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Date archive for: décembre 2016

L’ENAC s’implante à Hong Kong

L’Ecole Nationale de l’Aviation Civile (ENAC) et l’Airport Authority Hong Kong (AA) s’associent pour créer la Hong Kong International Aviation Academy. La première formation sera lancée en avril 2017 sous la forme d’un Advanced Master in Aviation Transport Management.

La nouvelle Hong Kong International Aviation Academy a pour objectif d’attirer et de former les jeunes talents pour le développement de l’industrie aéronautique en Chine, et d’établir Hong Kong en tant que Centre Régional d’Excellence de formations dans le domaine de l’aviation civile.

L’académie offrira un large éventail de formations : université d’été, stages de formation continue pour les cadres des aéroports, certificats professionnels, Mastères Spécialisés … (aerobuzz.fr, photo : ENAC)

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Hastecs : un projet pour développer la propulsion hybride des avions du futur.

Une vraie rupture technologique, un vrai saut vers le futur.

Pour développer la propulsion hybride des avions du futur et diminuer très fortement la pollution, un consortium(1) vient de démarrer ses recherches dans le cadre de Hastecs (Hybrid Aircraft, Academic reSearch on Thermal and Electrical Components) visant à réduire le bruit et les émissions de CO2 dans l’aviation civile, et à pouvoir envisager des moteurs au kérozène qui convertissent tout ou partie de la puissance en électricité, cette puissance pouvant pousser des hélices ou des réacteurs à partir de moteurs électriques.

Prévu pour 5 ans, ce projet, qui fait partie de Cleansky 2, important programme de recherches aéronautiques visant à réduire de 20% les émissions de CO2 et de bruit, est d’électrifier partiellement la propulsion de l’avion. Il ne s’agit pas là de faire un avion tout électrique, il n’est pas question de remplacer les moteurs thermiques par uniquement une source électrique, mais cette recherche doit permettre de fournir une certaine puissance et de la fournir à moindre masse, en minimisant le ratio masse puissance, la densité de puissance.

Ces objectifs ne pourront être remplis si les puissances spécifiques ne sont pas suffisamment élevées. Leader du projet Hastecs, le laboratoire Laplace s’est donné pour objectif de doubler la puissance spécifique des machines électriques.

En optimisant seulement la chaîne électrique, avec par exemple une puissance de 6 mégawatts pour l’avion régional, avec les cibles que Hastecs a en terme d’amélioration du ratio kilowatt/kilo, et en tenant compte des ruptures de concepts scientifiques, des ruptures technologiques les plus prometteuses, des batteries nouvelle génération, en doublant le ratio puissance/masse des machines et de leur alimentation, Hastecs espère à l’horizon 2035 gagner 1,8 tonne sur l’avion et donc de réduire la consommation de carburant.

Avec ses effets boule de neige (snowball effects), on estime que ce gain là serait à peu près de 3,5% de kérozène sur un vol régional de 400 miles nautiques.

Un enjeu très ambitieux, aujourd’hui incertain, malgré les promesses en terme d’évolution technologique et de nouveaux concepts que les chercheurs vont essayer de mettre en œuvre, enjeu qui nécessite une véritable synergie entre la chaîne électrique et la chaîne thermique, parce qu’une chaine électrique comme tout système physique dissipe des calories et nécessite d’être refroidie. Cette synergie, si elle faisait défaut pourrait être un premier frein. Le laboratoire P’prime à Poitiers est l’un des 3 partenaires d’Hastecs qui va œuvrer à ce refroidissement en coopération avec le laboratoire Laplace qui va pour sa part concentrer ses travaux sur la conversion d’énergie électrique, notamment les chaînes d’énergie, avec des domaines de prédilection comme l’électronique de puissance, les moteurs électriques, l’intégration systèmes et la problématique de l’isolement électrique.

Comme la montée en puissance s’accomode d’une montée en tension, il en résulte une problématique d’isolement qui est très pointue et qui fait partie des freins et des verrous technologiques à lever.

Parmi les ruptures il y a le fait de passer du kilowatt au mégawatt et on ne sait pas encore transporter correctement à moindre coût – en terme de masse – l’électricité. Il y a des centaines de mètres de cables dans les aéronefs et il est clair que si on transporte l’électricité sous une tension qui reste celle qu’on a aujourd’hui de quelques centaines de volts dans les aéronefs classiques , en passant au mégawatt, des sections de câbles monstrueuses pourraient être nécessaires, générant des tonnes de câblages. Aujourd’hui sur un moteur électrique les densités de puissance sont autour de 5 kilowatts par kilos et passer aux mégawatts alourdirait la masse en tonnes.

