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Date archive for: octobre 2016

Approval for photoluminescent system across the Airbus range

STG Aerospace secures EASA approval for its saf-Tglo® blu photoluminescent system across the Airbus range

Press Release – 20th October 2016

Leading cabin lighting company STG Aerospace is delighted to announce that EASA has approved its latest photoluminescent floorpath marking system, saf-Tglo® blu, for the following aircraft in the current Airbus fleet – the A300, A310, A320, A330 and A340.

This is the first time that an emergency egress system using blue photoluminescence has been approved for use in any aircraft application. saf-Tglo® blu provides a unique colour glow for operators of aircraft in the Airbus family and cabin designers alike preparing to modify or upgrade Airbus aircraft interiors.

Engineered from the proven technology of the original and market-leading saf-Tglo® photoluminescent range, the unique and patented design of saf-Tglo® blu emits a blue glow, a noticeable change from the traditional green glow that has always been associated with the product, and enables airlines to subtly transform cabin aesthetics via simple illumination without compromising passenger safety.

In daylight, the body colour of saf-Tglo® blu is whiter than the glow produced by traditional photoluminescent systems meaning that when it is used with any translucent film or overlay, the result is a truer, brighter, cleaner colour. In darkness, the glow has a calmer, softer, more reassuring quality whilst still performing the critical safety function the system provides.

saf-Tglo® blu is an obvious choice for operators of Airbus aircraft looking to improve their interiors appeal, the unique transformation afforded by the simplistic modification of a saf-Tglo® blu installation has the distinct ability to transform any aircraft, blending seamlessly with the latest mood lighting systems. Whilst obviously a significant visual upgrade, the origins of the design are actually based in science, and specifically the results of a human perception analysis which show that the blue wavelengths of emitted light enable enhanced passenger perception of the emergency track with a dark adapted human eye.

saf-Tglo® is the world’s lightest, narrowest and most discreet floor path marking system and the first non-electrical system that can reduce maintenance and operational costs. Installed on over 10,000 aircraft worldwide and selected by virtually every major aircraft manufacturer it is the photoluminescent floor path marking system of choice for aircraft manufacturers, airlines and cabin designers.

The EASA approval process was executed using STG Aerospace’s own in-house Design Organisation Approval (DOA) procedures and, using its extensive in-service performance data, the company has been able to reduce the maintenance burden for airlines by minimising the requirement for inspections. As with other versions of saf-Tglo®, saf-Tglo® blu can be very easily installed – typically by an airline’s own technical staff during an overnight shift.

Sean O’Kell, Director of Innovation for STG Aerospace, commented: “Securing EASA approval for saf-Tglo® blu across the Airbus fleet obviously opens up exciting new marketing opportunities for us and we’re already in advanced negotiations with key launch customers. As a product, it symbolises our commitment to the continual evolution of the saf-Tglo® range – always enhancing the aesthetics without in any way compromising on safety.”

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Retour en images sur la Fête de la Science de l’IPSA Paris avec les associations I-Tech et AERO RC

Dans le cadre de la Fête de la Science 2016, les associations I-Tech et AERO RC de l’IPSA Paris investissaient le Musée des Arts et Métiers pour rencontrer des lycéens le jeudi 13 octobre. En plus de faire découvrir le métier d’ingénieur dans le secteur de l’aéronautique et du spatial, les IPSAliens ont profité de ces rencontres pour initier les jeunes curieux présents à la construction et au pilotage de drones. Retour en images sur cette belle initiative.

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Zoom sur VOLTA, l’hélicoptère tout électrique piloté

VOLTA, le premier hélicoptère tout électrique conventionnel pensé pour la formation des pilotes et le vol de loisir, effectue ses premiers vols d’essai. L’ENAC est partenaire du projet.

VOLTA est développé par la société AQUINEA et l’ENAC. Il s’agit du premier hélicoptère conventionnel tout électrique à effectuer un vol piloté.

La société AQUINEA est une TPE composée de trois passionnés d’hélicoptère qui ont relevé le pari fou de convertir un appareil thermique en appareil électrique.

Après trois années de développement, et avec le support de l’ENAC depuis 2015, VOLTA est désormais opérationnel.

L’objectif des essais en vol est d’évaluer les avantages du concept en termes de sécurité, d’autonomie, de performances et de qualités de vol par des essais en conditions réelles. A terme, le projet vise la conception et la réalisation d’un démonstrateur certifiable d’hélicoptère biplace entièrement électrique, pour la formation initiale au pilotage d’hélicoptère.

Pourquoi un hélicoptère tout électrique ?

