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Date archive for: novembre 2016

Retour sur le Forum Entreprises 2016 de l’IPSA

Lors de la nouvelle édition de son Forum Entreprises organisée le jeudi 24 novembre 2016, l’IPSA a accueilli de nombreux recruteurs à la recherche de jeunes ingénieurs de talent. Retour sur cet événement riche en rencontres avec Mathilde Cauvet, responsable des stages et de l’insertion professionnelle à l’IPSA.

Combien d’entreprises ont participé à ce Forum Entreprises 2016 ?

Mathilde Cauvet : L’événement a rassemblé 93 professionnels issus de 41 entreprises. Il s’adressait principalement aux étudiants de 5e année, à la recherche d’un stage de fin d’études, mais étaient également conviés les jeunes diplômés des deux dernières promotions pour trouver un premier emploi ou simplement cultiver leur réseau.

Quel était le profil des entreprises présentes ?

Elles appartenaient principalement au secteur de l’aéronautique et du spatial. Les étudiants pouvaient aussi croiser plusieurs sociétés de services proposant régulièrement des projets à mener au sein de grandes entreprises de ce secteur.

Qu’est-ce qu’apprécient les entreprises chez les IPSAliens ?

Leur expertise technique, bien sûr, et leurs compétences en mécatronique, électronique, etc. Enfin, si les entreprises reviennent régulièrement nous voir, c’est qu’elles apprécient aussi la simplicité de nos étudiants. Ces derniers arrivent bien à s’intégrer en entreprise et sont très rapidement performants : ils ont la tête bien faite, mais pas la grosse tête !

En marge du Forum, plusieurs conférences ont été organisées cette année. De quoi traitaient-elles ?

En effet, nous avions décidé de découper la journée en deux temps. Si l’après-midi était dédiée aux rencontres entre professionnels et IPSAliens, la matinée s’axait sur les conférences. Nous en avions organisées quatre. La première portait sur le Volontariat International en Entreprise (VIE) : il s’agissait d’expliquer en quoi cela consistait auprès des étudiants de 5e année qui peuvent réaliser un VIE à la place de leur stage de fin d’études ou après leur cursus à l’IPSA. La deuxième s’adressait aussi bien aux professionnels qu’aux étudiants puisqu’elle traitait des nouveaux modes de recrutement à travers les réseaux sociaux, les nouveaux outils ou encore les nouvelles plateformes, en compagnie de la start-up Kudoz et du Lab RH. La troisième était consacrée au lean management et réservée aux étudiants de l’option Management et Logistique Industrielle (MLI), avec l’intervention d’une personne en charge du Lean Manufacturing chez Matra Electronique. Enfin, la dernière conférence concernait l’ingénierie d’affaire, avec la participation de Jean-François Lefèvre, responsable de l’option MLI à l’IPSA et d’un ingénieur d’affaire de l’entreprise Abylsen. C’était l’occasion de bien découvrir ce métier et ses différentes évolutions possibles en cours de carrière.

Ils ont participé au Forums Entreprises 2016 de l’IPSA :

Abylsen, Adecco Aéronautique, Adecco Scientifique & Ingénierie, AeroCentre, AKKA Technologies, Alten, Altran, Amaris, Apside Technologies, l’armée de l’Air, Armelio, Assystem, Astek, Bassetti, Business France, CS Communication & Systèmes, Derichebourg Aerosearch, ECM, Etop International, Euro Engineering, Excent, Gamma, la Gendarmerie Nationale, Geolean, Ineo Support Global, Jacquelot PE, LGM NMJ, la Marine Nationale, Matis, Matra Electronique, MCA Ingénierie, Onet Airport Services, Planitec, Royal Aeronautical Society, Sabena Technics. Safran, Sogeti High Tech, Studec, Ortec Engineering, Trigo-Qualitaire et WFS.