Monter en tension c’est bien l’une des voies pour gagner de la masse et un work package dans Hastecs fera l’objet d’une thèse et d’un post doctorat, qui seront dédiés à développer des solutions pour concevoir les câbles, concevoir les armoires électriques de puissance et les électroniques de puissance, de façon à ce qu’ à la fois en termes de matériaux, de positionnement, d’architectures, de structures, on trouve des moyens pour résoudre ces problèmes d’isolement électrique et de masse.

Xavier Roboam, directeur de recherche au Cnes dans le cadre du laboratoire Laplace, précise que le programme Hastecs envisage d’aller à 10/15 kilowatts par kilo et à diminuer finalement le ratio kilogramme par kilowatt, d’un rapport de 2 voire plus.

Cela implique selon lui de nouvelles technologies, de nouveaux concepts de motorisation, et il se demande si les équipementiers traditionnels de l’aéronautique mais qui n’ont jamais travaillé au-delà de la centaine de kilowatts et voire même de quelques dizaines de kilowatts, seront les équipementiers élus au niveau de l’avion hybride ou bien si ce seront plutôt des spécialistes de la puissance, pas forcément des spécialistes de l’aéronautique.

Xavier Roboam indique aussi que cette recherche et ces gains de masse s’ils aboutissent aux résultats espérés nous autorisent à rêver à nouvelles façons de voler voire d’imaginer les nouvelles formes d’avions du futur.

Il rappelle que « les moteurs thermiques sont plus performants quant ils sont à leur calibre de puissance maximale nominale. Sur un moteur au ralenti, tout moteur thermique consomme beaucoup plus par kilomètre parcouru ou par usage rendu que lorsqu’il est à sa puissance optimale. En particulier sur un aéronef, sur des phases de vol ou de fonctionnement à puissance réduite, en descente, où les moteurs sont au ralenti, ou encore en roulage sur le tarmac. Lorsqu’un avion est en « taxiage» sur les aéroports, ses moteurs sont ultra surdimensionnés pour cette tâche. C’est pouquoi Safran a repris à son compte le développement du « green taxiing ».

L’idée est de ne pas utiliser les moteurs principaux pour amener l’avion en bout de piste ou pour le ramener. Raison pour laquelle Hastecs cible l’avion régional pour ses recherches car sur un avion régional lorsque la phase de croisière est très réduite par rapport aux phases de montée, de descente et de roulage, cette dernière devient non négligeables voire prépondérante dans la séquence de vol.

Il est clair que quand on traverse l’Atlantique la part énergétique de la phase de roulage au sol par rapport à l’énergie que va consommer l’avion pour faire un Paris-New York devient infime. Par contre on est presque plus longtemps en taxiage qu’en croisière sur un vol régional.

Or c’est précisément sur ces phases là que l’avion hybride va économiser du carburant ». L’idée du programme Hastecs c’est que dans certaines phases de vol quand on a besoin de moins de puissance on éteigne les moteurs thermiques au kérozene et on vole en descente sur batteries grâce à la propulsion tout électrique. Une fraction de la puissance fournie par les moteurs au kérozène pourrait aussi être convertie par des alternateurs et venir alimenter les moteurs électriques. C’est ce qu’on voit sur les véhicules hybrides, la motorisation hybride offre des dynamiques qui n’existent pas avec des moteurs thermiques. Ces dynamiques là sont nécessaires notamment pour faire de la poussée différentielle.

L’avion hybride permet d’autres types de gains, et notamment nous autorise aussi a rêver de nouvelles aérodynamiques, grâce au fait d’avoir des moteurs électriques qui pourraient être répartis, (on parle de propulsion répartie sur les voilures, avec des petits moteurs électriques et des petites hélices qui pourraient se répartir tout au long de la voilure) permettant ainsi de faire de la poussée différentielle. Si on imagine pousser plus sur l’hélice de gauche que sur celle de droite, on est capable de changer la direction de l’avion. Sur un avion classique c’est la gouverne arrière, l’empennage, qui remplit cette fonction, ce qui nous autorise à imaginer des avions sans empennage. Donc moins lourds, avec un meilleur CX (coefficient de pénétration dans l’air). Cela peut autoriser de nouvelles formes d’avions telles que par exemple le concept que propose la Nasa. L’avion hybride permettrait de diminuer l’empreinte carbone et d’économiser du carburant.

Enfin, la dernière rupture technologique concernant l’aérodynamique porte sur le concept de voilure soufflée, où, de nouveau avec la propulsion répartie – le fait d’avoir des petites hélices poussées par des moteurs électriques et qui sont quasiment dans l’épaisseur de l’aile – permettent d’avoir des effets de soufflage qui augmentent la portance de l’avion.

Xavier Roboam conclut : « Quand on parle de design de la structure de l’avion on pense au rapport entre la trainée et la portance. Le rapport entre l’effet de trainée c’est-à-dire l’effet de CX et la portance, c’est ce qui est dimensionnant pour la taille de la voilure, c’est-à-dire la longueur des ailes. Si on augmente le ratio portance sur trainée, on est capable de réduire l’envergure de l’avion. Qui dit réduire la taille des voilures dit meilleur CX, moins de trainée, moindre masse et meilleure performance en croisière. »

Autant de recherches qui pourraient révolutionner l’aéronautique du futur tant au niveau du vol que de la forme des avions.