Il permet tout d’abord une réduction considérable de la pollution atmosphérique, ainsi que des nuisances sonores. Par ailleurs, l’électricité peut être une énergie renouvelable, par exemple grâce à des panneaux solaires placés sur les hangars des aérodromes.

Les coûts d’exploitation sont fortement diminués : l’énergie électrique est peu coûteuse, et la motorisation nécessite peu de maintenance. Celle-ci, très simplifiée, assure une plus grande sécurité des vols.

Une autonomie record

Le système de batteries de VOLTA lui permettra d’atteindre une autonomie record, au-delà des 3 minutes atteintes par les prototypes actuels, avec un objectif de près de 20 minutes.

Qu’est-ce qu’un hélicoptère conventionnel?

Un hélicoptère conventionnel est équipé d’un seul rotor à pas variable et d’un rotor de queue anti-couple, alors que la concurrence (allemande et chinoise notamment) propose des hélicoptères multi-rotors à vitesse variable semblables aux drones.

L’intérêt de développer un hélicoptère conventionnel est multiple.

Tout d’abord, l’efficacité énergétique : son mono-rotor est 30% plus efficace en termes d’énergie qu’un multi-rotors de surface équivalente.

L’hélicoptère conventionnel permet également une meilleure sécurité des vols. En effet, un rotor à pas variable a des reprises de puissance plus fiables qu’un rotor à vitesse variable. Il possède également des capacités d’autorotation, c’est-à-dire qu’en cas de défaillance moteur, l’hélicoptère descend et crée un vent relatif ascendant qui entraîne le rotor et engendre une portance suffisante pour un atterrissage d’urgence.

Un hélicoptère conventionnel permet une continuité pour la formation des pilotes d’hélicoptère à motorisation classique.

Un hélicoptère plus propre, plus silencieux et plus économique

Considérant une endurance moyenne de 25 min, chaque vol électrique de VOLTA permet d’éviter le rejet de : 13kg de CO² et 24g de NOx.

Ainsi, sur une durée de vie escomptée de 350 heures, la batterie de VOLTA permet d’éviter le rejet de plus de 11 tonnes de CO², de 22kg de NOx et la consommation de 17000 litres de carburant.

Cela équivaut à une économie de près de 30 tonnes de CO² pour 1 000h de vol.

Un appareil « Made in France »

AQUINEA est une société basée à Pompertuzat.

La fabrication mécanique a été réalisée par la société lorraine SIMB, avec l’appui des toulousains MPC Aero et de l’ACFM.

La partie électronique a quant à elle été conçue par l’entreprise PROTOLEC.

L’ENAC a notamment réalisé les Interfaces Homme-Machine de l’appareil et apporté un soutien technique sur son centre de Castelnaudary ainsi que sur celui de Muret pour l’organisation des essais de vol.

HELI-HORIZON, spécialiste de l’hélicoptère basé à Toussus Le Noble, a appuyé techniquement le développement de VOLTA en procédant notamment aux vols d’essais.

Téléchargez la présentation complète du projet VOLTA ///

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DAHER renforce son programme d’investissement et d’innovation industrielle

DAHER renforce son programme d’investissement et d’innovation industrielle avec le soutien de la Banque Européenne d’Investissement (BEI)

Premier financement direct de la BEI en région Pays de la Loire dans le cadre du Plan d’investissement pour l’Europe

Nantes, le 14 octobre 2016 – Didier Kayat, Directeur Général de Daher et Ambroise Fayolle, Vice-Président de la Banque Européenne d’Investissement (BEI) ont signé un prêt de 60 millions d’euros destiné à soutenir le programme d’investissement du groupe, en présence de Christophe Sirugue, Secrétaire d’Etat à l’Industrie. Une opération rendue possible par la garantie du budget européen déployée dans le cadre du Fonds européen pour les investissements stratégiques (FEIS) du Plan d’investissement pour l’Europe appelé également Plan Juncker. Il s’agit du 1er financement direct de la BEI en région Pays de la Loire dans le cadre du Plan d’investissement pour l’Europe. Valorisé à plus de 120 millions d’euros, le programme d’investissement de DAHER portera sur des projets de modernisation de l’outil industriel, de développement de la compétitivité et de digitalisation de ses sites industriels français et ce, afin d’accompagner le développement de ses clients.

Un accord d’envergure au service de l’innovation industrielle et de la compétitivité

Ce prêt va permettre de financer à hauteur de 50% des projets d’innovation industrielle sur les sites français de DAHER, identifiés et valorisés à plus de 120 millions d’euros sur 3 ans.