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Skyways Technics, nouveau membre du réseau de maintenance d’ATR

Toulouse, le 30 novembre 2016 – ATR annonce que Skyways Technics, société danoise implantée à Sønderborg et spécialisée dans la maintenance, réparation et révision aéronautique (MRO, Maintenance, Repair and Overhaul), a rejoint son réseau de centres de maintenance recommandés. Dans le cadre de l’accord signé ce jour, Skyways Technics proposera des solutions de maintenance parfaitement conformes à l’ensemble des directives fondamentales établies par ATR en matière de service client.

Lancé en 2012, le réseau MRO intègre plusieurs prestataires de maintenance et de service répartis en Asie, en Amérique latine et en Europe. Composante essentielle de la politique régionale d’ATR, ce réseau vise à offrir aux opérateurs des solutions locales de grande qualité en matière de maintenance, de logistique et de formation.

Créée à partir de Cimber Air Maintenance Center A/S, centre de maintenance de Cimber A/S, un des premiers opérateurs d’ATR en Europe, Skyways Technics affiche plus de 30 ans d’expérience sur les appareils du constructeur. L’entreprise propose un large éventail de services de maintenance aéronautique, depuis les solutions de maintenance en ligne et en base jusqu’au support sur site.

Benjamin Nielsen, Président Exécutif de Skyways Technics, a déclaré à propos de cet accord : « Nous sommes fiers du savoir-faire ATR que nous avons élaboré sur trois décennies. Faire aujourd’hui partie de ce réseau représente pour nous une preuve de reconnaissance. Forts d’une implantation géographique unique dans le sud du Danemark, les clients peuvent accéder rapidement et facilement à nos installations, notamment en provenance d’Europe du Nord et de Scandinavie, deux régions qui exploitent un nombre important d’ATR ».

Tom Anderson, Directeur Commercial et Support Clients d’ATR, a ajouté : « Depuis de nombreuses années, Skyways Technics développe des solutions de maintenance fiables et hautement qualifiées pour les appareils ATR. L’entreprise s’est donc inscrite comme un choix parfaitement naturel à l’heure d’étendre nos services en Europe du Nord. Nous sommes ravis de pouvoir collaborer avec un prestataire de renom qui saura assurer le support d’une flotte en pleine évolution dans la région ».

À propos de Skyways Technics :

Avec plus de 30 ans d’expérience, le prestataire de maintenance (MRO) danois Skyways Technics s’inscrit comme l’un des collaborateurs ATR européens les plus anciens. Spécialisée dans la maintenance aéronautique régionale, l’entreprise n’a eu cesse de se focaliser sur les besoins des clients. Skyways Technics est fière de garantir aux exploitants un niveau de service à leur image, à savoir exceptionnel.

Source: ATR

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Succès mais aussi défis spatiaux pour l’avenir de l’Occident

C’était en septembre dernier, le challenger Space X a subit un revers dont on pouvait penser qu’il ne se redresserait pas. Rien de tout cela semble t-il car les échecs, si les causes sont patiemment analysées, peuvent constituer des atouts. C’est pour le moins ce sur quoi table Elon Musk le patron de Space X qui pense pouvoir procéder à un nouveau tir de sa fusée Falcon 9 dès décembre 2016. C’est déjà demain.

Dans cette attente, on se doit de saluer les succès de nombre de missions spatiales qui se sont déroulées en cette fin d’année, au moins durant ces dernières semaines.

Les chiffres « ronds » sont à l’honneur

Bien évidemment c’est le départ pour la station spatiale internationale (ISS) du 10ème astronaute français, Thomas Pesquet, qui a tenu le haut du pavé. Une mission, la 50ème du genre, à être lancée du pas de tir de Baïkonour au Kazakhstan le 17 novembre et qui a permis à trois membres d’équipage (le Français, le Russe Oleg Novitskiy et l’Américaine Peggy Whitson de s’arrimer deux jours plus tard à la station spatiale.

C’est un défi incroyable car depuis plus de 15 ans maintenant des humains vivent en permanence dans cette station spatiale dont les modules sont venus de presque tous les continents et dont les expériences sont essentielles à l’avenir de nos pays. Cette mission, la 50ème , est programmée pour durer au moins 4 mois au cours de laquelle Thomas Pesquet mènera une cinquantaine d’expériences scientifiques mises au point par l’Agence Spatiale Européenne (ESA) et le Centre National d’Études Spatiales (CNES).