Nadia Didelot, AeroMorning

  • Le consortium de laboratoires toulousains Laplace et Cirimat et poitevin Institut Pprime

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Air Canada nomme Lucie Guillemette chef des Affaires Commerciales

Paris, le 21 décembre 2016 –

Calin Rovinescu, Président et Chef de la Direction d’Air Canada, a annoncé hier la nomination de Lucie Guillemette, ancienne Vice-présidente « Optimisation du chiffre d’affaires », au poste de Vice-présidente générale et Chef des Affaires commerciales.

Dans le cadre de ses fonctions, Mme Guillemette sera responsable de la stratégie commerciale et de la production du chiffre d’affaires au sein d’Air Canada, comprenant notamment le marketing, les ventes, la planification du réseau et la gestion du chiffre d’affaires.

Elle sera basée au siège de la compagnie à Montréal sous la direction de Benjamin Smith, Président – Transporteurs de passagers.

  1. Rovinescu a déclaré : « Pendant près de 30 années de service au sein d’Air Canada, Lucie n’a jamais cessé de viser l’excellence et a grandement contribué à nos recettes et à nos bénéfices records. Tandis que nous poursuivons la mise en œuvre de notre stratégie commerciale en vue de transformer Air Canada en leader mondial, la connaissance de l’industrie de Lucie et son leadership avéré nous aideront considérablement à assurer notre rentabilité à long terme. »

Lucie Guillemette a rejoint Air Canada en 1987 en tant qu’agent-vente et service clientèle. Sa carrière a ensuite évolué vers divers postes dans les secteurs de la tarification, du contrôle des stocks et de la gestion du produit, ainsi qu’un certain nombre de postes supérieurs au marketing et aux affaires commerciales, avant d’être nommée première vice-présidente – Optimisation du chiffre d’affaires en mai 2015.

A propos d’Air Canada

Air Canada est le plus important transporteur aérien du Canada et propose plus de 400 services domestiques et internationaux, sur plus de 200 aéroports répartis sur six continents. Le transporteur national du Canada compte parmi les 20 plus importantes compagnies aériennes à l’échelle mondiale et a accueilli plus de 41 millions de passagers en 2015. Air Canada fournit des services passagers réguliers directs sur 64 aéroports au Canada, 57 aux États-Unis et 90 en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique, en Asie, en Australie, dans les Antilles, au Mexique, en Amérique centrale et en Amérique du Sud. Air Canada est un membre fondateur du réseau Star Alliance, le plus vaste regroupement de transporteurs aériens du monde, qui dessert 1.330 aéroports dans 192 pays. Air Canada est le seul transporteur nord-américain d’envergure internationale offrant une gamme complète de services à obtenir le classement quatre étoiles de la firme de recherche indépendante Skytrax du Royaume-Uni. Pour en savoir plus sur Air Canada : www.aircanada.com, @AirCanada sur Twitter ou sur Facebook.

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VA234 : pour sa 11e Mission réussie de l’année, Arianespace a mis en orbite les satellites Star One D1 et JCSAT-15

Arianespace a lancé avec succès les satellites Star One D1 pour EMBRATEL Star One, et JCSAT-15 pour SKY Perfect JSAT Corporation.

Le lancement a eu lieu le 21 décembre à 17h30 (heure de Kourou) depuis le Centre Spatial Guyanais (CSG), port spatial de l’Europe.

11e et dernier lancement de l’année 2016 pour Arianespace, le 7e avec Ariane 5, VA234 signe le 76e succès d’affilée du lanceur lourd et marque son 90e lancement.

Avec cette mission au service du Brésil et du Japon, Arianespace confirme sa position de service de lancement de référence en Amérique latine et en Asie.

100% DES SATELLITES EMBRATEL Star One MIS EN ORBITE PAR ARIANESPACE

Après Star One C4 lancé en Juillet 2015, Star One D1 est le 11e satellite mis en orbite par Arianespace pour le compte d’Embratel Star One, opérateur régional le plus important à proposer des services par satellites en Amérique latine.

Star One D1, premier satellite de la 4e génération de satellites de l’opérateur brésilien, fournira des services de télécommunication à haut débit, des accès à Internet et autres applications digitales, pour l’Amérique latine, l’Amérique centrale et la zone des Caraïbes.

Star One D1 est à ce jour le plus grand satellite construit pour Embratel Star One.

Arianespace et Embratel Star One collaborent avec succès depuis 30 ans.

100% des satellites d’Embratel Star One ont été lancés par Arianespace.