Ainsi, ce programme d’investissement permettra notamment à DAHER :

 de se renforcer sur ses expertises d’ingénierie, de design et d’industrialisation pour les grands programmes aéronautiques de ses clients comme Airbus, ATR et Gulfstream ;

 de développer les technologies de demain qui permettront de renforcer la robustesse de DAHER, tout en assurant une optimisation de chacun des maillons de sa supply chain et au service de ses clients aéronautiques et des technologies avancées.

« La modernisation de l’appareil productif est essentielle pour la filière aéronautique, dont plus de la moitié des emplois résident dans la production et dont la valeur ajoutée est en grande partie générée par la chaîne des fournisseurs. L’investissement de DAHER, avec le soutien de la BEI, s’inscrit par ailleurs pleinement dans la démarche « Industrie du Futur » que nous promouvons et qui doit constituer dès aujourd’hui le fer de lance de notre industrie. Enfin, ce nouveau prêt dans le cadre du plan Juncker, confirme l’engagement européen en faveur de la compétitivité de l’industrie française sur le plan international et de

l’investissement comme soutien à la croissance » a déclaré Christophe Sirugue, Secrétaire d’Etat à l’Industrie.

« Ce prêt sur 10 ans s’inscrit parfaitement dans la stratégie de DAHER d’engagement en matière de programmes industriels et aéronautiques de long terme. Il va ainsi nous permettre de soutenir notre programme d’investissement en faveur de la modernisation, de la performance et de l’automatisation de nos processus industriels. L’innovation reste en effet plus que jamais placée au coeur de notre stratégie d’entreprise, garante de notre compétitivité au niveau mondial. Au-delà, ce financement de la BEI est également une fierté puisqu’il constitue une reconnaissance de la fiabilité financière et de robustesse de la stratégie de DAHER en tant qu’acteur industriel innovant de premier plan », déclare Didier Kayat, Directeur Général de DAHER.

« Ce premier financement direct de la BEI en région Pays de la Loire dans le cadre du Plan Juncker est un signal fort en faveur de l’innovation et de l’industrie du futur, a souligné le Vice-Président Ambroise Fayolle durant la cérémonie de signature. L’innovation est le moteur de la compétitivité internationale des entreprises et de l’emploi. C’est pourquoi il est de notre responsabilité d’offrir des produits financiers adaptés pour soutenir l’excellence technique et industrielle des entreprises. Ce financement reflète le déploiement du Plan Juncker en France avec à ce jour 42 opérations approuvées pour le Groupe BEI pour un montant global d’investissements de 2,9 milliards d’euros. »

  1. Jyrki Katainen, vice-président de la Commission européenne chargé de l’emploi, de la croissance, de l’investissement et de la compétitivité, a déclaré : « en soutenant ce prêt à DAHER, le plan d’investissement contribue au financement de l’innovation et du progrès technologique en Europe. Ce projet montre comment le FEIS apporte de la valeur ajoutée et stimule la compétitivité de l’Union européenne. Jusqu’à maintenant, la France est l’un des premiers bénéficiaires du plan d’investissement : j’encourage donc les autres États membres à soumettre des propositions d’investissement tout aussi innovantes à la BEI au plus vite. »
L’innovation, au coeur de la stratégie d’entreprise de DAHER : l’exemple de l’usine de Nantes

Depuis plusieurs années, DAHER nourrit une vision d’entreprise tournée vers les défis liés à l’industrie 4.0. Pour cela, l’entreprise a notamment structuré et développé avec succès ses activités autour de la convergence industrie et services.

Dans la poursuite de cette dynamique, DAHER accélère son développement en déployant un programme ambitieux d’innovation, à tous niveaux, qui se base notamment sur une organisation performante en lean management, flexible et respectueuse de l’environnement.

DAHER mène ainsi des projets industriels ambitieux comme par exemple la recherche de nouveaux matériaux, l’usage et l’amélioration des matériaux composites et thermoplastiques, l’étude et la mise au point de nouveaux produits toujours plus performants qui contribuent au rayonnement de l’industrie française dans le secteur de l’aéronautique.

Première usine labellisée « vitrine technologique Industrie du Futur » par le Gouvernement, le site nantais de DAHER incarne la démarche d’excellence et d’innovation de l’équipementier. Spécialisé dans la conception et la fabrication de matériaux composites ainsi que dans la recherche de nouvelles technologies l’usine DAHER de Nantes est un site où l’innovation prend toute sa mesure.

À propos de BEI

Créée en 1957 par le Traité de Rome, la BEI est la banque de l’Union européenne, formant avec le Fonds européen d’investissement (FEI) – filiale dédiée au soutien des PME – le Groupe BEI.