De son côté, Arianespace a procédé à partir du centre spatial européen de Kourou au lancement d’Ariane 5 le 17 novembre. Un lancement doublement couronné de succès puisque c’était le 75ème tirs réussi d’affilé de la fusée européenne qui, de plus, a permis de mettre en orbite 4 satellites du réseau de positionnement européen Galiléo. Les 4 satellites postés sur une orbite à 23 522 km d’altitude seront opérationnels d’ici la fin de l’année. De quoi rendre indépendante l’Europe qui se repose actuellement sur le GPS (Global Positioning System) américain.

Aucun répit en ce mois de novembre puisque de son côté les Américains ont procédé au lancement le 19 novembre d’une fusée Atlas, ceci à partir de Cape Canaveral en Floride. Un tir, le 100ème pour le programme EELV (Evolved Expendable Launch Vehicle), qui a permis de mettre en orbite le satellite météorologique GOES-R qui donne aux Etats-Unis la capacité de détecter avec une précision inégalée la formation de tempêtes au dessus du continent nord-américain.

Tous ces succès rencontrer par des pays qui comptent de nombreuses années de vocation spatiale ne doivent pas occulter l’arrivée de concurrents notamment en provenance de pays tels que l’Inde et la Chine. Deux pays qui font des avancées remarquées dans le Landerneau spatial.

L’Asie en embuscade

En lançant le 18 octobre dernier le vaisseau Shenzhou 11, la Chine fait un nouveau pas essentiel dans sa quête à poser un vaisseau habité sur le sol lunaire. Deux taikonauts (terme usuel pour désigner des cosmonautes ou astronautes chinois), Chen Dong et Jing Haipeng, ont donc porté à 12 le nombre de Chinois envoyés dans l’espace par un lanceur chinois et à partir d’un pas de tir national.

Ainsi que le rapporte l’agence Bloomberg, le lancement par la Chine de la capsule Zhenzhou 10 représente un pavé dans la mare des américains, mais aussi des européens. Car non seulement l’objectif visé à terme est la Lune, mais aussi Mars convoitée par les occidentaux.

Il apparaît selon les sources américaines que la Chine est le plus important compétiteur de la NASA. On peut en dire de même de l’ESA.

Le plan à 5 ans du gouvernement chinois doit aboutir, dans le domaine du développement, à des technologies avancées capables de rivaliser avec les technologies occidentales. Cela concerne les semi-conducteurs mais aussi les logiciels qui devront être produits en Chine et non plus acquis auprès d’industriels étrangers d’ici à l’horizon 2015.

C’est pourquoi le gouvernement central de Pékin a décidé d’accélérer les investissements dans les sciences spatiales pour les porter à 4,7 milliards de yuans (644 M€) pour la période 2011-2015 à au moins 15,6 milliards de yuans (2,1 Md€) sur la période 2026-2030. Certes ce budget est moins élevé que ce que consacre la NASA (environ 5,3 Md€) mais suffisamment pour inquiéter le gouvernement de Washington, d’autant plus en cette période d’incertitudes concernant les priorités du président élu qui prendra ses fonctions le 20 janvier 2017.

La Chine n’a pas caché non plus son intention de construire sa propre station spatiale, d’aller se poser sur la Lune et sur Mars le tout avant 2022, cela alors même que la NASA a mis fin à ses missions avec sa navette spatiale et qu’elle a abandonné le projet de retourner sur notre satellite naturel qu’est la Lune. Ces activités reposent donc essentiellement sur l’ISS dont la fin de vie est programmée à ce jour pour 2014.

Les défis arrivent donc de tous les coins du Monde, tant pour le lancement de satellites, que pour l’exploration humaine de l’espace. Des défis auxquels les américains ne sont pas les seuls à être confrontés. L’Europe aussi doit faire front. Pour cela, au moins pour le lancement des satellites, le programme Ariane 6 a été sanctuarisé par l’Europe. Il nous fallait bien cela.

