de contrôle innovants.

Les temps de manutention gagnés sont dus à des robots de ponçage et de peinture qui permettent d’augmenter la précision, – de faire ainsi des économies de peinture, et donc de réduire encore le poids -, temps gagnés aussi grâce aussi à des Smart Trolleys qui accélèrent le processus d’intégration des nacelles.

Un gros défi se profile maintenant, la montée en cadence, et Olivier Andries, PDG de Snecma annonce 100 moteurs livrés cette année, 500 l’an prochain, 1 200 en 2018, 1 800 en 2019, 2 000 moteurs en 2020.

En moins de 5 ans le groupe s’engage à passer à 2 000 moteurs par an. Depuis 2012, des investissements significatifs ont été réalisés, et 60 personnes sont dédiées au projet de montée en cadence du Leap, pour suivre les 300 fournisseurs du programme. Car de 50 A320neo produits par mois que projetait d’assembler Airbus par an, ce chiffre est passé à 60.

Pour AeroMorning, Nadia Didelot

Continue reading Aircelle is ready to climb

22/04/16 à 23h02 : lancement du satellite scientifique MICROSCOPE, fruit de la collaboration entre ALTEN et le CNES

FacebookTwitterGoogle+LinkedInPartager

Le 22 avril à 23h02 précisément (heure française), le dernier satellite scientifique du Centre Nationale d’Etudes Spatiales (CNES) sera mis en orbite à Kourou (Guyane). Destiné à devenir un instrument majeur de la recherche scientifique, le satellite MICROSCOPE est le fruit de la collaboration intense entre le CNES et ses partenaires, dont ALTEN, leader mondial de l’Ingénierie et du Conseil en Technologies. Travaillant ensemble depuis plus de 15 ans, le CNES a renouvelé sa confiance en faisant d’ALTEN le maître d’œuvre sur l’Assemblage, l’Intégration et les Tests sur MICROSCOPE. Aujourd’hui, le travail effectué sur MICROSCOPE parle de lui-même et démontre la maturité et le savoir-faire du pôle aérospatial d’ALTEN.

ALTEN, un maitre d’œuvre multi-métiers pour un satellite d’expérimentation destiné à faire avancer la recherche scientifique

MICROSCOPE pour MICRO-Satellite à trainée Compensée pour l’Observation du Principe d’Equivalence. Ce tout nouveau satellite, qui sera lancé ce 22 avril par la fusée Soyouz, permettra aux chercheurs de réaliser une expérience jusqu’ici totalement inédite dans l’espace : tester le principe de l’universalité de la chute libre. Avec MICROSCOPE, ce ne seront pas moins que les dernières avancées technologiques qui serviront à prouver ou à réfuter l’un des principes fondamentaux de la physique déjà connu de Galilée. En effet, la chute simultanée dans l’espace de deux masses de natures différentes mais soumises au même champ gravitationnel permettra une mesure bien plus précise qu’une expérience réalisée sur Terre.

Dans le cadre de cette mission d’envergure inédite, ALTEN, collaborateur historique du CNES, s’est vue confier certaines étapes des plus essentielles du processus et ce dans leur totalité : l’Assemblage, l’Intégration et les Tests (850 procédures de tests ont été nécessaires) sur les pièces du satellite.

Afin de pouvoir réaliser à bien cette mission, qui a duré près de 2 ans et demi, et ce transfert de responsabilité de la part du CNES, toutes les disciplines de l’ingénieur ont été sollicitées : mécanique, électronique, management de projet… C’est la capacité reconnue d’ALTEN pour gérer de A à Z des projets appelant à des compétences multidisciplinaires qui a su faire la différence auprès du CNES. La flexibilité et la réactivité des équipes ALTEN ont aussi permis de faire face à la montée des cadences durant les derniers mois du projet, notamment grâce à une organisation en 3X8, et de terminer avec un jour d’avance ! Et ce n’est pas tout à fait fini, puisqu’une équipe d’ingénieurs d’ALTEN sera présente au Centre Spatial Guyanais pour assurer des opérations de surveillance jusqu’au tir et aura donc la chance de participer au décollage de la fusée Soyouz.

A la conquête de l’espace, ALTEN accompagne les acteurs clés de l’aérospatial dans leur politique d’industrialisation

Partenaire du CNES depuis 2000, ALTEN a notamment eu l’occasion de travailler sur quelques-uns des projets les plus emblématiques du secteur aérospatial, notamment sur le micro-satellite Picard en 2010 qui fut lancé pour étudier l’activité solaire sur le climat terrestre. En parallèle de MICROSCOPE, ALTEN a travaillé sur un autre satellite scientifique, TARANIS, qui devrait être opérationnel d’ici la fin de l’année et se consacrer à l’observation des phénomènes orageux dans l’atmosphère terrestre.