Fort de son expertise et de son attractivité financière grâce à sa notation triple A, le Groupe BEI est un acteur clef de la relance par l’investissement en Europe et en particulier en France avec un peu plus de 8,7 milliards d’euros de financements nouveaux en 2015 dont 46 % de son activité en faveur de l’action climat. La mobilisation exceptionnelle du Groupe BEI en France en 2015 pour soutenir l’économie réelle a été menée de concert avec ses partenaires publics et privés.

Depuis 2015, le Groupe BEI est l’opérateur du Plan d’investissement pour l’Europe. Les projets financés par le Fonds européen d’investissement stratégique (FEIS) sont à caractère plus risqué, l’objectif étant de soutenir l’investissement sur certains secteurs d’activité prioritaires pour l’avenir de l’économie européenne tels que l’innovation et l’industrie du futur. Le Plan d’investissement pour l’Europe monte en puissance en France : 42 projets ont d’ores et déjà été approuvés pour un montant global de 2.9 milliards d’euros, lesquels devraient mobiliser 15 milliards d’euros d’investissements.

Plus d’informations sur : www.bei.org

A propos de DAHER – www.daher.com

DAHER est un équipementier qui développe des Systèmes Industriels Intégrés pour l’aéronautique et les technologies avancées.

En associant ses savoir-faire de fabrication industrielle, ingénierie des produits et des process, logistique et transport, et services industriels, DAHER conçoit et développe des solutions à valeur ajoutée pour ses partenaires industriels, qui bénéficient de cette convergence d’industrie et de services. DAHER affirme son leadership sur cinq domaines d’activités : constructeur d’avions, aérostructures et systèmes, logistique intégrée, services nucléaires et vannes.

En 2015, DAHER réalise un chiffre d’affaires supérieur à un milliard d’euros et son carnet de commandes représente environ 3,5 années de chiffre d’affaires. Tourné vers l’innovation depuis sa création en 1863, DAHER s’impose aujourd’hui comme l’un des acteurs majeurs de l’usine du futur, l’usine 4.0.

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Jean-Yves Le Gall, Président de l’IAF, a tenu une conférence de presse, vendredi 14 octobre au siège du CNES, afin de présenter le Global Innovation Agenda 2016-2019 de l’IAF.

Jean-Yves Le Gall, qui est impliqué dans les activités de l’IAF depuis de nombreuses années, a pris ses fonctions de Président de l’IAF à l’occasion du 67ème IAC, qui s’est déroulé à Guadalajara, au Mexique, du 26 au 30 septembre. Le 14 octobre, il a tenu une conférence de presse afin de présenter son plan et ses objectifs pour faire évoluer l’IAF. A cette occasion, il a expliqué en détail son Global Innovation Agenda 2016-2019, qui s’articule autour de trois principes: préserver l’héritage de l’IAF et capitaliser sur ses atouts, être à l’écoute et s’ouvrir au monde, préparer le futur, sous la devise « Connecting @ll space people ».

La feuille de route des trois prochaines années suivra sept points :

– Aller vers les pays émergents et se connecter à de nouvelles communautés

– Promouvoir la diversité selon les principes des “3-G”, au sein du secteur spatial (Genre, Génération, Géographie)

– Faire évoluer le congrès IAC en développant des valeurs de durabilité et de développement futur

– Organiser des conférences globales et régionales

– Favoriser les relations avec les organisations partenaires de l’IAF

– Faire évoluer la structure IAF existante

– Se projeter vers le futur au travers de projets innovants

Le Global Innovation Agenda 2016-2019 sera le fer de lance de l’IAF, voué à propulser la Fédération dans une nouvelle ère et à faire d’elle l’outil permettant de guider la communauté spatiale mondiale, dans son ensemble, vers un monde plus global.

Pendant la conférence de presse, Jean-Yves Le Gall est revenu sur l’immense succès de l’IAC 2016 à Guadalajara, qui a affiché un nombre record de participants, 5217 en tout, et dont le programme plénière et technique s’est révélé passionnant, porté par des orateurs du plus haut niveau. Le fil rouge de ce 67ème IAC furent définitivement les discussions autour de Mars et de son exploration, avec en tête la NASA (Charles Bolden), Space X (Elon Musk) ou encore Lockheed Martin. Le succès médiatique fut lui aussi au rendez-vous, l’évènement s’est vu largement relayé sur les réseaux sociaux et parmi les jeunes générations.