Nicole Beauclair pour AeroMorning

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L’année des 25 ans

C’est le 22 juillet 1991 qu’est née officiellement par décret l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines.

Université pluridisciplinaire, elle possède une forte composante aérospatiale à travers son laboratoire de Recherche LATMOS (Laboratoire Atmosphères, Milieux, Observations Spatiales). Unité de recherche, crée le 1er janvier 2009, il fait partie de l’Observatoire des Sciences de l’Univers de l’UVSQ et de la Fédération de recherche IPSL (Institut Pierre Simon Laplace). Il est composé d’environ 150 permanents, (chercheurs, enseignants-chercheurs ingénieurs, techniciens et administratifs) et plus de 250 personnes au total. Il est localisé actuellement sur deux sites : l’Observatoire de Guyancourt et Paris-Jussieu.

Pour fêter cet évènement, un site Internet retraçant 25 ans d’Histoire est consultable page : http://www.25.uvsq.fr

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Le leader français du drone Delair-Tech survole la planète

Toulouse, le 22 novembre 2016/

Quelle réussite ! En seulement 6 ans et au terme de l’année 2016, Delair-Tech affiche une santé insolente et des perspectives de développement infinies.

La société conceptrice de drones professionnels et spécialiste du traitement et de l’analyse d’images poursuit avec brio ses 3 objectifs : asseoir son leadership mondial en matière de technologie du drone, accélérer son développement commercial à l’international et développer les services.

Ses clients ont de plus en plus besoin d’analyses et ne veulent pas systématiquement acheter de drones. Ceux-ci préfèrent profiter de la technologie et acheter ou analyser des données. Ainsi, Delair-Tech a développé pour chaque métier des outils spécifiques du traitement d’images. Parmi les plus importants, la gestion de lignes électriques, la surveillance et l’analyse de terres agricoles, de mines et carrières, ou de constructions.

L’activité du traitement d’images est en forte croissance chez Delair-Tech qui se déploie dans de nombreuses filières et de nombreux pays.

Très impliquée aussi dans la recherche et l’innovation, la société a mis en place un dispositif de recherche et développement pour étudier des projets expérimentaux de drones hybrides utilisant l’énergie solaire et l’énergie électrique pour collecter les données.

Delair-Tech s’est installée aussi dans les programmes de défense. Présente au salon Eurosatory, la société y a annoncé un partenariat technologique et commercial avec le groupe ECA visant à développer une offre militaire dédiée avec un mini drone tactique.

Les problèmes qui pourraient se poser au constructeur de drones concernent surtout les règlementations aériennes ou celles de l’exploitation de données. Mais Delair-Tech s’appuie dans son service juridique, sur des experts de l’espace aérien, au sein d’un département Airworthiness ainsi que sur les services de juristes spécialistes du big data.

Delair-Tech compte actuellement 100 personnes, sa croissance organique et externe est très importante. Elle poursuit toujours ses recrutements, ayant besoin de renforcer ses bureaux d’études et son service commercial et marketing.

En 2015, Delair-Tech annonçait 2 millions d’euros de chiffre d’affaires, chiffre qui a doublé chaque année depuis sa création en 2011. Michael de Lagarde, co-fondateur et Président de la société prévoit pour 2016 une tendance du même ordre et indique que ces bons résultats et la force de la société résultent de sa capacité à maîtriser la chaîne du début à la fin, de la conception aux services en passant par la maintenance. Michael de Lagarde souligne que peu d’entreprises similaires de ce secteur du drone et de l’analyse de données ont un spectre aussi large.

L’expert Made in France du drone professionnel peut ainsi collecter et analyser les données de tous types avec ses drones et se déploie sur le monde avec une croissance continue. Après l’ouverture récente d’une antenne à Los Angeles cet été, ce champion français est à Singapour depuis une semaine en vue d’en ouvrir une autre pour 2017 et compte en faire de même en Chine.