ARIANESPACE AU SERVICE DE SKY Perfect JSAT ET PARTENAIRE DE REFERENCE DES OPERATEURS JAPONAIS

Après le lancement de JCSAT-13 en mai 2012, JCSAT-15 est le 19e satellite confié par l’opérateur japonais SKY Perfect JSAT à Arianespace.

Avec sa flotte de 17 satellites, SKY Perfect JSAT est le principal opérateur satellitaire commercial d’Asie. Il fournit des services de communications par satellite et de diffusion de programmes télévisés payants. SKY Perfect JSAT propose une vaste offre de divertissement au travers de sa plateforme SKY PerfecTV! qui, avec ses 3 millions d’abonnés, est la plus importante du Japon.

JCSAT-15 fournira des services de communications pour le Japon, tels que des services de distribution vidéo, de transferts de DATA, ainsi que des applications pour les communications maritimes et aéronautiques sur la zone de l’Océanie et l’Océan Indien.

Présent depuis 30 ans au Japon, Arianespace a lancé 28 satellites pour les opérateurs de ce pays. Deux satellites japonais supplémentaires figurent dans son carnet de commandes.

Arianespace fête ses 30 ans de présence au Japon depuis l’ouverture du bureau de Tokyo en 1986.

Depuis 1989, Arianespace a lancé en moyenne un satellite japonais par an.

Arianespace détient plus de 70% des parts sur le marché japonais des lancements de satellites GEO ouverts à la compétition.

40% DES SATELLITES LANCES EN 2016 PAR ARIANESPACE ONT ETE FABRIQUES PAR SSL

VA234 est la 2e mission d’Arianespace de l’année emportant deux satellites SSL à bord d’une Ariane 5, après VA230 en juin dernier. Les deux satellites ont été construits dans l’usine de Palo Alto (Californie, Etats-Unis) à partir d’une plateforme SSL 1300 parfaitement adaptée à la gamme de lanceurs d’Arianespace, permettant une gestion optimisée lors des campagnes de lancement en Guyane.

Depuis le 19 octobre 1983, date du lancement d’Intelsat 5F.7, Arianespace et SSL ont développé une collaboration fructueuse : Star One D1 et JCSAT-15 sont ainsi les 62e et 63e satellites SSL lancés par Arianespace.

Pour la seule année 2016, Arianespace a lancé avec succès 11 satellites SSL : EUTELSAT 65 West A, EchoStar 18, BRISat, Intelsat 36, 4 SKYSAT, Sky Muster II, Star One D1 et JCSAT-15.

Deux autres satellites SSL (Azerspace-2/Intelsat-38, BSAT-4a) seront lancés prochainement par Arianespace.

UNE ANNEE OPERATIONNELLE 2016 FAITE DE NOUVEAUX SUCCES AVEC 27 SATELLITES MIS EN ORBITE

Avec ce dernier lancement de l’année 2016, Arianespace maintient une cadence opérationnelle soutenue avec 11 lancements réussis de sa gamme de lanceurs : 7 Ariane 5, 2 Soyuz et 2 Vega.

Arianespace atteint un nouveau record avec la mise en orbite de 27 satellites (le dernier record était de 25 satel-lites en 2012), représentant une masse totale injectée en orbite de 61,4 tonnes, dont 52,4 tonnes pour la seule orbite géostationnaire.

Arianespace aura lancé en 2016 des satellites de toutes masses (de 3 kg à 6,5 tonnes), vers toutes les orbites et pour de nombreuses applications :

– 10 satellites géostationnaires de télécommunication,

– 7 satellites d’observation de la Terre,

– 6 satellites de navigation,

– 3 nanosatellites à vocation éducative,

– 1 satellite scientifique.

Quelques instants après l’annonce de l’injection en orbite des deux satellites, Stéphane Israël, Président Directeur Général d’Arianespace, a déclaré : « Pour ce septième succès de l’année avec Ariane 5, le 76e consécutif de notre lanceur lourd, Arianespace est fière d’apporter à ses clients brésiliens et japonais l’excellence de ses services de lancement. La confiance renouvelée de l’opérateur brésilien Embratel Star One, dont nous avons lancé l’intégralité des satellites depuis 1985, ainsi que celle de l’opérateur japonais Sky Perfect JSAT, qui nous a confié aujourd’hui son 19e satellite, nous honore. Merci également à notre partenaire de longue date SSL, qui pour la deuxième fois cette année, a construit les deux satellites mis à bord d’un même lanceur Ariane 5.

Félicitations à tous les partenaires de ce 90e lancement d’Ariane 5 : Airbus Safran Launchers et toute l’industrie européenne des lanceurs pour la fiabilité et la disponibilité exceptionnelles d’Ariane 5 ; l’ESA, soutien indéfectible du programme Ariane ; le CNES/CSG, nos industriels sol et l’ensemble de salariés de la base, toujours mobilisés à nos côtés pour de nouveaux succès. Et bravo aux équipes d’Arianespace pour la réussite de ce 11e et dernier lancement de l’année 2016 ! Cap à présent vers 2017, au service de nos clients ».