Au cours de cet IAC 2016, quatre nouveaux vice-présidents ont été élus, Pascale Ehrenfreund, Présidente du Directoire du DLR, Jan Worner, Directeur général de l’ESA, Clay Mowry, Responsable Ventes, marketing et Relations Clients chez Blue Origin ou encore Sergei Krikalev, Directeur exécutif des Vols habités de Roscosmos.

C’est le regard tourné vers le futur que s’est achevée cette conférence de presse, avec une présentation de Peter Nikoloff, membre du Comité local d’organisation, sur la préparation du 68ème IAC, qui se tiendra à Adelaïde, en Australie, du 25 au 29 septembre 2017. Les préparations vont d’ores et déjà bon train et l’Australie s’est déclarée particulièrement fière d’accueillir la communauté spatiale internationale.

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Christian Scherer devient Président Exécutif d’ATR

Toulouse, le 12 octobre 2016 – Les actionnaires d’ATR, Airbus Group et Leonardo-Finmeccanica, ont nommé M. Christian Scherer (54 ans) au poste de Président Exécutif d’ATR. Il succède à Patrick de Castelbajac, qui est nommé Company Secretary and Chief of Staff et membre du comité exécutif d’Airbus. La prise de fonctions aura lieu le 1er novembre 2016.

Les actionnaires d’ATR ont confirmé que M. Scherer dirigera l’entreprise dans le cadre d’un mandat de quatre ans afin de garantir la stabilité et la continuité de la croissance de l’entreprise. Giovanni Tramparulo, actuel Directeur Financier d’ATR, est également reconduit dans ses fonctions pour quatre ans.

Christian Scherer est actuellement Vice-président exécutif et Directeur d’Airbus Group International. Auparavant, il a dirigé le service Marketing et Commercial d’Airbus Defence and Space et était membre du comité exécutif d’Airbus Defence and Space et Directeur Général d’Airbus Defence and Space GmbH. Il a débuté sa carrière chez Airbus en 1984 et a occupé plusieurs postes de direction, parmi lesquels ceux de Directeur Commercial adjoint, puis de Directeur de la Stratégie et des Programmes futurs.

Tom Enders, PDG d’Airbus Group, a dit à cette occasion : « Christian Scherer a démontré une très riche expertise commerciale, une vision stratégique et de solides compétences managériales. Il est le candidat idéal pour succéder à Patrick de Castelbajac que je remercie pour son excellent travail à la tête d’ATR. La nomination de Christian pour un mandat de quatre ans illustre l’engagement d’Airbus Group en faveur du succès de son partenariat avec Leonardo ».

Mauro Moretti, le PDG de Leonardo-Finmeccanica, a pour sa part déclaré : « Nous nous félicitons de l’arrivée de Christian Scherer, un homme qui a brillamment fait ses preuves dans le secteur de l’aviation commerciale. Avec sa nomination, nous espérons continuer à renforcer la place de leader qu’occupe ATR sur son marché ».

Christian Scherer a ajouté: “Je suis enchanté d’être nommé Président Exécutif du leader mondial de l’aviation régionale. J’apprécie tout particulièrement l’esprit de famille exceptionnel et la proximité avec les clients d’ATR. J’ai grandi dans une culture similaire et j’espère pouvoir la perpétuer pour le bénéfice de nos clients, employés et actionnaires. »

À propos d’ATR :

Fondé en 1981, ATR est le leader mondial sur le marché des avions turbopropulseurs régionaux de moins de 90 places. Depuis sa création, ATR a vendu plus de 1 500 appareils. Les modèles ATR équipent les flottes de plus de 200 compagnies aériennes réparties dans près de 100 pays. ATR est un partenariat à parts égales entre deux acteurs aéronautiques européens majeurs, Airbus Group et Leonardo-Finmeccanica. Son siège social se situe à Toulouse. ATR est certifié ISO 14001. Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site http://www.atr-aircraft.com

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L’industrie de l’usine du futur est chez Figeac Aéro

L’industrie de l’usine du futur est chez Figeac Aéro

C’est toujours avec autant de dynamisme que Jean-Claude Maillard, PDG-fondateur de Figeac Aero dans le Lot, a présenté son outil de travail. Mais cette fois, ce n’est pas dans des bureaux parisiens qu’il l’a fait. Mais dans les locaux de l’entreprise qui d’année en année ne cesse de prendre de l’ampleur.

Pour preuve, il a finalisé l’acquisition de 85 000 m2 de terrains qui jouxtent la zone industrielle de l’Aiguille où est implantée l’entreprise afin d’y installer un nouvel atelier d’assemblage et se donner les moyens d’une future expansion du site historique.