Nadia Didelot pour AeroMorning

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PREMIER VOL DE L’A350-1000

  • La campagne d’essais en vol bénéficie de l’expérience et de la maturité de l’A350-900 ;
  • Trois avions vont réaliser l’ensemble des essais en vol en moins d’un an ;
  • Le développement est en bonne voie pour une entrée en service prévue au second semestre 2017.

a350-1000-first-flight2Le premier des trois avions de développement A350-1000 – le MSN059 – a atterri sur l’aéroport de Toulouse-Blagnac à 15h00, heure locale, après avoir réalisé avec succès son vol inaugural, qui a duré quatre heures et dix-huit minutes.

Lors de ce vol, l’équipage présent dans le poste de pilotage se composait des pilotes d’essais Hugues van der Stichel, Frank Chapman et du mécanicien navigant d’essais Gérard Maisonneuve. Egalement présents à bord, Patrick du Ché, Directeur des essais en vol, Emanuele Costanzo, Responsable des essais de développement A350 et Stéphane Vaux, Ingénieur navigant d’essais, étaient chargés de surveiller l’ensemble des paramètres de l’avion sur des consoles spécialisées situées en cabine.

a350-1000-first-flight4Equipé des nouveaux moteurs Trent XWB-97 de Rolls-Royce, l’appareil a traversé

le Sud-Ouest de la France, un vol au cours duquel les membres d’équipage ont exploré le domaine de vol de l’avion. Lors de ce premier vol, l’A350-1000 était accompagné par un autre appareil chargé d’observer et de filmer les différentes manœuvres effectuées. Ce vol d’essai était également suivi en temps réel par des experts au sol grâce à une liaison télémétrique.

“Nous avons vu aujourd’hui pour la première fois l’A350-1000 en action. Cet avion est le plus moderne et le plus performant de sa catégorie. Il viendra bientôt compléter la famille A350 XWB, qui connaît un vif succès. J’adresse mes félicitations et mes remerciements à toutes les équipes qui ont contribué à la réalisation de ce premier vol”, a déclaré Fabrice Brégier, Président et CEO d’Airbus. “Nous sommes heureux que de nombreux clients aient aujourd’hui assisté à nos côtés à cette étape importante depuis notre siège à Toulouse.”

a350-1000-first-flight3Bénéficiant de l’expérience de la première campagne d’essais de l’A350-900 (qui s’est déroulée en 2014), le programme de développement de l’A350-1000 sera plus court : moins d’un an pour les trois appareils. Le MSN059 sera utilisé pour réaliser des tests de performance portant notamment sur le comportement de l’avion dans son domaine de vol, le vol à différentes masses et le freinage. Le deuxième avion à prendre son envol, le MSN071, permettra également d’évaluer les performances de l’appareil. Il sera notamment utilisé pour tester les moyens de freinage, la motorisation, les systèmes de bord ainsi que le pilotage automatique. Le troisième et dernier appareil à s’envoler, le MSN065, sera équipé d’une cabine afin d’évaluer les systèmes cabine et les circuits d’air. Le MSN065 réalisera également les premiers vols de longue durée et les essais de type « Route proving ». La campagne globale culminera avec l’obtention du certificat de type suivie de la mise en service de l’appareil prévue au second semestre 2017 auprès de son premier opérateur, Qatar Airways, principal client de l’A350-1000 à ce jour, avec 37 appareils commandés.

a350-1000-first-flight5L’A350-1000 est le tout dernier membre de la famille de gros-porteurs d’Airbus, leader sur le marché, qui comprend également l’A330neo et offre des niveaux inégalés d’efficacité opérationnelle et de réduction de bruit ainsi qu’une véritable capacité long-courrier. Outre un fuselage plus long qui lui permet d’accueillir 40 passagers de plus que l’A350-900, l’A350-1000 est caractérisé par un bord de fuite de voilure modifié, par la présence de nouveaux trains d’atterrissage principaux à six roues et par des moteurs Rolls-Royce Trent XWB-97 plus puissants. L’A350-1000 incorpore l’ensemble des avantages offerts par l’A350-900 en matière de réduction de la consommation de carburant et de confort cabine ‘Airspace’. Sa capacité plus importante en fait le parfait appareil pour nos clients sur certaines des lignes long-courriers les plus fréquentées. A ce jour, Airbus a enregistré 195 commandes d’A350-1000 émanant de 11 clients répartis sur cinq continents.