Le satellite Star One D1

Le satellite Star One D1 a été construit par SSL (Space Systems/Loral) à partir d’une plate-forme 1300, dans l’usine de Palo Alto (Californie).

La masse au décollage est de 6 433 kg et sa durée de vie est de plus de 15 ans. Il fournira depuis sa position orbitale à 84° Ouest, 70 répéteurs en bandes Ka, C et KU.

Il couvrira le Brésil, l’Ouest de l’Amérique latine, le Mexique, l’Amérique centrale et la région des Caraïbes.

Le satellite JCSAT-15

Le satellite JCSAT-15 a été construit par SSL (Space Systems/Loral) à partir d’une plateforme 1300, dans l’usine de Palo Alto (Californie).

La masse au décollage est d’environ 3 400 kg et sa durée de vie est de 15 ans.

Depuis sa position orbitale à 110° Est, il remplacera N-SAT-110 lancé en 2000, et couvrira le Japon, l’Océanie et la région de l’Océan Indien.

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L’AC352 chinois réalise son premier vol avec le moteur WZ16

20 décembre 2016, Harbin

Le premier vol de l’AC352 d’Avicopter, motorisé avec le WZ16, a eu lieu aujourd’hui à Harbin. L’AC352 est un nouvel hélicoptère bimoteur multi-mission de 7 tonnes, développé conjointement par Avicopter et Airbus Helicopters. Le WZ16 a atteint tous les critères de performances qui avaient été prévus pour ce vol inaugural. Également connu sous le nom d’Ardiden 3C, ce moteur est le fruit d’une coopération, portant à la fois sur le développement et la production, entre Safran Helicopter Engines et les sociétés chinoises CAPI et Dongan, membres du consortium Aero Engine Corp. of China (AECC).

Le WZ16 est un moteur de nouvelle génération d’une puissance de 1 500 à 2 000 shp. Il intègre une architecture particulièrement compacte et modulaire, un très haut ratio de puissance sur masse, avec des coûts réduits. Il offre une consommation en carburant réduite de 10% par rapport aux moteurs concurrents, dans cette catégorie.

« Ce premier vol est le résultat du très bon travail d’équipe entre les différents partenaires. Nous sommes très satisfaits par ce niveau de coopération, et nos efforts vont maintenant porter sur la certification prochaine du moteur », a déclaré M. Qin Yuchun, President d’AECC Dongan.

Cyrille Poetsch, Directeur des Programmes de Safran Helicopter Engines a déclaré : « Ce premier vol est une étape majeure à la fois pour le développement de l’AC352 et de notre partenariat avec l’industrie aéronautique chinoise. Ce programme prouve que Safran est en mesure de mener avec succès le développement de moteurs de nouvelle génération dans le cadre d’une coopération internationale. Il s’agit également d’un jalon important pour Avicopter. Depuis sa création en 1956, cette société s’est hissée au rang des meilleurs constructeurs mondiaux d’hélicoptères. Nous sommes fiers d’être à bord d’une machine telle que l’AC352 et leur souhaitons un excellent 60ème anniversaire ».

Le WZ16 sera le premier moteur d’hélicoptère dont la certification sera conduite parallèlement en Chine et en Europe. La certification AESA (Agence Européenne de la Sécurité Aérienne) sous la désignation Ardiden 3C est prévue fin 2017, suivie de la certification CAAC (Civil Aviation Administration of China) sous la désignation WZ16 en 2018.

Avec plus de 500 moteurs en service, la Chine est un marché stratégique pour Safran Helicopter Engines. Un hélicoptère sur deux y est actuellement motorisé avec un moteur fabriqué par Safran, ou construit sous licence. Ce niveau de marché est le résultat d’une coopération avec l’industrie chinoise démarrée il y a 40 ans.

Safran est un groupe international de haute technologie, équipementier de premier rang dans les domaines de l’Aéronautique et de l’Espace (propulsion, équipements), de la Défense et de la Sécurité. Implanté sur tous les continents, le Groupe emploie 70 000 personnes pour un chiffre d’affaires de 17,4 milliards d’euros en 2015. Safran est une société cotée sur Euronext Paris et fait partie des indices CAC 40 et Euro Stoxx 50.

Safran Helicopter Engines est le leader mondial de la motorisation pour hélicoptères, avec plus de 72 000 moteurs produits depuis sa création. La société offre la plus large gamme de turbomoteurs et compte 2 500 clients répartis dans 155 pays.

Pour plus d’informations : www.safran-group.com et www.safran-helicopter-engines.com / Suivez @Safran et @SafranHCEngines sur Twitter

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Mag #18 ENAC Alumni : Dossier Spécial ENTREPRENEURIAT

Un nouveau design, un dossier spécial tourné vers l’humain, des nouveautés dans l’asso… le magazine ENAC Alumni s’est fait une beauté pour les fêtes de fin d’année !