Ce n’est là qu’un des derniers investissements de l’entreprise devenue une ETI (entreprise de taille intermédiaire) après avoir ouvert son capital à trois reprises dont la 3ème pour un montant de 86 M€ il y a 6 mois. Renforcer la confiance des banques, disposer des moyens financiers afin d’être en mesure d’investir et avoir un bon niveau de rentabilité sont les leitmotivs de ce chef d’entreprise qui a aussi engagé trois autres chantiers à Figeac.

Il s’agit de la création d’un nouvel atelier dédié à l’usinage de pièces de grande dimension en aluminium, de l’extension de l’atelier d’usinage des métaux durs (principalement le titane et des Inconel) de grande taille et de cette fameuse usine du futur dont la notion pour abstraite qu’elle puisse paraître doit être l’objectif de tout industriel digne de ce nom.

Car il apparaît que depuis la création de l’entreprise il y a une trentaine d’années, Jean-Claude Maillard a toujours rêvé de l’usine du futur. C’est une sorte de course en avant qui fait qu’on cherche toujours à améliorer les concepts de production.

Dans ce domaine d’ailleurs une partie non négligeable (entre 17 et 20 M€) est dédiée à la R&D en vue d’accroître la productivité sur un investissement total de 90 M€ sur l’exercice qui s’achèvera fin mars 2017. Ces travaux d’études en productivité sont menés à Figeac et ensuite ils bénéficieront à toutes les autres unités du groupe mises en place soit pour se rapprocher d’un client ou d’un fournisseur, soit pour rechercher de la compétitivité.

En terme de proximité

Le patron de Figeac Aéro justifie la mise en place d’ateliers d’assemblage à Méaulte à proximité de l’usine de Stelia Aerospace – avec lequel il a signé un protocole d’accord valorisé à 400 M$ -, ou encore à Saint-Nazaire, au contact de Spirit AeroSystems pour qui il fournit des structures de planchers, qu’il assemble sur place, et que Spirit intègre au tronçon de fuselage des A350 dont il a la charge et qu’il livre ensuite à Airbus St. Nazaire.

La proximité avec Spirit AeroSystems en France lui a aussi fait gagner des contrats avec cet aérostructurier de rang 1 dont les principaux halls sont basés à Wichita. C’est ainsi que Figeac Aero a décidé de racheter une usine (qui appartenait au Belge Sonaca) située au cœur de ce fief américain de l’aéronautique. Il a d’ailleurs en passe de doubler la superficie de l’usine en lui adjoignant 6 000 m2 et de tripler les effectifs en 2 ans.

Aller chercher la rentabilité là où elle se trouve

Cette stratégie de proximité avec ses plus importants clients se double d’une stratégie de productivité. Pour être rentable il faut aller chercher la compétitivité là où elle se trouve. C’est ainsi que pour approvisionner ses usines d’assemblage (au nombre de 4 avec les ateliers de Figeac), l’entreprise a mis sur pied trois usines en zone « best cost » pour ne pas dire à bas coût. Il s’agit de la Tunisie où malgré la situation géopolitique parfois tendue, seul 3 jours ont été perdus depuis sa création, l’autre au Maroc qui a ouvert ses portes en septembre 2015 et qui bénéficiera d’un investissement de 25 M€ sur 5 ans, la troisième au Mexique pour alimenter à termes les activités de Figeac Aéro aux Etats-Unis. Pour l’heure cette unité qui a aussi démarré ses activités en fin 2015 se consacre essentiellement à l’usinage de ferrures et autres pièces métalliques de mécanismes des portes du Boeing 787 dont une partie est produite dorénavant au Mexique par Latécoère. Tout comme les deux unités implantées au Maghreb, l’usine mexicaine emploiera à terme 500 personnes, disposera des mêmes équipements et devra présenter un EBITDA (pour faire simple : excédent brut d’exploitation) aligné sur ceux délivrés par les unités maghrébines.

Toujours avec l’objectif d’atteindre un niveau de rentabilité le plus satisfaisant possible, Figeac Aéro a signé un accord avec le fournisseur de titane Russe VSMPO-Avisma en vue de la création d’une coentreprise (JV) à 50/50 dans laquelle les deux partenaires investiront chacun 10 M€. La JV annoncée en juillet 2014 devrait commencer ses activités lorsque Figeac Aero annoncera, vraisemblablement dans les deux mois à venir, un nouveau contrat avec « un grand de l’aéronautique ». Le cadre de l’accord stipule que VSMPO fournira les bruts de forge tandis qu’ils seront usinés (ébauche et finition) à Figeac, ce n’est qu’en 2018 que l’ébauchage sera fait à Salda dans la Vallée du titane russe. A l’horizon 2020, l’entreprise devrait compter une centaine de personnes.