Le volet scientifique n’est pas le seul secteur qui connait actuellement une forte poussée dans le monde des satellites. Les prochaines années vont en effet être cruciales pour les programmes de développement de satellites télécoms qui rentrent dans une véritable dynamique industrielle jusque-là sans précédent, notamment avec le lancement de véritables constellations de centaines de satellites communiquant entre eux.

ALTEN aura bien évidemment un rôle à jouer auprès des nombreux lanceurs et fabricants à travers le monde. Très bien implanté dans le bassin historique toulousain, le pôle aérospatial ALTEN connait un véritable développement sur le territoire français, notamment en région parisienne et dans le Sud.

Avec actuellement 350 ingénieurs spécialisés, ALTEN poursuit sa belle dynamique dans l’un des secteurs les plus porteurs de l’industrie française.

À propos d’ALTEN

Leader mondial de l’Ingénierie et du Conseil en Technologies (ICT), ALTEN réalise des projets de conception et d’études des grands comptes industriels, télécoms et tertiaires (les Directions Techniques et les Directions des Systèmes d’Information). Créé en 1988, présent dans 20 pays, le Groupe ALTEN a réalisé un chiffre d’affaires de 1,54 milliard d’euros en 2015 et compte 20 400 collaborateurs, dont 88% sont des ingénieurs de haut niveau.

Références clients : Airbus, Total, Volvo, Safran, Orange, Alstom, PSA, Renault, Bouygues, SFR, EDF, Volkswagen, BMW, BNP Paribas, Thales, Société Générale, Technip, ENGIE, CNES…

Pour toutes informations : www.alten.fr

Source : ALTEN

Continue reading 22/04/16 à 23h02 : lancement du satellite scientifique MICROSCOPE, fruit de la collaboration entre ALTEN et le CNES

Sabena technics poursuit son partenariat avec l’Armée de l’Air néerlandaise

FacebookTwitterGoogle+LinkedInPartager

L’armée de l’Air néerlandaise (RNLAF) renouvelle sa confiance à Sabena technics en lui attribuant une nouvelle fois la maintenance de sa flotte d’avions ravitailleurs KDC10, pour une durée de quatre ans et cinq mois ferme pouvant être étendue à une période globale de cinq ans et cinq mois.

Dans le cadre de ce contrat Sabena technics assure le support de la flotte, composée de deux avions KDC10 ravitailleurs multi-rôles, à travers:

– la maintenance mineure (rang A) & majeure (rang C) sur son site de Nîmes

– l’assistance et les dépannages sur la base d’Eindhoven et sur les théâtres de déploiement de la flotte.

Sabena technics réalise ces prestations pour le compte de l’Armée de l’Air Néerlandaise depuis 1998 : « ces renouvellements successifs attestent de la confiance que nous témoigne la RNLAF et confirme la reconnaissance du savoir-faire de Sabena technics dans le soutien des flottes d’avions ravitailleurs françaises, du type C-135/KC-135, et néerlandaises », affirme Henri Legoff Président du site de Nîmes.

Sabena technics est accréditée par les autorités militaires aéronautiques néerlandaises (MAA-NLD) sous le N° A -145 – 022 depuis octobre 2015.

Continue reading Sabena technics poursuit son partenariat avec l’Armée de l’Air néerlandaise

Envie de rejoindre une start-up innovante et ambitieuse ? Participez à la Job Fair organisée par le NUMA et IONIS361, le mardi 3 mai 2016

FacebookTwitterGoogle+LinkedInPartager

Vous êtes un(e) étudiant(e) ou un(e) futur(e) jeune diplômé(e) et souhaitez dénicher la start-up de vos rêves pour un stage, une alternance ou un premier emploi ? Le Numa, acteur incontournable de l’innovation en France et IONIS361, le premier incubateur national, généraliste et multi-écoles alimenté par les étudiants et les diplômés des écoles du Groupe IONIS, ont pensé à vous ! En effet, le mardi 3 mai 2016, les deux entités s’associent pour vous proposer une Job Fair de 18 h et 20 h sur le Campus numérique et créatif Paris Centre.

Lors de cette journée spéciale, les start-ups de IONIS361 et du Numa présenteront leurs différentes offres professionnelles. Autant d’opportunités pour :

  • appréhender la « vie start-up » et aborder les multiples aspects de l’entreprise avec de fortes responsabilités
  • faire un premier pas vers un projet personnel de création d’entreprise
  • rejoindre une start-up sur le long terme afin de participer à sa croissance et son succès.