L’association est heureuse de vous présenter son magazine #18. Ce magazine est le point de départ d’une série d’événements qui auront lieu sur l’année 2017 autour du thème « Entreprendre » !

Lire le Magazine

ENAC ALUMNI

L’ASSOCIATION DE TOUS LES DIPLÔMES DE L’ENAC

La première vocation de l’ENAC a été de former des professionnels de l’Aviation Civile destinés à des postes institutionnels (Administration ou pour les navigants Compagnie Nationale Air France). Pour ce qui concerne les Ingénieurs, durant de nombreuses années l’école n’a formé de « titulaires » (ancien nom des non-fonctionnaires) que dans la filière « I », et les diplômés de cette filière ne se destinaient pas spécifiquement à l’aéronautique civile.

Un premier virage est pris en 1970 lorsque la filière « E » s’ouvre aux titulaires, puis en 1974 avec la création de la filière « T ». Au début des années 1980, le nombre de titulaires augmente et la nécessité d’avoir une association d’anciens élèves ingénieurs comprenant une dimension de réseau professionnel s’impose peu à peu.

En 1987, sous l’impulsion de Robert Aladenyse, INGENAC voit le jour.

Si certaines autres filières disposent d’associations regroupant les anciens, la nécessité d’intégrer dans ces associations la dimension de diplômés se destinant au secteur privé s’est développée au sein d’INGENAC, et, au fil des crises et de l’apparition de nouveaux modèles tant économiques que professionnels, chez les Elèves Pilotes de Ligne, l’AG EPL devenant l’AGEPAC et se consacrant de plus en plus à l’aide à l’intégration professionnelle.

De même, INGENAC s’ouvre à d’autres formations : à partir de 2002 aux cycles Mastères Spécialisés, puis en 2009 aux Masters. Elle s’efforce non seulement de préserver les liens créés durant les années d’études, et d’assister les diplômés en difficulté, mais aussi de créer, conserver et enrichir une mémoire commune et surtout de défendre la valeur et la reconnaissance des titres et diplômes de notre Ecole.

Aujourd’hui plus que jamais attachée à être le trait d’union non seulement entre les ingénieurs mais aussi entre tous les professionnels de l’aéronautique civile, secteurs privés et publics confondus, INGENAC disparaît au profit d’ENAC Alumni. ENAC Alumni est l’association de tous les diplômés de l’ENAC. Elle fédère les différentes formations, sans distinction, et est leur porte-drapeau afin de porter haut les couleurs de notre Ecole.

Depuis février 2013, ENAC Alumni est membre du Collège « Organismes » de la Conférence des Grandes Ecoles.

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Une ligne commerciale régulière va permettre de livrer des colis par drone

La Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) vient d’autoriser DPDgroup, filiale express internationale du Groupe la Poste, à opérer la livraison de colis par drone sur une ligne commerciale régulière dans le Var. Après la phase d’essais qui s’est étendue sur une période de deux ans, c’est maintenant la phase d’expérimentation qui va être lancée sur cette ligne de 15 km située dans le Var.

Une fois par semaine le drone de DPDgroup reliera Saint-Maximin-La-Sainte-Baume à Pourrières, dans le Var. Cette ligne permettra de livrer une pépinière d’entreprises isolée, qui regroupe une douzaine de start-ups dans le domaine de la technologique.

Dorénavant leurs colis livrés par Chronopost et DPD France seront expédiés par drone à partir du relais Pickup de Saint-Maximin. Au départ comme à l’arrivée du drone, un terminal de livraison permettra de sécuriser les phases de chargement du colis, de décollage et d’atterrissage jusqu’à la dépose du colis.

Ce terminal se compose d’une structure protégeant l’accès au drone pendant ses phases d’atterrissage et de décollage, d’un chariot automatisé acheminant le colis,

d’une électronique dédiée à la sécurisation des manipulations autour du drone.

Le drone est ensuite piloté par un opérateur agréé par la DGAC.

Ce drone dispose d’une autonomie allant jusqu’à 20 km, il peut emporter jusqu’à 3 kg de charge utile à la vitesse de croisière de 50 km/h. Il est de configuration type 6 Rotors électriques reliées à un cadre en fibre de carbone. Côté sécurité, il est équipé d’un parachute autonome (lequel détecte les anomalies en cours de vol et se déclenche automatiquement en cas de chute) ainsi que d’un GPS embarqué et d’une caméra avec transmission de données.

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TAP Portugal attendra ses Airbus A330neo six semaines de plus

TAP Portugal ne prendra finalement livraison de ses premiers Airbus A330neo qu’à partir du mois de mars 2018. Une information donnée par le directeur général de la compagnie aérienne, Fernando Pinto, à nos confrères du Wall Street Journal. La première livraison des Airbus A330-900 à TAP Portugal était initialement programmée pour le 31 décembre 2017.