L’usine du futur prend le relais

Les implantations étrangères de Figeac Aéro ne doivent pas laisser penser que c’est la planche de salut à une productivité « rentable ». Il est des cas où il est plus intéressant de produire en France qu’en allant chercher du côté de la Chine par exemple.

C’est pour le moins ce qu’a expliqué Jean-Claude Maillard en présentant « son » usine du futur qui a déjà commencé à se consacrer à l’usinage de viroles de carter intermédiaire (VCI) en titane. Ces viroles sont des pièces très techniques. De plus deux solutions ont été retenues : une solution forgée pour les viroles des moteurs Leap 1-A destinés aux Airbus A320neo, et une solution de fonderie (dont les secteurs sont soudés par faisceau d’électrons) pour les Leap 1-B des Boeing 737 Max. Ce qui d’ailleurs conduit à une différence de masse significative entre les deux types de VCI puisque celle du Leap 1-A pèse 86 kg, alors que celle du Leap 1-B pèse 106 kg.

Le cœur de cette usine du futur, explique Jean-Paul Duprat chef de projet de l’unité repose d’une part sur le regroupement de tous les moyens de production et de parachèvement nécessaire à l’usinage des viroles. Aujourd’hui nous avons choisi d’intégrer des opérations telles que les contrôles non destructifs, les traitements de surface, ce qui est source de réduction des cycles, tout comme l’est aussi le fait de produire à Figeac et non pas dans un pays où certes les coûts de main d’œuvre sont moindre mais où les immobilisations financières dues à la logistiques sont très fortes. Ainsi explique le PDG, en adoptant le principe de l’usine du futur, « nous gagnons 1,5 mois sur un cycle de 3 mois, rien que pour le cycle des traitements de surface on gagne 1 mois de cycle ». « C’est clairement grâce une étude par nos équipes de R&D approfondie des divers scenario de production que nous avons pu remporter le contrat auprès de Safran Aircraft Engines » explique en substance le PDG. Et quand on demande ce qui fait la force, ou ce qui défini le mieux cette usine du futur, c’est Jean-Paul Duprat qui a le dernier mot : c’est la gestion par superviseur à l’aide d’un automatique qui caractérise cette unité. Toutes les machines, tous les systèmes de contrôle tridimensionnel, de contrôle non destructifs, de traitements de surface etc. font l’objet d’une surveillance et toute dérive est signalée afin que dans la mesure du possible les corrections (changements d’outils, réglages des dérives machines etc.) soient faites de manière automatique et systématique.

Mais gageons que cette génération d’usine du futur chez Figeac Aéro laissera place à de nombreuses évolutions dans les années à venir pour satisfaire au mieux les exigences des clients tant en coûts mais surtout aussi en qualité et délais.

Nicole Beauclair pour AeroMorning

Photo : Jean-Claude Maillard dans l’unité d’usinage des métaux durs. @NB

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DJI et Datumate s’associent pour fournir une solution de surveillance des chantiers

La surveillance, la cartographie des infrastructures et l’inspection facilitées et automatisées par un logiciel et une application mobile

DJI et Datumate ont démarré la commercialisation d’un package comprenant un drone, un logiciel et une application mobile pour une surveillance des chantiers accélérée et entièrement automatisée.

Optimisée pour les tâches de surveillance professionnelles, la solution de surveillance de chantier de DJI-Datumate simplifie les processus de surveillance et de cartographie tout en maintenant une précision supérieure. Situé à Shenzhen, DJI est le numéro un mondial du secteur de l’imagerie aérienne. La société Datumate, basée à Israël, est l’un des acteurs principaux en matière de solutions « du terrain au plan ».

La solution de surveillance de chantier de DJI-Datumate est composée d’un ensemble complet et professionnel d’outils d’imagerie et de cartographie conçus pour aider les entreprises de surveillance, de construction, d’inspection et des infrastructures de générer rapidement un modèle de travail, une visualisation du chantier, des analyses et un plan. La solution inclut le kit « Triple D » du drone DJI, l’application mobile pour tablette DatuFly? permettant la photographie aérienne automatisée et accélérée, ainsi que le logiciel de photogrammétrie DatuGram?3D pour la conversion des photos aériennes et terrestres en cartes 2D et modèles 3D géoréférencés à haute précision.