Le Numa et IONIS361 vous invitent à la Job Fair

Le mardi 3 mai 2016, de 18 h et 20 h au Campus numérique et créatif Paris Centre

95 avenue Parmentier

75011 Paris

Accès :

Métro : Ligne 3, arrêt Parmentier / Saint-Maur

Événement gratuit

Inscription obligatoire (dans la limite des places disponibles) via la page dédiée

Retrouvez IONIS361 sur son site Internet, mais aussi sur Facebook et Twitter

Continue reading Envie de rejoindre une start-up innovante et ambitieuse ? Participez à la Job Fair organisée par le NUMA et IONIS361, le mardi 3 mai 2016

Dassault Customer Service Activity Continuing to Expand in Chinese Market

FacebookTwitterGoogle+LinkedInPartager

Increased Spares and Service Capabilities

April 12, 2016 (Shanghai, China) – Several years of continuous investment in the Dassault Falcon customer service network in China have led to a sizeable increase in customer support activity, bringing significant added value to Chinese operators and transient customers.

These investments include:

 An agreement with Beijing-based Deer Jet last year to provide line and unscheduled maintenance for the Falcon 7X

 Opening of a local customer service headquarters in Beijing in 2013

 Introduction of an onsite flight dispatcher training and jump seat support program in 2013

 Establishment of Dassault Falcon Services-Shanghai, a joint venture between Dassault Aviation and Shanghai Hawker Pacific, in 2012.

“China is a key market for Falcons and providing the best customer service solutions here is of paramount importance to us,” said Olivier Villa, Senior Vice President of Civil Aircraft for Dassault Aviation. “This is apparent in our continued commitment to improving our Chinese customer support network.”

Falcon Customer Service Activities Expanding

Located at Beijing Capital Airport, Deer Jet is one of the largest business jet operators in the Asia Pacific region. It manages and supports a large fleet of business jets, including the 7X.

The partnership with Dassault covers light line maintenance (up to 2A and 2A+ inspections) and unscheduled maintenance on Chinese registered Falcon 7X aircraft at Deer Jet’s Beijing facility.

Since the Dassault agreement went into effect in May 2015, the facility has supported about 100 routine servicing and maintenance events.

Deer Jet has also applied for full FAA repair station approval. Currently, the company maintains three technicians on staff dedicated to supporting Falcon customers, including provision of 24/7 AOG support.

Dassault Falcon Services-Shanghai offers a full range of MR&O services, from heavy maintenance through A and B checks. Staffed by a team of Dassault trained technicians with an average experience of more than 10 years on Falcon business jets, it is equipped to handle line

and base maintenance for all current production Falcon models. The facility reported a nearly 40% increase in larger scheduled maintenance events last year.

The Dassault team has also moved to address special operator requirements that cannot be readily met by local service providers. In 2013, it introduced an initiative to provide onsite flight dispatcher training. “We are the only company to offer this type of service,” said Kathy Liu, Director of Falcon Customer Service-Asia “and it is already proving very popular among our growing network of Chinese operators.”

Spares Value Grows Over 10%

The new Beijing customer service office has focused special attention on reinforcing local access to spare parts. The office is staffed with Field Technical Representatives and Customer Care Managers specialized in spares, warranty issues and other operational matters.

Maintaining a large Falcon spares inventory in China facilitates customer component exchange transactions, affording a significant time savings and sharply reducing duties and taxes.

Combined with other spares depots in the Asia Pacific, this inventory allows operators to immediately access the top 3,000 high demand parts for in-production aircraft.

Since early 2015, the Falcon spares value level based in China has risen over 10%, to almost $6 million, bringing total inventory in the region to more than $35 million. This spares commitment has been accompanied by efforts to expand tooling inventory made available to

Falcon operators through a rental pool.

ABACE to Include Falcon M&O

Dassault Aviation will again hold a Falcon Maintenance and Operations (M&O) seminar in conjunction with ABACE. The M&O seminar will focus both on operations and technical issues of concern to Chinese customers and is designed to help aircraft operators improve the

efficiency, reliability and safety of their operations. Topics will range from the latest customer service and engineering support initiatives to enhancements in troubleshooting and product reliability.