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Airbus Helicopters delivers final EC135T2+

Airbus Helicopters delivers final EC135T2+ for Australian military training program

  • Full fleet of 15 helicopters delivered only two years after contract signature
  • H135 family confirmed as a reference for military helicopter training

Donauwörth, Germany, 22 November 2016 – Airbus Helicopters has achieved Factory Acceptance of the last six of the EC135T2+ for the Helicopter Aircrew Training System (HATS) for the Australian Defence Force (ADF), completing on-time deliveries of the full fleet of 15 helicopters.

Under the JP9000 Phase 7 HATS project, a new joint helicopter training program for Navy and Army aircrew will utilise 15 EC135T2+ helicopters, along with flight simulators and a new flight-deck equipped sea-going training vessel. Boeing Defence Australia is the prime contractor for the new training system, partnered by Thales Australia who supplies the flight simulators and synthetic training devices.

A member of the H135 family of light twin-engine helicopters, the EC135T2+ is an ideal training platform, and initial flying activities have commenced at their new home in Nowra, Australia.

“Airbus Helicopters is proud to know that Boeing has accepted now all 15 of their new EC135T2+, on time and on budget, for their world leading helicopter aircrew training system for the ADF”, said Peter Harris, Head of Governmental Sales for Australia – Pacific. “Following contract signature in November of 2014, and in the space of only two years, we have trained the initial cadre of Boeing and Commonwealth aircrew and technicians and all 15 aircraft have now been accepted”.

Boeing’s HATS Director Terry Nichols said that the Boeing team is very happy with the performance thus far of the EC135 and commended Airbus Helicopters for their on-time delivery.

“Boeing Defence Australia chose the EC135 as our preferred helicopter solution for HATS; it’s a proven and reliable platform. We have been delighted with the cooperation from Airbus Helicopters to deliver these platforms that will form an important part of a world class training system.”

The EC135T2+ is a consummate military training helicopter, offering a glass cockpit with high visibility, a multi-axis auto-pilot, the performance and safety of a twin-engine helicopter replacing current single types, plus other advanced technologies to help instructors perform training missions safely and provide the ADF with the flexibility to undertake additional missions. The H135 family is part of successful training systems in Germany, Switzerland, Spain and Japan, and has recently been selected in the United Kingdom.

Airbus Helicopters has delivered around 1,200 H135s to customers around the globe who have logged a total of more than four million flight hours. The H135 is the unbeaten market leader in light, twin-engine, multi-purpose helicopters. Traditional missions for this class of helicopters include military training but also emergency medical services, law enforcement, VIP and business passenger transport, and maintenance of industrial wind parks.

About Airbus Helicopters (www.airbushelicopters.com)

Airbus Helicopters, a division of Airbus Group, provides the most efficient civil and military helicopter solutions worldwide. Its in-service fleet includes nearly 12,000 helicopters operated by more than 3,000 customers in 154 countries. Airbus Helicopters employs more than 22,000 people worldwide and in 2015 generated revenues of 6.8 billion euros.

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DRAGONAIR DEVIENT CATHAY DRAGON

TOPICS:cathay dragon
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  • aerotech 2017 rendez-vous d'affaires de l'innovation aéronautique
  • atr-aeromorning-banner-accueil