Le retard serait dû à des problèmes mineurs rencontrés par Rolls-Royce dans le développement du Trent 7000 dédié aux A330neo qui se déclinent en deux versions : A330-800 et A330-900. TAP Portugal a commandé 14 exemplaires du A330-900, la version qui peut prendre 287 passagers en deux classes sur plus de 12 000 km.

Le Rolls-Royce Trent 7000 « panache » l’architecture du Trent 1000-Ten destiné au Boeing 787-10 avec des évolutions technologiques issues du Trent XWB qui propulse l’Airbus A350. Un « panachage » qui pourrait expliquer les petits soucis rencontrés par le motoriste.

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Géry Mortreux nommé Directeur général d’Air France Industries

Il succède à Anne Brachet qui a pris début décembre la tête des activités Engineering & Maintenance du Groupe AIR France KLM.

Paris, Amstelveen, 14 décembre 2016 – Géry Mortreux est nommé aux fonctions de Directeur général d’Air France Industries au premier janvier, en remplacement d’Anne Brachet nommée début décembre Directrice générale adjointe AIR FRANCE KLM Engineering & Maintenance.

A l’occasion de sa nomination, Géry Mortreux a déclaré : « Je suis très heureux et fier de retrouver la ‘maison’ AFI que je connais bien pour y avoir effectué une grande partie de ma carrière. La mission qui m’attend est riche en challenges passionnants. En cette période exigeante pour de nombreuses compagnies aériennes et dans un marché MRO en croissance, j’aurai à cœur de renforcer la performance et la compétitivité d’Air France Industries au service de l’excellence opérationnelle d’Air France, du Groupe Air France KLM et des compagnies clientes d’AFI KLM E&M ».

Ingénieur diplômé de l’Ecole Nationale de Mécanique et d’Aéronautique (ENSMA) de Poitiers, également titulaire d’un Executive MBA de HEC Paris, Géry Mortreux, 50 ans, débute sa carrière chez Air Inter en 1989, où il occupe plusieurs postes dans le domaine de la maintenance. En 1996, il rejoint Air France en tant que responsable Engineering 737 / 727, puis responsable de production 747 / 767. En 2001, il devient responsable de la flotte A320, puis responsable supply chain (2005) et est nommé responsable de la production équipements en 2006. En 2007, il rejoint Sabena Technics à Bruxelles en tant que directeur général Maintenance et Engineering de l’activité avions civils, avant d’être nommé directeur technique de la compagnie Corsair International (2008), dont il devient directeur général Opérations et dirigeant responsable en 2011.

A propos d’AFI KLM E&M

Air France Industries KLM Engineering & Maintenance est un acteur majeur de la Maintenance Aéronautique multi-produits. Avec plus de 14 000 employés, AFI KLM E&M offre des capacités étendues de support technique aux opérateurs aériens, de l’ingénierie et des interventions sur avion, à la maintenance des moteurs, au support des inverseurs de poussée et des aérostructures, en passant par la gestion, la réparation et la fourniture de pièces et d’équipements aéronautiques à partir d’un puissant réseau logistique. AFI KLM E&M assure le support de près de 1 500 avions appartenant à 200 compagnies aériennes domestiques et internationales.

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Zodiac Aerospace – Chiffre d’affaires du 1° trimestre 2016/2017 / Q1 Revenues Disclosure 2016/2017

Chiffre d’affaires du 1er trimestre 2016/2017

Plaisir, le 15 décembre 2016 – Au cours du 1er trimestre de son exercice 2016/2017, Zodiac Aerospace a réalisé un chiffre d’affaires de 1 201,9M€, en légère baisse de -2,9% à données publiées et de -2,8% à taux de change et périmètre constants. Les taux de change ont eu un effet de -0,1 points sur la période. Il n’y a pas eu d’impact de périmètre. Le début d’année confirme le scénario donné le 22 novembre à l’occasion de la publication des résultats annuels d’une dissymétrie entre le premier et le second semestre 2016/17.



Les activités Aerosystems1 (39,7% du chiffre d’affaires total) affichent un chiffre d’affaires de 477,3 M€ (-5,7% à données publiées et -6,0% à taux de change et périmètre constants). Comme en 2015/2016, Aerosystems est impactée par la baisse des ventes à destination des marchés des hélicoptères, des avions d’affaires et des jets régionaux, alors que les systèmes d’arrêt civils connaissent un début d’année atone. Cette évolution est partiellement compensée par un bon premier trimestre sur le marché de l’après-vente.

Les activités Aircraft Interiors (60,3% du chiffre d’affaires total) affichent un chiffre d’affaires de 724,6 M€ au premier trimestre 2016/2017. L’impact de taux de change négatif de -0,5 points combiné à une variation organique de -0,5% résulte en un léger recul de -1,0% à données publiées par rapport au premier trimestre 2015/2016.