Source: Dassault Aviation

Continue reading Dassault Customer Service Activity Continuing to Expand in Chinese Market

Les lanceurs réutilisables américains défient Ariane

FacebookTwitterGoogle+LinkedInPartager
lanceurs spatial

Lanceurs spatiaux

Ce n’est pas encore demain que l’Humain aterrira sur la planète Mars tant convoitée, cependant l’aventure spatiale se poursuit à pas cadencés. Car au-delà de ces missions lointaines sur lesquelles travaillent des centaines d’ingénieurs au Monde, et qui conduisent à des innovations incommensurables, un domaine reste l’idée fixe d’une poignée de visionnaires fortunés. Il s’agit du tourisme spatial.

Les projets avancent à pas de géant. En tout juste 4 mois, la compagnie Blue Origin a réussi pour la troisième fois successivement le 2 avril à lancer la même fusée New Shepard et à la récupérer à chaque fois. Ce n’est pas tout puisqu’à son apogée New Shepard a largué sa capsule sensée transporter des passagers ou des instruments d’expérimentation scientifique et à la récupérer au sol. C’est ce qu’on appelle un lanceur réutilisable ce qui doit offrir un meilleur accès à l’espace puisqu’en réutilisant le lanceur il est possible de diminuer les coûts. Trois tentatives, trois réussites pour Jeff Bezos, patron d’Amazon.com, qui a créé Blue Origin en 2000.

D’autres projets tout aussi ambitieux poursuivent leur chemin même si leur progression est retardée par un accident comme ce fut le cas du véhicule spatial expérimental SpaceShipTwo en octobre 2014 et qui s’est écrasé tuant un de ses pilotes. Cependant, le porteur du projet, le milliardaire Richard Branson n’a pas baissé les bras. En février dernier il a présenté un nouvel avion suborbital dénommé VSS Unity pour Virgin SparShip Unity, dont le cockpit intègre des sécurités supplémentaires afin d’éviter de nouvelles erreurs de pilotage, et qui reste fidèle à une motorisation hybride.

La construction de ce nouveau véhicule se fera par The Spaceship Company, filiale de Virgin Galactic, et non plus comme par le passé par Scaled Composites.

A l’heure actuelle, aucune date n’a été dévoilée quant au premier vol de ce nouveau véhicule spatial suborbital. Mais il est évident que le projet a pris du retard, et que le bouillonnant patron de Virgin doit piaffer, car il est supposé avoir déjà reçu près de 700 réservations pour participer à une telle épopée de vol touristique spatial, et déjà, après l’accident, certains participants potentiels s’étaient rétractés.

Une chose est certaine, c’est que le développement de tels lanceurs spatiaux qui ne doivent pas franchir, ou très peu, l’altitude des 100 km, représentant la ligne de Kármán définissant la frontière entre la Terre et l’espace au-delà de laquelle il est possible de placer en orbite des satellites, permet de faire avancer les technologies.

Ne serait-ce que par le fait que les capsules ou avions spatiaux doivent revenir sur terre avec des passagers « en pleine forme ». Cela pousse aussi les industriels à développer des lanceurs réutilisables dont l’objectif est aussi d’abaisser les coûts.

La firme SpaceX, fondée par Elon Musk (le ponte américain de la voiture électrique de luxe) fait partie de ces industriels qui développent des lanceurs réutilisables. Il aura fallu cinq tentatives à SpaceX pour réussir le retour de son lanceur Falcon9 sur une barge située dans l’océan Atlantique. C’était il y a quelques jours, le 8 avril. Non seulement le vecteur est revenu se poser sur la barge en position verticale grâce à l’utilisation de rétrofusées pour ralentir sa course, mais il avait pu éjecter la capsule Dragon CRS-8 au-delà de la ligne de Kármán et lui permettre de poursuivre sa course vers la station spatiale internationale (ISS) pour ravitailler avec succès les astronautes qui y résident. A charge dorénavant à SpaceX d’analyser le lanceur Falcon9 pour dire s’il sera ou non possible de le réutiliser après remise en état de vol. Ce qui alors permettrait de réduire les coûts des lancements notamment des satellites.

Ces étapes franchies récemment par la concurrence américaine sont de nature à attiser la concurrence avec les Européens et le lanceur Ariane dont la future version 6 est justement sensée abaisser les coûts de mise à poste des satellites. Mais pour cela il faut qu’elle soit prête à temps pour faire face à cette concurrence. Pour l’heure, tous les industriels semblent confiants, et ce malgré des turpitudes administratives, et affirment qu’Ariane6 sera bien sur son pas de tir en 2020.

Nicole Beauclair pour AeroMorning

Légende photo

Le lanceur réutilisable Falcon9 est revenu « en douceur » sur une barge dans l’océan Atlantique le 8 avril 2016

@ SpaceX

Continue reading Les lanceurs réutilisables américains défient Ariane