« Les nouvelles réglementations relatives aux drones accélèrent l’adoption de ceux-ci pour une vaste palette d’applications liées à la surveillance », a déclaré Paul Xu, directeur des solutions d’entreprises de DJI. « Nous croyons que les solutions de surveillance de chantier de DJI-Datumate sont des solutions professionnelles et rentables dans les domaines de la surveillance, de la cartographie des infrastructures et de l’inspection. »

Le logiciel DatuFly? génère un plan de vol et de prises de vues pour le drone DJI sur la base des exigences issues des pratiques d’excellence de la photogrammétrie DatuGram?3D, garantissant une précision conforme aux règles de surveillance et des résultats rapides et de qualité.

« Nous sommes ravis de pouvoir nous associer avec DJI pour automatiser et numériser la totalité du processus de « terrain au plan ». Grâce à notre solution mutuelle qui transmet rapidement une visualisation du chantier et des relevés analytiques aux bureaux, les travaux de bureau et de terrain restent aisés et sûrs », a expliqué Tal Meirzon, PDG de Datumate. « Les solutions de surveillance de chantier de DJI-Datumate constituent une étape importante pour la surveillance professionnelle, la cartographie des infrastructures de construction et l’inspection des biens. »

Les solutions de surveillance de chantier de DJI-Datumate sont accessibles mondialement à partir du magasin en ligne de DJI ainsi que via les revendeurs DJI et Datumate.

De plus amples informations à propos des solutions de surveillance de chantier de DJI-Datumate sont disponibles ici:

http://www.datumate.com/products/site-survey-solution et http://store.dji.com/category/site-survery-solutions

À propos de DJI

DJI est le leader mondial dans le domaine du développement et de la fabrication de technologies innovantes de drones et de caméras pour une utilisation commerciale et de loisir. La société DJI a été créée et est dirigée par des passionnés d’hélicoptères radiocommandés et des experts en technologie de contrôle aérien et de stabilisation de caméras. La société se consacre à rendre plus accessibles, plus simples et plus fiables le matériel et les plateformes pour la réalisation de photographies et de films aériens destinés aux créateurs et innovateurs du monde entier. Les activités internationales de DJI couvrent actuellement les Amériques, l’Europe et l’Asie, et ses produits et solutions révolutionnaires ont été choisis par des clients à travers plus de 100 pays pour des utilisations dans les domaines de la réalisation de films, du bâtiment, des interventions en cas d’urgence, de l’agriculture, de la conservation et dans bien d’autres secteurs.

Pour en savoir plus : https://enterprise.dji.com/

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Village Aerospace ISAE SUPAERO 2016

Lors des journées « Village Aerospace » du 6 octobre dernier à l’ISAE-SUPAERO, Théodore, Mathilde, Prianka, Zaidoun, et Bhankisan ont livré à AeroMorning leurs attentes et envies au sujet des missions qu’ils souhaitent trouver pendant le salon.

Théodore, souhaitait obtenir de plus amples informations sur les entreprises, avoir des idées de stages et de métiers. Souhaitant plutôt travailler dans le secteur spatial, il avait repéré Zodiac Aerospace ainsi que l’entreprise MBDA, mais avait fait le tour du salon pour trouver ce qui lui plaisait. Les systèmes embarqués, les objets connectés, travailler sur les drones le fait rêver et pour le stage il souhaite trouver une mission qui l’interesse où il pourrait s’investir à 100% quel que soit la rémunération, le salaire étant secondaire pour lui à ce stade.

Mathilde, quand à elle est plutôt axée sur les matériaux et structures, et cherchait le contact avec les entreprises, les directeurs des ressources humaines, pour consulter leurs offres, obtenir des avis sur son cv et lettre de motivation, et avoir quelques conseils d’orientation. C’est l’attractivité internationale d’une entreprise qui interesse Mathilde qui rêve de partir « outre mer », dans des pays qui l’attirent comme l’Australie et les Etats-Unis ou l’Asie. Prête à s’expatrier, elle en a la possibilité grâce à son année de césure comportant deux fois six mois de stage.

Bien sûr les offres de stage doivent correspondre à leur formation et à leurs projets professionnels futurs.

Prianka, venue d’Inde et étudiante en troisième année à l’ISAE SUPAERO, est passionnée d’espace. Ingénieur informatique sur les systèmes autonomes, Prianka souhaiterait trouver un emploi dans le domaine des robots en lien avec le spatial. Zaîdoun, élève jordanien passionné d’aéronautique, rêve de trouver un emploi stable chez Airbus, entreprise ouverte sur le monde.

A leurs yeux très importantes, ces rencontres étudiants-entreprises leur donnent l’occasion de rencontrer les industriels, de proofiter de leurs conseils et de s’orienter.

Nadia Didelot – AeroMorning

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