– La branche Zodiac Seats a enregistré un chiffre d’affaires de 306,5 M€ au premier trimestre soit (-4,4% par rapport au 1er trimestre 2015/2016, se décomposant en un impact de taux de change négatif de -2,5 points et une variation organique de -1,9%. Cette évolution est la conséquence des problèmes passés de développement et de production, sachant que le cycle théorique entre une commande et les premières livraisons d’un siège de classe affaires varie entre 18 et 24 mois.

– La branche Zodiac Cabin a enregistré une croissance organique de +0,6% de son chiffre d’affaires, reflétant la montée en cadence des nouveaux programmes. L’impact des taux de change est positif de+ 1,1 point et le chiffre d’affaires progresse de +1,7% à 418,1 M€.

PERSPECTIVES

Zodiac Aerospace poursuit le déploiement de son plan de redressement et de transformation, comme détaillé lors de la publication des résultats annuels 2015/2016, le 22 novembre 2016. La première étape du plan, consistant au rétablissement des performances de livraison vis-à-vis de nos clients, a été notre objectif prioritaire durant l’exercice précédent. Cet objectif a été atteint ou est en voie de l’être dans la plupart de nos activités. Zodiac Aerospace vise un retour à la performance opérationnelle d’ici la fin 2017, c’est-à-dire 18 mois après l’annonce faite en mars 2016. Ceci constitue la deuxième étape du plan de redressement. La mise en oeuvre du plan Focus se poursuit conformément au plan, avec la troisième série

1 Inclut la division Entertainment & Seats Technology depuis le 1er septembre 2016. Cette division était précédemment intégrée dans la branche Cabin, dans le cadre des activités Aircraft Interiors. Les chiffres de 2015/2016 et 2016/2017 ont été retraités pour refléter cette évolution.

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Communiqué de presse – 15 décembre 2016

de standards en cours d’élaboration et la deuxième série en déploiement dans l’ensemble du Groupe. La troisième étape porte sur l’amélioration de la marge opérationnelle grâce à la suppression des surcoûts résiduels et des variances de production grâce aux actions de réduction des coûts et de productivité. Ceci devrait permettre de renouer avec une marge opérationnelle à deux chiffres d’ici l’exercice 2017/2018 et de revenir à une rentabilité opérationnelle historique à l’horizon 2019/2020.

Zodiac Aerospace confirme son objectif pour l’exercice 2016/2017. Le chiffre d’affaires devrait être stable, en raison d’un effet retardé de la crise passée lié au cycle de développement des produits, ainsi que de la faiblesse des activités hélicoptères et avions d’affaires. Le Résultat Opérationnel Courant devrait afficher une hausse de 10% à 20%, avec une forte dissymétrie entre le premier et le second semestre. Le Groupe vise une reprise progressive de sa croissance organique vers ses niveaux historiques avec un taux de marge opérationnelle à deux chiffres pour l’exercice 2017/2018, et un retour vers les niveaux de rentabilité historique (« Mid-double digit ») à l’horizon 2019/2020.

Pour l’exercice 2016/2017, Zodiac Aerospace a couvert 87% de l’exposition EUR/USD de transaction nette budgétée à un taux de 1,1184 $/€ (taux spot). Les expositions estimées aux autres devises sont couvertes pour 79% de l’exposition USD/CAD, 80% pour USD/GBP, 71% pour USD/MXN et 80% pour USD/THB. Ces taux de couvertures sont inchangés par rapport au 22 novembre 2016.

Zodiac Aerospace a mis en place des couvertures EUR/USD pour l’exercice 2017/2018 : 55% de l’exposition EUR/USD de transaction nette budgétée est couverte à un taux de 1,0779 $/€ (taux spot).

NB : Cette publication de chiffre d’affaires sera commentée lors d’une conférence téléphonique destinée aux analystes financiers et aux journalistes le 15 décembre à 18:00 CET. Cette conférence sera diffusée en webcast via le site internet www.zodiacaerospace.com. L’enregistrement de cette conférence téléphonique ainsi que la présentation powerpoint et le communiqué de presse seront aussi disponibles sur notre site internet.

A propos de Zodiac Aerospace

Zodiac Aerospace est un leader mondial des équipements et systèmes aéronautiques, à destination des avions commerciaux, régionaux, d’affaires, ainsi que des hélicoptères et du spatial. Il développe et réalise les solutions les plus avancées pour améliorer le confort et la vie à bord des aéronefs ainsi que les systèmes de haute technologie qui accroissent la performance des aéronefs et la sécurité des vols. Zodiac Aerospace compte 35 000 employés dans le monde et a réalisé un chiffre d’affaires de 5,2 Mds € en 2015/2016. www.zodiacaerospace.com

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