Posted By: aeromorning23/11/2016

Hier, Dragonair est officiellement devenue Cathay Dragon. Filiale de Cathay Pacific depuis 2006 pour qui elle opère des vols régionaux en Asie-Pacifique, Cathay Dragon se rapproche de l’image de Cathay Pacific pour offrir aux passagers une expérience uniforme du voyage.
La démarche de rebranding avait été annoncée en janvier dernier, elle devient aujourd’hui réalité. Cathay Dragon arbore ses nouvelles couleurs aux comptoirs d’enregistrement, aux portes d’embarquement, aux salons mais aussi à l’intérieur des cabines (oreillers, couvertures, sièges, divertissements et repas). La nouvelle identité visuelle se décline des uniformes de l’équipage aux cartes d’embarquement. Le site web sera, quant à lui, entièrement intégré dans un seul site partagé avec Cathay Pacific en début d’année prochaine. En outre, le salon G16 à Hong Kong, actuellement en cours de rénovation, sera rouvert en tant que salon du groupe en 2017.

Cathay Dragon a bâti sa réputation en s’appuyant sur sa culture et son hospitalité chinoise. Avec une flotte de 42 appareils desservant 52 destinations, Cathay Dragon a été élue « Meilleure Compagnie Aérienne Régionale du Monde » l’année dernière aux Skytrax World Awards pour la quatrième année consécutive. Et bien que le rebranding apportera de nouveaux avantages à ses clients, la compagnie conservera son caractère chinois contemporain. Cela s’applique notamment aux repas servis à bord. Des partenariats avec des restaurants chinois de renom et chefs locaux ainsi que des menus saisonniers typiques et l’excellence de son service resteront des normes.

Une longue démarche d’alignement des 2 marques

Au cours des dernières années, Cathay Pacific et Cathay Dragon ont développé des synergies améliorant leurs cabines, les sièges, le système de divertissement à bord afin de proposer une offre de services homogène dans la perspective d’alignement des 2 marques. La nouvelle livrée aux couleurs de Cathay Dragon arborant le logo emblématique « Cathay Brushwing » a été progressivement introduite dans la flotte au cours de l’année. L’association visuelle à la marque Cathay Pacific renforce l’union de ces 2 compagnies offrant un vaste réseau régional et international à un public plus large avec des services reconnus à travers le monde.

Cette démarche a d’ailleurs été très positive pour les 2 compagnies : plusieurs millions de passagers leur font confiance chaque année. Mieux équipées pour respecter leur promesse commune « Life Well Travelled », elles garantissent aux passagers une expérience de première qualité à chaque étape de leur voyage.

Cérémonie de lancement de la nouvelle identité à Hong Kong

Les clients de la compagnie aérienne ont participé à la cérémonie de lancement à l’aéroport international de Hong Kong en présence des pilotes de Cathay Dragon, l’équipage et le personnel au sol. Nicholas Tse, célébrité locale, était également sur place pour accueillir les passagers à la porte d’embarquement avec un assortiment de cookies de la gamme Cookie Cha Chaan Teng de son Chef Nic. Dans le cadre d’un partenariat avec le célèbre chanteur-acteur (et maintenant aficionado culinaire), Cathay Dragon proposera ces cookies à bord, dans toutes les classes de voyage.

À l’occasion de la cérémonie de lancement, Algernon Yau, PDG de Cathay Dragon, a déclaré: « C‘est une journée importante dans l’histoire de Cathay Dragon et je suis enthousiaste sur son avenir et les nouvelles opportunités que ce rebranding va apporter. Comme nous nous rapprochons plus étroitement de Cathay Pacific, de nouvelles perspectives s’ouvriront sur plusieurs fronts qui nous permettront de devenir plus forts et prospérer dans cette industrie très compétitive. Je suis convaincu que Cathay Dragon maintiendra son niveau d’excellence opérationnelle et de services acquis au cours des 30 dernières années. »

À propos de Cathay Pacific

Cathay Pacific est la compagnie aérienne internationale de Hong Kong. Avec sa filiale Cathay Dragon, elle opère des vols vers plus de 180 destinations dans 51 pays et territoires. Depuis la France, Cathay Pacific propose 10 vols directs par semaine vers Hong Kong et des connexions au-delà vers plus de 60 destinations en Asie Pacifique. Elle dessert notamment 24 villes en Chine, 7 au Japon et 6 en Australie. Grâce à son partenariat avec TGVAir, Cathay Pacific propose également des départs de 10 villes de province via Paris. Régulièrement élue Meilleure Compagnie Aérienne du monde, Cathay Pacific est renommée pour le confort de ses cabines, l’accueil et le service offerts à ses passagers. Elle est membre fondateur de l’alliance oneworld. Informations et réservation : www.cathaypacific.com/fr

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Première livraison de l’A350-900 de Lufthansa le 19 décembre 2016

L’avion long-courrier le plus moderne et le plus écologique au monde effectuera son premier vol commercial entre Munich et Dehli le 10 février 2017

Le 19 décembre 2016, le Groupe Lufthansa recevra son premier A350-900, avion long-courrier le plus moderne au monde qui sera basé dans le hub Lufthansa à Munich.

Le premier vol commercial régulier de l’appareil partira de Munich en direction de Dehli le 10 février 2017. Les billets sont dès à présent disponibles.

« Nous sommes heureux d’acquérir notre premier A350-900 juste avant Noël. Dès février, nos passagers au départ de Munich pourront bénéficier du niveau de confort élevé sur les vols à destination de Dehli, grâce aux améliorations effectuées au niveau de l’aménagement intérieur de l’appareil : un nouvel espace libre-service conçu pour la classe Business ; de nouveaux sièges aux coussins ergonomiques pour la classe Economique ; des écrans plus larges dans l’ensemble des classes ; internet haut débit plus performant. » déclare Thomas Winkelmann, Président-directeur général du hub de Munich.

Dès la livraison du nouvel appareil, l’A350-900 sera transféré à Munich une semaine avant Noël. Ensuite, Lufthansa Technik procédera à l’installation de la cabine intérieure y compris de la nouvelle classe Premium Economy, en vue d’une exploitation commerciale.

A partir de février 2017, Lufthansa hébergera ses dix premiers Airbus A350-900 à Munich. Les toutes premières destinations desservies seront Dehli et Boston. Ce nouvel appareil dans la flotte de Lufthansa aura une capacité de 293 sièges au total : 48 places en classe Business, 21 places en Premium Economy et 224 places en classe Economique.

L’A350-900 est le long-courrier le plus moderne et le plus respectueux de l’environnement au monde, permettant de réduire de 25 % la consommation de kérosène et les émissions de CO2. Par ailleurs, son « empreinte sonore » est réduite de près de 50 % par rapport aux autres appareils de ce type.

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Lancement VA233 : COUP DOUBLE POUR ARIANESPACE ET L’EUROPE SPATIALE

Lancement VA233 : COUP DOUBLE POUR ARIANESPACE ET L’EUROPE SPATIALE, AVEC le premier lancement reussi d’Ariane 5 au profit de Galileo et le 75e Succes d’affilée DE ce lanceur !

Arianespace a lancé avec succès les satellites 15, 16, 17 et 18 de la constellation Galileo pour la Commission Européenne (DG Grow), dans le cadre d’un contrat avec l’Agence Spatiale Européenne (ESA). Le lancement a eu lieu le 17 novembre à 10h06 (heure de Kourou) depuis le Centre Spatial Guyanais (CSG) en présence de Maroš Šefčovič, Vice-président de la Commission européenne et d’Elżbieta Bieńkowska, Commissaire européenne au Marché intérieur et à l’Industrie.

Avec ce huitième lancement depuis le CSG au profit de la constellation, le premier utilisant une Ariane 5 dans sa version ES, 18 satellites Galileo auront été déployés en orbite par Arianespace, soit plus des deux tiers de la flotte de satellites prévue à terme, permettant de démarrer dès la fin de l’année les premiers services du système de navigation européen.

VA233, neuvième lancement de 2016 pour Arianespace et le sixième avec Ariane 5, marque le 75e succès d’affilée du lanceur lourd, dépassant ainsi le record établi par Ariane 4.

Avec cette mission doublement emblématique, Arianespace est fière de servir les ambitions de l’Europe spatiale tout en démontrant un niveau de fiabilité sans équivalent sur le marché.

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